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  • Château de Sully (Suisse)

    Le château de Sully (Suisse)
    sully

    8 juillet 2006

    Sully

    10 février 2004

    Sully

    16 octobre 2002

    Sully

    29 juin 2002

    Sully

    Le château de Sully le 31 mars 2001

    Sully Sully

    Le château de Sully le 31 mars 2001

    Sully

    La ferme et le château de Sully le 31 mars 2001

    Autres vues aériennes de La Tour de Peilz


    20 février 1794: Claude-François-Bertrand de Boucheporn, orginaire de Metz, est guillotiné à Toulouse, soupçonné d'amitiés royalistes.

    6 octobre 1986: l'Art Center College of Design ouvre les portes de sa branche européenne, installée dans le château et la ferme de Sully, La Tour-de-Peilz.

     

    Par quel hasard des circonstances et des révolutions ces deux évènements peuvent ils être liés?

    Descendant de Claude-François-Bertrand de Boucheporn, dont les enfants avaient fui la France de la Révolution, le baron Bertrand de Boucheporn achète le vaste domaine de Sully et confie à l'architecte genevois Emile Reverdon la construction de ce qui finira par s'appeler, de façon un peu prétencieuse "château de Sully". En réalité, en 1882, date de la construction du "château", il s'agissait plutôt d'une demeure confortable destinée à la résidence permanente du baron et de sa famille.
    Sur le site se trouvaient déjà une ferme, construite aux environs de 1850, ainsi que la maison de garde, plus ancienne, construite par les moines de Haute-Rive.
    L'assymétrie et la recherche du rationnel caractérisent le plan d'origine, ainsi que l'attestent les gravures d'époque du bâtiment, publiées par Lambert et Rychner.

    sully

    Vue de la villa en 1882. Landolt et Rychner.

    C'est bien plus tard, en 1929, que la demeure devient "château", grâce à l'ambition et à l'envie de fêter et de paraître du nouveau propriétaire, Wilhelm Escher, grosse fortune zurichoise et industriel chez Nestlé.
    L'architecte de La Tour-de-Peilz, Ferdinand Kurz, se charge des travaux qui donnent au bâtiment l'image qu'il a conservé jusqu'à nos jours. C'est en effet à l'occasion de ces travaux que l'organisation intérieure du bâtiment reçoit une annexe à l'est, un porche au nord et, surtout, la piscine semi-enterrée, à l'ouest. Tout le confort actuel et de luxueuses salles de bains sont également installées à ce moment.

    La gloire du château fut éphémère car non seulement la maîtresse d'Escher finit par préférer les salons de Vevey, mais ce dernier a fait faillite.
    Une société achète le domaine , en 1943, dont plusieurs parcelles sont vendues.
    Après un bref séjour au château de l'écrivain Joseph Kessel, celui-ci est repris par Liliane Borle puis loué jusqu'à l'achat de ce qui reste du domaine par la Société d'équipemments publics du Haut-Léman SA.
    II aura fallu quelques années de recherches avant de trouver une nouvelle affectation pour le château et la ferme, dont la dégradation allait en s'accentuant.

    Est-ce le site magnifique, le prestige du château, la neutralité de la Suisse, les potentialités du canton et de la région, la situation géographique ou les efforts en relations publiques qui ont convaincu l'Art Center College of Design de Passadena d'opter pour Sully en vue de l'ouverture de sa succursale européenne? Probablement un mélange de tout cela, mais aussi la capacité des Autorités concernées de soutenir le Conseil d'Administration dans une opération rapide et dynamique.

    Et voilà comment, plus d'un siècle plus tard, les bâtiments entièrement rénovés, retrouvent une nouvelle vie très internationale dans un domaine en plein essort, celui du design industriel.

    1995: l'école ferme ses portes et peu après le château redevient une propriété privée.

    Shania Twain a habité le château jusqu'en 2006.

    Autres photos depuis le sol..

    La ferme

  • La Maison de Chateaubriand - La vallée aux loups

    La Maison de Chateaubriand

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    Un haut lieu du romantisme dans les Hauts-de-Seine

    Sur les pas de l'Enchanteur


    "Ce lieu me plaît ; il a remplacé pour moi les champs paternels ; je l'ai payé de mes rêves et de mes veilles..." (Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe)

    Un haut lieu du romantisme dans les Hauts-de-Seine
    Maison de Chateaubriand - CG92 / Jean-Luc Dolmaire

    La Maison de Chateaubriand est un des trois musées départementaux du conseil général des Hauts-de-Seine avec lemusée Albert-Kahn et le musée de l’Île-de-France.

     

    Située à quelques kilomètres de Paris, la Vallée-aux-Loups offre à Chateaubriand en 1807 une demeure à l’écart de la scène politique qu’il quitte pour un temps après avoir publié dans le Mercure de France un article fustigeant le despotisme de Napoléon qui lui vaut la sanction de s’éloigner de la capitale.

    En novembre 1807, l’auteur s’installe avec son épouse Céleste dans ce qui n’est alors qu’une maison de jardinier, à laquelle il donnera une empreinte toute personnelle qui en fait aujourd’hui une maison d’écrivain singulière, fortement marquée de la présence de l’auteur.

    Si c’est à Combourg que Chateaubriand dit être devenu ce qu’il est, la Vallée-aux-Loups est indéniablement l’autre lieu emblématique lié à la mémoire de l’écrivain. C’est là en effet que s’exprime toute la dimension de l’homme, à la fois écrivain, homme politique, voyageur et botaniste.

    Incessamment pris entre les feux d’une carrière politique contrariée et d’une vie littéraire féconde, Chateaubriand trouva là un « petit désert » où apaiser son amertume de ne pouvoir occuper sur la scène politique de son temps la place qu’il espérait. C’est là aussi qu’il écrivit quelques-uns de ses ouvrages majeurs et commença la rédaction des futurs Mémoires d’outre-tombe. Enfin, aménageant lui-même maison et parc, il fit de la Vallée-aux-Loups la demeure d’un voyageur immobile vivant au milieu des souvenirs des pays parcourus, disant les patries spirituelles de l’homme comme les correspondances intimes entre nature et lieu de vie et de création.

    La Maison de Chateaubriand invite à ce voyage immobile au cœur du romantisme, sur les pas de l’Enchanteur...

     


     

    Source : http://www.maison-de-chateaubriand.fr/web/chateaubriand/la-maison-de-chateaubriand;jsessionid=B338CE136FA7511C47BA577C1FE1CC4C

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  • Château de Cormatin

    Château de Cormatin

    Cormatin Chateau 01.jpg
    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style Renaissance
    Début construction xviie siècle
    Propriétaire initial Antoine du Blé d'Uxelles
    Destination initiale Demeure de plaisance
    Destination actuelle Habitation privée
    Classement Classé monument historique
    Site internet Consulter
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    46° 32′ 35″ Nord
    4° 41′ 03″ Est
    Pays France France
    Région Blason fr Bourgogne.svg Bourgogne
    Département Saône-et-Loire
    Commune Cormatin
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Cormatin

    Le château de Cormatin est situé sur la commune de Cormatin en Saône-et-Loire, dans une île de la Grosne. Construit au début duxviie siècle, il conserve des détails d'origine rares comme son escalier et la décoration de certaines pièces. Le château est classémonument historique depuis 19951

    Sommaire

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    Description [modifier]

    Seuls subsistent, encadrant une cour d'honneur, le corps de logis principal et une aile disposée en retour d'équerre. Sur ses trois angles extérieurs, l'ensemble est flanqué de pavillons demi-hors œuvre eux-mêmes flanqués sur leurs angles intérieurs de tourelles en surplomb sans valeur défensive. Le corps de logis principal ouvre sur la cour d'honneur par une porte inscrite dans une travée dorique couronnée d'un édicule que surmonte un fronton encadrant un buste décapité. On y accède par un perron de cinq marches. Ce corps de logis comprend au centre de sa façade occidentale un avant-corps d'une travée. L'aile en retour d'équerre ouvre sur la cour par une porte inscrite entre deux pilastres ioniques.

    Au milieu de l'aile nord, l'escalier à cage vide est le plus ancien de ce type conservé en France[réf. nécessaire]. Au rez-de-chaussée, les pièces (appartements de la Marquise d'Uxelles notamment) ont conservé leurs cheminées de bois sculpté, leurs lambris encadrant des panneaux de cuir de Cordoue, leurs plafonds à la française délicatement peints, leur mobilier, leurs tableaux attribués àClaude GeléeLesueurMignardNattierRigaudVan de Velde et Velasquez. L'un des plus anciens plafonds est celui, « à ciel », du cabinet des curiosités ; le lapis-lazuli et les dorures du cabinet Sainte-Cécile facilitent le reflet des bougies et donc la lecture.

    Le domaine comporte un parc de douze hectares avec parterres fleuris, grand labyrinthe de buis et potager à l'ancienne. Un jardin ordonné a existé dès 1620, soit à l'époque de la construction du château actuel. Simplifié au début du XVIIIe siècle, paysagé vers1785 avec plantation d'arbres rapportés d'Amérique par Pierre Desoteux après la guerre d'Indépendance (tulipiers, cyprès chauves, etc.). Le jardin est détruit vers 1815 pour trouver la terre nécessaire au comblement des douves. Il a été recréé à partir de 1990 après remise en place des terrains.

    Le château, classé aux Monuments historiques, est une propriété privée. Il est ouvert au public. Il est accessible par la ligne n°7 du réseau Buscéphale (les autocars départementaux de Saône-et-Loire)

    Historique [modifier]

    • xiiie siècle : la famille du Blé est propriétaire du fief.
    • 1605 : Antoine du Blé d'Uxelles, petit noble de la région, devient un chef militaire durant les guerres de religion pendant lesquelles il s'enrichit2Henri IV le nomme gouverneur militaire de Chalon2. Antoine du Blé fait alors construire l'actuel château dans le styleRenaissance mais en lui donnant un aspect d'architecture militaire (sous-bassement à bossage, tourelles d'angles, canonnières), inspiré de la citadelle de Chalons2, affirmant ainsi sa nouvelle position sociale en Bourgogne2.
    • 1627 : Jacques du Blé, fils du précédent, époux de Claudine Phelypeaux, proche de la reine Marie de Médicis2 réalise la décoration intérieure dans le goût de l'époque2, faisant venir de Paris plus de soixante tableaux.
    • 1629 : séjour au château de Louis XIII et de Richelieu.
    • 1730 : au décès du maréchal d'Uxelles, dernier représentant de cette famille, cité par Saint-Simon dans ses Mémoires ; le domaine passe entre les mains d'Henri-Camille de Beringhem, gouverneur de Chalon.
    • 1766 : celui-ci revend le domaine à Jean-Gabriel Verne dont la fille, d'abord mariée à Antoine Viard de Sercy, épouse Pierre Desoteux, homme qui participera à la guerre d'Indépendance américaine puis qui fut mêlé, sous le nom de baron de Cormatin, à la révolte des Chouans (il mourra en 1812 en état de démence).
    • 1809 : ayant divorcé deux fois pour sauver son bien, Geneviève-Sophie Verne finit par vendre ses terres au général Étienne Maynaud Bizefranc de Lavaux.
    • 1810 : celui-ci cède le château à Joseph-Laurent Salavin, industriel lyonnais qui confie à un certain Girardet, ex-prêtre, la transformation en manufacture d'indienne de l'aile méridionale du château ; le bâtiment, ébranlé par la destruction de murs porteurs, devra toutefois être détruit, opération dans laquelle l'industriel devait trouver la mort ; le château n'ayant pas été payé, il retourne à Étienne Maynaud Bizefranc de Lavaux.
    • Dans les années 1810, le poète Lamartine, alors âgé d'une vingtaine d'années fréquente Nina de Pierreclau, la fille de la propriétaire dont il aura un fils, Léon de Pierreclau, qui naitra au château2.
    • 1828 : la fille du général, mariée à Charles Brosse, en hérite.
    • 1843 : la fille naturelle du précédent, Marguerite Verne, épouse Pierre-Henri de Lacretelle ; les Lacretelle continuent de recevoir régulièrement Lamartine. Celui-ci fera son dernier discours politique sur les marches du château juste avant l'avènement du Second Empire2.
    • 1888 : naissance au château de l'écrivain Jacques de Lacretelle.
    • À la fin du XIXe siècle, Raoul Gunzbourg fait l'acquisition du château2 dont il aménagera certaines pièces dans le style Belle Époque. D'origine roumaine, après avoir dirigé des théatres à Moscou, Raoul Gunzbourg fut le directeur pendant plus de 50 ans de l'opéra de Monte-Carlo. Il recevra à Cormarin de nombreux chanteurs d'opéra qui venaient y répéter2. Gunzbourg deviendra le maire du village et donnera chaque année un opéra dans les jardins du château chanté par de grands ténors de l'époque dont Caruso2.
    • 1973 : M. James Plain revend la propriété, avec son mobilier, à M. Loret de Sainte-Croix.
    • 1980 : après son acquisition par des agents immobiliers, le château en partie en ruines, cernée par la végétation et des prairies marécageuses2, est racheté par Marc Simonet-Lenglart, Pierre Almendros et Anne-Marie Joly qui vont le rénover et qui en sont aujourd'hui toujours les propriétaires.
    • À partir de 1981, le président François Mitterrand, amateur de Lamartine, y fera des passages réguliers2.

    Bibliographie [modifier]

    • Mémoire de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône, de R. VIOLOT (1940)
    • Le château de Cormatin en Saône-et-Loire, M. CLERGEAT

    Galerie [modifier]

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    Cliquez sur une vignette pour l’agrandir

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Cormatin

  • Château d'Épiry

    Château d'Épiry

    Le château d'Épiry est situé sur la commune de Saint-Émiland en Saône-et-Loire, à flanc de coteau, à l'écart du village.

    Sommaire

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    Description [modifier]

    Le château a conservé de l'époque médiévale quatre tours rondes et un corps de logis qui indiquent le plan polygonal de l'ancien château fort ordonné autour de la cour ; le mur qui, à l'origine, fermait cette cour, a été remplacé par une grille, encadrée de deux lions de pierre, à laquelle on accède par un pont qui franchit les douves encore visibles. Les quatre tours rondes pourraient dater du xive siècle. La tour Nord Ouest a conservé trois bretèches en pierre soigneusement appareillées, réparties les unes par rapport aux autres de façon à dominer l'angle d'entrée du château. La tour sud-est renferme la chapelle du xve siècle, ornée d'une piscine à décor flamboyant et de vitraux anciens et où dut être baptisé Roger de Rabutin.

    Le corps de logis du xve siècle occupe, entre les deux tours, le côté nord de la cour. La façade extérieure est assez austère, celle de la cour est plus ornée.

    Vers l'est, un important corps de logis ferme la cour, face à l'entrée ; la date de sa construction est inscrite au tympan de la porte : 1717. La partie centrale, marquée de toute sa hauteur par des refends, est couronnée d'un fronton triangulaire percé d'un oculus. vers le parc, ce corps de logis offre une large façade de même caractère qui se développe au-delà des tours médiévales. La partie centrale est surmontée d'un fronton triangulaire. Il se termine aux extrémités par deux avant-corps peu saillants, dont les angles sont soulignés par des refends.

    Le château est une propriété privée et ne se visite pas.

    Il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques1 depuis octobre 1975.

    Historique [modifier]

    Roger de Bussy-Rabutin

    Notes et références [modifier]

    Bibliographie [modifier]

    • Merveilles des châteaux de Bourgogne (1969)

    Voir aussi [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_d'Épiry

  • Château de Crévy

    Château de Crévy

    Château de Crévy La Chapelle-Caro
    Matériaux
    Schiste
    granit
    Calcaire
    Datation
    XIVe siècle - XVIIIe siècle

    Tour à tour oppidum romain, château de bois puis de pierre, le château de Crévy connait depuis le IIIe siècle une histoire agitée. Un édifice est construit au XIVe siècle dont on conserve quelques parties, malgré de nombreux remaniements. Pendant les guerres de Religion, le château est au c'ur du conflit qui oppose les Malestroit, catholiques, aux Rohan de Josselin, protestants. En 1644, y séjourne le jeune Descartes dont la s'ur vient d'épouser Pierre Rogier du Crévy. Au XVIIe siècle, le sire de Crévy est un personnage important qui ne manque de relations ni à Versailles ni à Rennes. Remaniements et destructions sont le lot du château de Crévy. Au XVIIIe siècle la famille de Brilhac décide d'appuyer un corps de logis moderne au donjon de l'enceinte médiévale. En 1855, l'architecte rennais Jacques Mellet construit un autre corps de logis à l'ouest, encadré par deux tours, l'ensemble dans le plus pur style troubadour. Mais si certains propriétaires agrandissent l'édifice, d'autres, le jugeant trop vaste, ordonnent la démolition de certaines parties comme le donjon ou la chapelle. Désormais, le château abrite un musée du costume.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-crevy-la-chapelle-caro

  • Château de Santeny

    Château de Santeny

    Château de Santeny Santeny

    Matériaux
    Calcaire
    ardoise

    La famille de Besse, descendante de Barthélemy de Besse qui avait acheté pendant la Révolution le domaine des Lyons, se rend peu à peu propriétaire des terres majeures de Santeny. Il restait, pour consacrer sa place prépondérante, à faire édifier une demeure à la hauteur de son patrimoine. C'est chose faite en 1868. Le lieutenant de vaisseau Achille François Brac de la Perrière ' époux depuis 1851 d'Amélie de Besse, l'arrière-petite-fille de Barthélemy ' s'installe sur l'ancien domaine du Rollet ou Rolé. L'imposante demeure témoigne, avec ses étranges clochetons néo-moyenâgeux, de l'éclectisme des goûts de l'époque.