Loches est une commune française, située dans le département d'Indre-et-Loire et la région Centre.
Chef-lieu d'arrondissement et sous-préfecture d'Indre et Loire1, cette petite ville de Touraine sur l'Indre forme une agglomération de dix mille habitants avec les communes de Beaulieu-lès-Loches, Ferrière-sur-Beaulieu et Perrusson.
Ses habitants sont appelés Lochois et Lochoises.
La ville s'étend au pied du château de Loches, ancienne place-forte puis résidence royale sur un promontoire naturel en rive droite de l'Indre. La vieille ville avec ses nombreuses maisons anciennes construites entre 1450 et 1550 s'accole à l'ouest du château. La ville moderne s'étend encore plus au nord et à l'ouest.
Si Perrusson est au sud en amont de Loches, Beaulieu-lès-Loches et Ferrière-sur-Beaulieu sont sur l'autre rive de l'Indre. La forêt domaniale de Loches qui s'étend sur 3622 ha est également sur cette rive gauche, en aval entre Indre et Indrois. Les futaies aménagées depuis moins de deux-cent ans privilégient chênes, hêtres, charmes et pins sylvestres.
Loches est un petit bourg relais de la vallée de l'Indre sur le vieux chemin marchand d'Amboise à Poitiers qui a longtemps concurrencé la voie commerciale d'Aquitaine partant de Tours ou de Langeais. Très tôt, ce relais semble avoir été fortifié. Un important chemin saint Jacques emprunte cette voie commerciale au douzième siècle. Loches devient une petite ville médiévale surmontée du plus ancien donjon d'Europe construit vers l'an mil par Foulques III Nerra.
Le déclin de cette route du Sud révèle la voie de passage la plus antique qui emprunte simplement, par l'eau et la terre, la vallée de l'Indre.
La bourgade primitive de Loches est citée par Grégoire de Tours sous le nom de Lucca ou vicus Loccae. Le site est déjà occupé par les Romains qui l'ont placé à la frontière de la province d'Aquitaine. Quelques traces de cette époque subsistent: on a retrouvé au lieu dit Cornillé (Corniliacus ou villa de Cornelius) des pièces d'or de l'époque romaine; l'aqueduc romain de Contray, dont des piliers sont encore debout, témoignent d'une exploitation agricole antique; enfin le bénitier de la Collégiale saint Ours provient d'une colonne gallo-romaine dédiée aux dieux de l'Olympe.
La christianisation est marqué par l'établissement au cinquième siècle, d'une église dédiée à sainte Marie-Madeleine, par Saint Eustache, évêque de Tours. En 491, Ursus de Cahors connu sous le nom de Saint Ours, implante une monastère dans la partie nord de l'actuelle cité médiévale et construisit un moulin sur l'Indre pour les moines. À sa mort en 508, Senoch lui succède à la tête du monastère, il a donné son nom à un village voisin: Saint-Senoch.
Période médiévale [modifier]
En 742, les maires du palais, Carloman (fils de Charles Martel) et Pépin le Bref qui devient roi des Francs de 751 à 768 livrent bataille contre Hunald, duc des Gascons et des Aquitains et s'emparent de Loches. En 840, Charles le Chauve nomme Alalande, une de ses lieutenants, gouverneur de Loches. Sa petite-fille Roscille se marie avec Foulque Ier d'Anjou, apportant notamment Loches en dot au comté d'Anjou (887).
Maison d'Anjou [modifier]
Au xe siècle, les querelles incessantes qui opposent les comtes de Blois aux comtes d'Anjou, sont à l'origine de l'essor du château de Loches qui joue désormais un rôle prépondérant dans cette lutte de pouvoir. L'angevin Geoffroi Grisegonelle s'établit à Loches et fait construire une église. Son fils Foulques Nerra fait construire l'énorme donjon quadrangulaire toujours visible de nos jours. Ce donjon faisait partie d'un dispositif militaire angevin de fortifications encerclant la ville de Tours, objet de ses convoitises. C'est son fils, Geoffroi II Martel, qui mène à terme la construction de cet imposant édifice.
En 1195, après la mort d'Henri II Plantagenêt, seigneur d'Anjou et roi d'Angleterre et profitant que Richard Cœur de Lion soit retenu prisonnier en Autriche depuis son retour des Croisades,Philippe Auguste intrigue avec Jean sans Terre, le frère de Richard Cœur de Lion et se fait donner Loches. Dès qu'il est libéré, l'impétueux Cœur de Lion accourt et reprend le château de Loches. Dix ans après, en 1205, Philippe Auguste prend sa revanche. Le siège dure un an. Loches est désormais une place-forte royale qui peut servir de prison et les rois capétienss'efforcent de la rendre inexpugnable.
Loches à la royauté française [modifier]
En 1249, la seigneurie de Loches passe définitivement au Domaine royal français après que Saint Louis l'achète avec celle deChâtillon-sur-Indre pour 600 livres. Jusqu'à la fin de l'ancien régime, les rois de France ont désigné de lieutenants du roi, gouverneurs de la place forte de Loches, et notamment la dynastie des Baraudin, qui se sont succédé tout au long du xviiie siècle.
Fin mai 1429, après sa victoire à Orléans, Jeanne d'Arc vient rencontrer Charles VII pour le convaincre de se faire couronner « Noble Dauphin, ne tenez pas davantage tous ces conseils, si nombreux et si longs, venez donc au plus vite à Reims prendre la couronne à laquelle vous avez droit 2
Au xve siècle, Agnès Sorel, favorite de Charles VII, vient habiter Loches. Elle abandonne la cour de Chinon, où le Dauphin (futurLouis XI) lui a créé bien des difficultés. En effet, ce dernier ne supporte pas la relation d’Agnès avec son père le roi Charles VII. Il estime que sa mère est bafouée et a de plus en plus de mal à l'accepter. Un jour il laisse éclater sa rancœur et poursuit, l’épée à la main, l’infortunée Agnès dans les pièces de la maison royale. Agnès Sorel se réfugie à Loches et Charles VII, courroucé par tant d’impertinence, chasse son fils de la Cour et l’envoie gouverner le Dauphiné.
Après avoir servi de résidence royale, le château de Loches devient prison d'État. Le clergé séculier, du diocèse de Tours, fonde à Loches un collège en 1576. Vers 1640, ce collège est repris par les Barnabites.
Période moderne [modifier]
La ville de Loches connaît son âge d'or pendant la Renaissance, la Chancellerie finie en 1551 et l'hôtel de Ville bâti par les bourgeois de la ville avec l'accord de François Ier) en témoignent. À cette époque Loches est « égale en dignité à Tours et à Chinon »3
A la veille de la Révolution, Loches est en déclin, en partie à cause du Pont royal de Tours qui a détourné le trafic vers Tours au détriment de Loches, et la population chute en deçà de 4000 habitants. En 1789, la prison royale de Loches perd son importance et on ne compte plus que trois prisonniers. Le mouvement révolutionnaire est suivi par la bourgeoisie et le clergé locaux, le chanoine Pothier faisant brûler, en 1791, la sinistre cage de La Balue, l'année suivante la commune élit son premier maire, le citoyen Picard-Ouvrard. Sous la Convention, la prison lochoise, considérée comme la plus sûre du département d'Indre-et-Loire, connaît un regain d'activité, on doit réquisitionner le Logis royal et les maisons des chanoines, en plus des cachots du donjon, pour loger tous les détenus.
Chinon et Loches sont sous le Consulat choisies sous-préfectures du département d'Indre-et-Loire, préservant ainsi une petite autonomie administrative et culturelle face à la ville de Tours hégémonique. Le Lochois est un pays caractérisé par une forte paysannerie, fière de ses traditions de Touraine qui furent parmi les mieux et les plus longtemps préservées. Loches est d'abord une ville de marché, notamment chaque premier mercredi du mois quand affluent autour de la place du Marché au Blé les foules des contrées rurales environnantes. On vend suivant les saisons bétail et grains, légumes et fruits, mais aussi gibier, cèpes et giroles de la forêt.
Le textile, sous forme de filature de laine, linges et broderies de Touraine cède la place à des activités de constructions mécaniques et de services agricoles ou forestières, en particulier minoteries, scieries, commerce de grains et de vins, articles de chasse.
Loches se retrouve en pointe avancée de la zone sud pendant la première occupation allemande entre juin 1940 et juillet 1942. Capitale régionale de l'éphémère ligne de démarcation, saisie par une frénésie d'échanges, la petite ville voit sa population dépasser momentanément dix mille habitants avant de retrouver, après un plus lente décrue, le calme d'avant-guerre et ses cinq mille habitants.
Recensée comme Ville d'Art et d'Histoire, Ville fleurie et parmi les Plus beaux détours de France (label créé pour le maire de Loches), elle est aujourd'hui très populaire chez les Britanniques qui s'installent nombreux dans cette partie de la Touraine, renouant par là avec leurs ancêtres Plantagenêt.
| Les armes de Loches se blasonnent ainsi : De sinople à six loches d'argent posées en fasce ordonnées 3-2-1, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or4. Armes parlantes. |
Le blason de la ville n'apparaît qu'au xve siècle et les loches (poissons) qui y figurent ne sont qu'un "jeu de mot" pour faire référence au nom de la ville (ce n'est pas parce qu'il y a des poissons sur le blason que la ville s'appelle Loches mais c'est parce que la ville s'appelle Loches qu'on a mis des poissons sur le blason).
L'économie de la ville est fortement tournée vers le tourisme, cela se voit notamment par la construction de la résidence Pierre & Vacances des Cordeliers, et les grands travaux dans le centre ville menés par la municipalité, dont le principal objectif est de développer le tourisme, malgré la position de retrait de la ville par rapport à la vallée de la Loire. La zone industrielle de Vauzelles concentre quelques industries, travaillant pour la plupart dans l'électronique de puissance et la mécanique de précision. Dans le passé, la principale industrie était la culture en cave des champignons de Paris, qui employait 600 personnes à son apogée. Ces différentes entreprises se sont délocalisées en 1994. La communauté de commune s'efforce d'attirer des entreprises à Loches, quelques-unes sont venues s'installer au lieu dit Corbery dans l'ancienne conserverie à champignons.
Loches, plus grande ville du Sud-Est du département d'Indre-et-Loire est un pôle attracteur qui possède le seul hypermarché et le seul lycée du sud Touraine.
Administration [modifier]
Transports et voies de communications [modifier]
Réseau routier [modifier]
Loches est desservie par la RN 143 qui relie à Tours à Chateauroux.
Desserte ferroviaire [modifier]
La gare de Loches est le terminus d'une ligne TER Centre non électrifiée reliant la ville à Tours. Une liaison routière SNCF entre cette dernière et Chateauroux dessert également Loches.
Personnages célèbres [modifier]
Tombeau d'Agnès Sorel à Loches
- Gonzague Saint-Bris, écrivain, a été conseiller municipal.
- Jacques Villeret, acteur
- Agnès Sorel, maitresse de Charles VII, repose désormais à la Collégiale Saint-Ours depuis son transfert du Logis royal en 2005
- Alfred de Vigny, écrivain dont la maison natale est située 27 rue des Jeux
- Jacques-Elie Lamblardie, ingénieur, fondateur de l'École polytechnique
- Louis Delaporte, marin, explorateur et collectionneur
- La Fayette, le Marquis de La Fayette, de par son union avec Marie de Noailles, acquit un domaine considérable allant de Reignac-sur-Indre àSaint-Hippolyte. Avec son cousin, le Marquis de Lusignan, il possédait cinq demeures autour de Loches : le Château d'Azay-sur-Indre et le Château de la Follaine à Azay-sur-Indre, le Château de Reignac-sur-Indre et le Château de Vitray à Saint-Hippolyte et le Château de l'Epinay àDolus-le-Sec.
- Foulques Nerra dont le tombeau se trouve à Beaulieu-lès-Loches
- Jean-François Guérin, prêtre (1929-2005), fondateur d'une société de prêtres, la communauté Saint-Martin, est né à Loches.
- Jean-Jacques Descamps, maire de Loches, ancien député, ancien ministre du Tourisme (1986-1988)
- Emmanuel Lansyer, peintre
- Jacques-Marie Rougé, folkloriste, écrivain, conservateur du musée du Terroir de Loches (fermé)
- Ludovic Sforza, duc de Milan, prisonnier de guerre, mort en captivité à Loches en 1508
- Jean Balue, cardinal emprisonné à Loches de 1469 à 1480
- Philippe de Commines, emprisonné à Loches entre 1487 et 1489
- Daniel Wilson, député de Loches à partir de 1876, gendre du Président de la République Jules Grévy, impliqué dans le scandale des décorations, mort à Loches en 1919
- Pierre Bourgeade, écrivain et dramaturge, mort à Loches en 2009.
Monuments et lieux touristiques [modifier]
| Vue de la ville médiévale avec le donjon à l'arrière plan | | La Tour Saint-Antoine vue depuis la rue |
| Hotel de ville (à gauche) et porte Picois (en face à droite) | Place du Marché-aux-Fleurs |
- Le Donjon : Donjon roman, remarquable par ses dimensions (36 mètres de hauteur) et par son excellent état de conservation, il est le dernier des donjons érigés par Foulques Nerra, Comte d’Anjou, autour de l’an Mil (1013-1035). Parfait exemple de l’architecture militaire réalisée en Occident, la forteresse, du xie siècle, est transformée en prison royale au xve sièclepar Louis XI qui y avait résidé entre sa 3e et sa 10e année5. Elle abrite les cachots de Philippe de Commynes (reconstitution de la cage de bois bardée de fer), du Cardinal Balue et du Duc de Milan Ludovic Sforza, qui exécuta des peintures murales pendant sa détention. En 1801, Bonaparte transforme la prison royale en prison départementale. En 1926, le donjon a enfin cessé d'être une prison. Le donjon est flanqué d'une autre tour nommée Tour Louis XI, édifiée pendant la Renaissance avec une vocation purement militaire, elle était conçue pour permettre le tir au canon du haut de sa terrasse.
- Coordonnées : 47°07′37″N 0°59′54″E
- Un jardin médiéval, situé à leurs pieds, de forme rectangulaire et centré par un bassin, est planté dans des carrés bordés de claies de chataigners, de plantes médicinales, aromatiques et potagères. Les murs accueillent les arbres fruitiers palissés et des bordures fleuries.6
- Le Logis Royal : Bâti sur la pointe de l’éperon rocheux dominant la vallée de l’Indre, le Logis royal est l’une des résidences favorites des Valois pendantla Guerre de Cent Ans. Charles VII érige un premier corps de logis inspiré de l’architecture militaire, à la fin du xive siècle. Ses successeurs le prolongent d’un deuxième bâtiment dont la façade reçoit un décor de style gothique flamboyant. Trois femmes illustres ont marqué l’histoire du Logis Royal : Jeanne d’Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et Anne de Bretagne.
- La Porte Royale : Seule issue permettant l’accès à la Citadelle. Cette porte date des xiie et xiiie siècles et a été complétée au xve siècle par un corps de bâtiment central et une terrasse à canons. De la Porte Royale, on peut entrer dans la Cité Royale pour la visite du Donjon, du Logis Royal, de la Collégiale Saint-Ours et de la Maison Lansyer, ou bien faire le tour des remparts par le boulevard Philippe Auguste. On peut accéder au sommet de la Porte Royale par le jardin de la Maison Lansyer, d’où la vue sur la ville est imprenable.
- La Collégiale St-Ours : Splendeur romane et gothique édifiée aux xie et xiie siècles, dont le style mixte est dû à une longue construction sur deux périodes différentes. Son architecture est marquée par son portail polychrome sculpté de personnages et d’animaux tirés du bestiaire du Moyen Âge et par les deux pyramides à huit faces appelées « dubes », élevées vers 1165. Elle renferme, depuis avril 2005, le tombeau de marbre d'Agnès Sorel. C'est selon Viollet-le-Duc "un édifice d'une étrange et sauvage beauté, unique au monde" Paroles de la nièce de Talleyrand : "J'ai déjeuné à Loches, où j'ai tout visité en détail : le tombeau d'Agnès Sorel, l'oratoire d'Anne de Bretagne, une église curieuse, la prison de Ludovico Sforza; j'ai admiré le panorama, qui, du haut des tours, se déploie avec magnificence." 7
- La Maison Lansyer : Ancien domicile du peintre Emmanuel Lansyer qui expose des objets lui ayant appartenu et d'autres objets relatifs à l'histoire de Loches.
- La Chancellerie (bâtiment Renaissance ouvert au public qui abrite une exposition sur l'histoire de la ville de Loches, Ville d'Art et d'Histoire et des expositions temporaires) et La Maison du Centaure (habitation voisine dont la façade est ornée d'un relief représentant Hercule et un Centaure)
- La Tour St-Antoine : Ancien clocher d’une église, elle fait aussi office de beffroi de la ville. Elle culmine à 52 mètres et offre une bonne vue des environs de Loches. Construite entre 1529 et 1575, elle est le seul beffroi Renaissance de Touraine. Elle n'est ouverte au public qu'à l'occasion des Journées du Patrimoine
- La Porte des Cordeliers : Ouverte au xve siècle dans la troisième ceinture de remparts de la ville, la Porte des Cordeliers était munie de deux ponts-levis franchissant le bief de l'Indre. Elle laissait entrer les voyageurs venus par la route d’Espagne. Son nom lui vient de la proximité du couvent des Cordeliers (Franciscains).
- Carrière de Vignemont : Ancienne carrière d'extraction des pierres de tuffeau ouverte à la visite. Présentation et explication des méthodes d'extraction des pierres et de culture des champignons de Paris, de défenses de la région qui venaient se réfugier dans ce labyrinthe en cas de problèmes.
Deux toiles, attribués au peintre Le Caravage ont été retrouvées dans l'église Saint-Antoine. Il s'agit du Pèlerinage de Notre Seigneur à Emmaüs et du Saint Thomas mettant son doigt en la plaie du Christ. Cette attribution faite par José Frèches, éminent connaisseur de l'art chinois, n'a pas fait l'unanimité10.
Fin octobre 2006, a éclaté une polémique suite au projet du maire Jean-Jacques Decamps d'installer de 50 à 100 caméras de vidéo-surveillance dans la ville pour un coût total de100 000 €11, ce qui a déclenché les protestations de la minorité socialiste, et la constitution d'un collectif 12, opposé au projet qui a organisé une pétition contre cette mesure sécuritaire.
Le 2 décembre 2006, le bâtiment abritant la bibliothèque municipale et l'espace public numérique est rebaptisé Médiathèque Jacques Lanzmann.
La commune de Loches est citée en exemple par Paul Vidal de la Blache dans l'introduction de son ouvrage "Tableau de la Géographie de la France" (1903). Il y explique que le Château des Valois, situé à Loches, a été construit sur des substructions romaines, elles-même probablement bâties sur des anciennes grottes.
Notes et références [modifier]
- ↑ http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_l_interieur/les_prefectures/votre_prefecture/037 [archive]
- ↑ Lucien Fabre, Jeanne d'Arc
- ↑ B, Chevalier, professeur à l'université de Tours, Loches au xvie siècle
- ↑ Le blason de la commune sur Gaso [archive]. Consultation : mars 2009.
- ↑ Paul Murray Kendall, Louis XI, Fayard, 1974
- ↑ jardins médiévaux, Mic Chamblas-Ploton, la maison rustique, flammarion,ISBN 2-7066-1749-7
- ↑ duchesse de Dino, de Valençay, le 15 juillet 1837, "Chronique de 1831 à 1862" - Plon, 1909, p. 165
- ↑ Loches sur le site de l'Insee [archive]
- ↑ Données démographiques sur le site de l'INSEE [archive]
- ↑ article sur le site de Tribune de l'art sur les toiles attribuées au Caravage [archive]
- ↑ projet du maire d'installation d'un système de vidéosurveillance [archive]
- ↑ Loches Story [archive]
Liens externes [modifier]