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  • Les ardoises gravées du château de Montréal-de-Sos

    Les ardoises gravées du château de Montréal-de-Sos, une découverte exceptionnelle

    18/12/2009 | 20:31

    Mardi 22 décembre à 20h30

    Depuis les fouilles archéologiques de 2006, le site médiéval de Montréal-de-Sos est marqué par la découverte de fortes concentrations d'ardoises et lauzes de toitures que Florence Guillot, responsable scientifique de la recherche, a clairement attribuées au donjon et aux bâtiments qui l'entourent.

    Nombre de ces lauzes ont été gravées au milieu du XIVe siècle: des tracés figuratifs incluant des personnages (chevalier, berger, etc.) et des bâtiments (château), des formes symboliques (pentacles, croix, etc.) et abstraites très diverses, de véritables gribouillis et un fragment de texte en occitan, probable poème qui constitue une découverte exceptionnelle par sa rareté.

    Conférence par Florence Guillot, docteur en Histoire et archéologue, chercheuse associée au laboratoire CNRS TRACES Université Toulouse II.

    Entrée gratuite.

     

    Source : http://www.ariegenews.com/ariege/histoire_patrimoine/2009/13037/les-ardoises-gravees-du-chateau-de-montreal-de-sos-une-decouverte-exce.html

  • Château de Chaumontel

    Château de Chaumontel

    Château de Chaumontel Chaumontel
    Datation
    XIVe siècle - XVIIIe siècle

    Il ne reste de l'ancien manoir du Preslay que ses tours et ses douves. Les textes mentionnent qu'au XIVe siècle il constitue une position forte avec pont-levis, fossés en eau et basse cour. En 1560, il est en revanche décrit à l'état de ruine. En décembre 1707, Louis-Henri, prince de Condé, s'en rend acquéreur et reconstruit le château ; son fils, Louis-Joseph, s'en sépare en 1775. M. Bouillard de Bélair, conseiller à la Cour des comptes, rachète alors la demeure. M. Millescamps, membre de la chambre de commerce de Paris et éminent érudit, en devient à son tour propriétaire au XXe siècle. Entouré d'un parc arboré et d'une retenue d'eau, le château, qui a connu de nombreux remaniements, abrite désormais un hôtel-restaurant.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-chaumontel-chaumontel

  • Yves Lecoq, "fou de châteaux" : "une vocation"

     

    Yves Lecoq Fou de châteaux
    Yves Lecoq, ph. Roland Beaufre - Fou de châteaux, éd. du Chêne ©

    Yves Lecoq, "fou de châteaux" : "une vocation"

    Humoriste, imitateur, musicien, "saltimbanque"... et châtelain. Yves Lecoq, nous dévoile cette facette de son "intimité domestique" avec la publication d'un livre intitulé "Fou de Châteaux" aux éditions du Chêne. Une passion, voire même une "vocation" comme il nous l'explique, lors d'un entretien accordé à Maison à part.



    "M. Lecoq succéda donc à Madame Chapon, l'ancienne propriétaire. Après le "Haut la crête" de Suzanne (inscription au fronton de la propriété baptisée Suzanne, NDLR), il fallait bien cette coïncidence pour me croire chez moi."Yves Lecoq croit aux signes, qu'ils soient vécu dans l'humour, ou qu'ils le rapprochent des souvenirs de son enfance, vers où d'ailleurs il faut se tourner pour comprendre sa passion pour les châteaux. Un amour qu'il raconte dans un ouvrage intitulé Fou de châteaux, paru aux éditions du Chêne. Car celui qui incarne la voix du "PPD" des Guignols de l'info, tous les soirs sur Canal+, est né dans une famille amoureuse d'histoire. Sa grand-mère lui donne en effet très tôt le goût et la passion de ce qui sera sa première vie, "avant celle de saltimbanque" : celle d'antiquaire et de décorateur, avec une préférence pour la période du XVIIIe siècle, qui avait les faveurs de son aïeule. 

    Une "vocation"

    Cette histoire de château commence d'ailleurs par la volonté de trouver une maison à l'image de celle que possédait sa grand-mère, "nous sommes cinq enfants à avoir été marqués par cette maison du bonheur", une jolie maison meulière, toute simple, en lisière de forêt. La maison doit être familiale. Pour Yves, cela sera d'abord un joli pavillon à Vanves, avec un jardin. Alors qu'il cherche une autre maison en Normandie, terre de ses ancêtres, "je transformai mon envie de ferme à colombages, raconte-t-il dans son livre, en envie de manoir picard de briques et de pierres." La Picardie, terre également de champs de betteraves, là-même où son "père devait se rendre pour visiter les sucreries lorsqu'il travaillait chez Lebaudy(grande famille de sucrier, NDLR)" : un signe... Il trouve Hédauville, son premier "rêve achevé", un château du début du XVIIIe, qu'il retape plusieurs années et que l'antiquaire qu'il avait été, remplit de meubles et bibelots glanés au cours de ces tournées de saltimbanque. Nous sommes en 1975.

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    Yves Lecoq, fou de châteaux, ed. Chêne
    Yves Lecoq, Fou de châteaux - ph. Roland Beaufre - Ed. Chêne ©
    Yves Lecoq, devant Chambes

    Commence ensuite une série de "sauvetages" au gré des acquisitions et des reventes et surtout, des "coups de foudre"... Une passion ? Une folie, c'est sûr ! Voire, une "vocation". "Quand j'ai acheté Villiers (l'une de ses dernières acquisitions, NDLR) tout le monde m'a encore dit que c'était de la folie... mais en fait, j'ai procédé à ma petite mesure et j'y suis arrivé," nous raconte-t-il. "Je considère cela comme une action, je n'irais pas jusqu'à dire philanthropique, mais pour le moins qui me permet de laisser une trace, de sauver des endroits qui le méritent, qui méritent d'être préservés, un deuxième côté qui justifie certaines folies". Dans le livre, il précise encore, "redonner leur âme aux vieilles maisons, leur faire revivre leur passé, a toujours été pour moi comme une vocation." Lorsque l'on s'étonne que lui, personnage public, nous dévoile une partie de son "intimité domestique", comme il l'appelle, que cela soit à travers ce livre ou lors des visites des châteaux organisées l'été, il nous explique qu'il "essaie de garder le même esprit de châtelain, de l'époque" mais surtout, dit-il "d'une certaine manière, je l'ai acquis grâce au public, je lui renvoie donc l'ascenseur."

    Epopées

    A travers ce livre, Yves Lecoq nous conte ainsi ses différentes épopées : le château d'Hédauville, revendu pour celui de "Suzanne", en Santerre, dans lequel il vivra 18 ans de travaux avant de ne devoir s'en séparer ! Puis Maisonseule, une forteresse quasi en ruines "au fin fond des monts du Vivarais", d'architecture médiévale, sur lequel il s'arrête longuement. Avant de nous entraîner dans l'aventure du château de Villiers-le-Bâcle qu'il mettra deux ans à acquérir. Un "coup de foudre", "l'envoûtement de la découverte d'un monde à part". Villiers, c'est "la concrétisation de tous ces rêves". Le château est situé non loin de Paris et possède un parc magnifique : l'environnement est en effet aussi important pour Yves Lecoq que le bâti. 

    Vous l'aurez compris, Yves Lecoq ne s'arrête jamais ! En expert, quand il n'a pas un chantier en cours - et il en a toujours ! - il part à la recherche d'une demeure pour ses amis ou sa famille. Comme cette dernière acquisition, Chambes, trouvée en Charente, à l'occasion de pérégrinations pour sa sœur Françoise. Là encore, osons le jeu de mots, il aura 'suffit d'un signe' : Fénelon, avec qui les ancêtres d'Yves Lecoq avaient été liés, avait possédé cette seigneurie. Chambes devient la demeure familiale du saltimbanque... La dernière ? Pas sûr ! Encore faudrait-il qu'il se pose...

    Retrouvez l'interview d'Yves Lecoq en page suivante.


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    Yves Lecoq, Fou de châteaux - Ed. Chêne
    Yves Lecoq, Fou de châteaux - ph. Roland Beaufre - Ed. Chêne ©

    Fou de châteaux, Yves Lecoq, ph. Roland Beaufre, éd. Du Chêne, 2009, 39,90€ : où l'on découvre le Yves Lecoq châtelain, racontant avec force détails, humour bien sûr parfois et surtout le goût de transmettre - avec réussite ! - sa folie de redonner vie à ces grandes bâtisses du patrimoine.

    Les châteaux d'Yves Lecoq à visiter :
    - l'été, le Château de Maisonseule, Saint Basile, 07270 Lamastre, cf. Office de tourisme de Lamastre, T. 0475064899
    - le Château de Villiers-le-Bâcle, 6 route de Saint-Aubin, 91190 Villiers-le-Bâcle, cf. Office de Tourisme de la vallée de Chevreuse, T. 0169285972

    Ce livre peut-être commandé avec une remise de 5 % sur :

    Source : http://www.maisonapart.com/edito/immobilier-yves-lecoq--fou-de-chateaux-----une-vocation--3657.php

  • Château de L’Hermine

    Château de L’Hermine

    Château de L’Hermine Vannes

    Datation
    XVIIIe siècle - XIXe siècle

    Le bâtiment actuel de 1785 n'évoque guère la forteresse avec ' force petites tours, issantes les unes et autres sur la douve, grande partie portée en murailles et demi-tour, et deux grosses tours par le dehors ', que décrit Bertrand d'Argentré dans son Histoire de Bretagne de 1582. C'est le duc Jean IV qui, entre 1380 et 1385, fait construire le château pour renforcer l'enceinte de Vannes et y avoir une résidence. Il y adjoint de vastes dépendances où il crée un parc, le terrain qui s'étendait de la Garenne à l'Étang-au-Duc. Le 25 juin 1387, comme le rapporte Froissard, le duc ayant invité le connétable Olivier de Clisson à visiter son château, il le fait traitreusement prisonnier ' dans la maitresse tour '. Jean IV charge Jehan de Bazvalan d'exécuter Clisson qu'il juge coupable de trahison au profit du camp français. Le lendemain matin, le duc, alarmé par les conséquences de cet assassinat, fait appeler Bazvalan pour prendre conseil. Celui-ci, prévoyant l'erreur de son maitre, n'avait pas obéi à son ordre. Jean IV fut donc épargné de nouvelles difficultés avec le roi de France. Les ducs de Bretagne vivent dans ce château jusqu'au milieu du XVe siècle. François Ier de France y séjourne, en particulier en 1532, lors du vote des états pour l'union du duché. Sous Louis XIII, le château à l'abandon partiellement détruit, est donné par Louis XIV à la ville de Vannes en 1697. Ses pierres servent aux réparations des bâtiments dont la ville avait la charge. La forteresse est pratiquement rasée quand la ville vend son emplacement et ses soubassements à Julien Lagorce, traiteur, qui en fait l'hôtel que l'on voit aujourd'hui. Une école d'artillerie y est installée en 1874, puis l'administration du Trésor public jusqu'en 1974, date à laquelle la ville de Vannes en fait l'acquisition pour y installer l'école de droit du Morbihan.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-lhermine-vannes

  • Montrabé. L'histoire retrouvée du château disparu

    Montrabé. L'histoire retrouvée du château disparu

    Aline et Georges Grimbert aux côtés d'Yves Clottes ont fait de nombreuses recherches sur l'histoire du village.
    Aline et Georges Grimbert aux côtés d'Yves Clottes ont fait de nombreuses recherches sur l'histoire du village.

    C'était il y a très longtemps, ce château féodal était situé au centre du village actuel de Montrabé, près de la mairie. Aujourd'hui, il ne reste aucune trace de ce château.

    « Le château était une grande maison de structure irrégulière avec des toits énormes. Le corps de logis se flanquait de deux ailes inégales dont l'angle rentrant était armé de deux tourillons symétriques, placés comme des gonds à l'articulation d'une porte. Trois autres petites tours, une à droite, deux à gauche terminaient la saillie des ailes. De loin, le bâtiment avait une physionomie de place forte. Mais en réalité, à part les murs de la cour et les meurtrières de parade sur les tourillons, il n'y avait guère de moyens de défense. Le propriétaire de ce manoir était, en 1619, M.de Montrabé, seigneur de Montrabé, noble de Suplicy, ancien capitoul. Depuis cette époque, le village a porté le nom de son seigneur. M. de Montrabé a dû vendre son château (un document de 1679 l'atteste) à M. de Berthier. Ce dernier avait épousé la petite fille du comte de Riquet, seigneur de Bonrepos. »

    Ces recherches dans les archives départementales sont le travail d'Aline et Georges Grimbert et Yves Clottes, tous trois passionnés par l'histoire de leur village.

    Source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/17/738916-Montrabe-L-histoire-retrouvee-du-chateau-disparu.html

  • Château de Tronjoly

    Château de Tronjoly

    Château de Tronjoly Gourin

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    Il est construit en 1768 à l'emplacement d'un ancien manoir, l'aile est ayant été reconstruite à la fin du XVIIIe siècle après un incendie. Il prend place au milieu d'un parc de 20 hectares, traversé par un ruisseau avec étang, bois, prés et allées largement percées. Le nom Tronjoly vient du breton Traon Joliff qui veut dire Belle vallée. Le premier château est la propriété des Kergoët de 1426 à 1669, avant d'aller aux Lollivier puis aux Lescoët jusqu'en 1900. Hermine de Lescoët épouse alors le baron Joseph de Salvaing de Boissieu, qui dècède en 1955 et le laisse à sa fille Madeleine. Après le décès de celle-ci, la commune de Gourin en fait l'acquisition en 1984. Un grand fronton cintré et armorié orne le centre de la façade. Une devise, gravée dans la pierre sous la niche à cloche, dit : ' Mon timbre sonne exact à notre devoir '. À 100 mètres à l'ouest, un groupe de bâtiments présente les logis et communs des trois anciennes fermes. Rénovés depuis une décade et aménagés en logements, ils hébergent les vacanciers.
    Enfants