Vidéo Château et paysages de Villandry
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Source : http://terresdeloire.net/blog/?page_id=147
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Présentation | |
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Période ou style | Château fort |
Type | Château |
Date de construction | xvie siècle |
Géographie | |
Latitude Longitude | Non renseigné (Chercher ce lieu) |
Pays | France |
Commune | {{{commune}}} |
Monument - Monuments par pays | |
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Le Château d'Essalois à Chambles surplombe le lac de Grangent, dans le département de la Loire en France.
Le château d’Essalois se dresse sur un lieu qui constitue un point stratégique naturellement fortifié et habité par des hommes depuis des temps immémoriaux.
L’oppidum gaulois (occupé par les Ségusiaves de -170 à -25) très important s’étendait à 500 mètres en arrière du château au lieu dit « le palais ». Il en subsiste des murailles noyées par les genêts. La mise au jour d’amphores et de pièces de monnaie au cours des fouilles archéologiques menées par M. Preynat ont révélé l’existence d’échanges commerciaux importants (vin) avec l’Italie, antérieurs à l’occupation romaine.
Les documents les plus anciens faisant mention du château sont du xive siècle. Le puy d’Essalois (Podium deysaluym, Mons deysaluym, puis Suc du Pré) est cité dans les chartes à partir de 1337.
En 1378, Arthaud de Villedieu rend hommage au Comte du Forez pour la maison et la tour d’Essalois qui surveillait la Loire.
En 1464 la tour d’Essalois appartenait à Beraud de la Bâtie.
Jusqu’à ce jour, les vestiges de cette construction primitive n’ont pu être identifiés.
Le château tel qu’il parait actuellement fut construit en grande partie en 1580 par Léonard de Bertrand, Seigneur d’Essalois et maître des eaux et forêts à Montbrison. En 1590, le château a été pillé par une troupe de ligueurs commandés par Honoré d’Urfé.
La seigneurie qui s’étendait sur Chambles, Périgneux, Saint-Marcellin et Saint-Rambert passa au xviie siècle aux seigneurs de Sury-le-Comtal, les De la Veuhe puis par eux aux Sourdis.
En 1671, Catherine d’Entraigues, veuve de Pierre de Sourdis vendit la seigneurie aux moines Camaldules du Val Jésus. Les Camaldules vendirent Essalois à Thomas Gonyn de Lurieu qui le conserva de 1690 à 1703. Cette année là ,les Camaldules en firent reprise et le conservèrent jusqu'en 1798.(Emile Salomon Les Chateaux historiques du Forez tome 2)
Au xviiie siècle, vendu comme bien national à Pierre Thiollière de la Réardière, il passe ensuite successivement à plusieurs propriétaires. Il se compose alors d’un vieux château fort, consistant en deux tours et corps de bâtiment abritant le granger, les bâtiments d’exploitation, les écuries et tout autour des bois, forêts, prés, rochers, bruyères, d’environ 718 métairies. Cet inventaire de 1791 et la lecture des plans du relevé permettent de distinguer du moins dans les superstructures deux parties dont la plus ancienne est manifestement la moitié sud qui comporte les deux tours rondes.
Le château est en ruine quand il est acheté vers la fin du xixe siècle par Hippolyte Sauzéa, marchand à Saint-Étienne qui le restaure et le lègue aux Hospices de Saint-Étienne.
Les façades Est et Ouest portent des signes évidents (joint verticaux, reprise de maçonnerie) qui permettent de délimiter les deux campagnes de restauration. Les ouvrages en brique, corniche en génoise, arcatures et piédroits de créneaux sont les marques du xixe siècle. Sur la façade Ouest le blason d’Hippolyte Sauzéa.
En 1976, le Syndicat Mixte d’Aménagement des gorges de la Loire (sept communes riveraines du lac de Grangent) et le département de la Loire acquiert le château d’Essalois. La restauration se poursuit depuis 1983 sous la direction de M. Gilles Michelou, avec l’aide de M. Lazar, architecte des Bâtiments de France.
L’ensemble du château d’Essalois a fière allure et constitue par son volume et sa position, l’un des points forts du paysage des Gorges de la Loire. Il symbolise l’action du syndicat Mixte d’aménagement des Gorges de la Loire. Il se visite librement, sa tour offrant une vue splendide sur le paysage.
Panneau d'information sur le site, citant :
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par ordre alphabétique par période par région |
Présentation | ||
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Nom local | Tours d'Elven | |
Période ou style | Médiéval | |
Type | Château-fort | |
Début construction | xiiie siècle | |
Fin construction | xve siècle | |
Destination initiale | Tour résidence | |
Classement | Monument historique | |
Site internet | Consulter | |
Géographie | ||
Latitude Longitude | ||
Pays | France | |
Région historique | Bretagne | |
Région | Région Bretagne | |
Département | Morbihan | |
Commune | Elven | |
Géolocalisation sur la carte : Morbihan | ||
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La forteresse de Largoët, également connue sous le nom de tours d’Elven, est un site médiéval situé à Elven, dans le Morbihan, à13 km de Vannes.
Un château est mentionné pour la première fois en 1020, comme possession du seigneur d'Elven Derrien 1er, mais l'édifice que l'on connaît actuellement a été construit entre le XIIIe et le xve siècle. Le domaine devient la propriété de la famille Malestroit au xiiie siècle. Les partis de Blois et de Montfortse le disputent pendant la guerre de succession de Bretagne, puis il échoit à la famille des Rieux auxve siècle. C'est à cette époque (entre 1474 et 1476) que Jean IV, seigneur de Rieux, y retient Henri Tudor, duc de Richmond, futur Henri VII d'Angleterre. En 1490, Charles VIII démantèle le château, mais il est restauré sous l'impulsion d'Anne de Bretagne.
Nicolas Fouquet l'achète en 1656, et après sa mort il est vendu à Michel de Trémeurec et demeure dans sa famille. Au xixe siècle, il est question de détruire Largoët, vu son état de délabrement mais il est sauvé de la démolition grâce à l'action de Prosper Mérimée, qui le fait classer monument historique en 1862. Depuis les années 1970, on a commencé à entreprendre sa restauration.
Dans les années 1980-1990, le site est le lieu d'organisation de spectacles son et lumière qui avaient lieu pendant l'été et qui étaient très réputés dans la région. Les spectateurs prenaient place sur des gradins situés face au lac et contemplaient l'embrasement des deux tours au cours de la reconstitution de contes et de légendes : Lancelot du Lac, Tristan et Iseut... Les Elvinois jouaient les rôles principaux et étaient nombreux à participer en tant que figurants. Un feu d'artifice clôturait chaque représentation. Malheureusement, ces spectacles, organisés par l'Association pour la Renaissance du Château de Largoët (ARCL) cessèrent au milieu des années 1990. En 2002, un spectacle son et lumière en langue bretonne y a été organisé.
Les ruines de Largoët conservent un aspect imposant, notamment grâce au donjon octogonal du xive siècle. Haut de 45 mètres, il est l'un des plus élevés de France (donjon de Vincennes : 52 mètres). C'était une tour résidence (destinée à l'habitation seigneuriale) qui comportait cinq étages, tous planchéiés. Ses murs sont épais de 6 mètres et dépassent 9 mètres à certains endroits. L'entrée se faisait au rez-de-chaussée par une porte qui était précédée d'un pont-levisenjambant un fossé. Cette porte s'ouvre sur un couloir long de 7 mètres qui traverse toute l'épaisseur du mur et débouche sur une salle d'environ 40 m². À chacun des étages supérieurs, on retrouvait une salle identique. Au premier étage, on peut encore voir la pièce où séjourna Henri Tudor. L'énorme épaisseur des murs permis aux bâtisseurs un agencement remarquable des circulations verticale et horizontale: deux escaliers à vis sont pris dans l'épaisseur des murs. L'un, partant du rez-de-chaussée et destiné à l'usage seigneurial et à la réception des visiteurs de marque, dessert tous les niveaux jusqu'au chemin de ronde sommital. Un second escalier à vis, plus étroit, situé dans le mur opposé, à usage plus privatif, part du premier étage et dessert les étages supérieurs. À chaque niveau, une petite pièce adjacente, aménagée dans la considérable épaisseur des murs, servait de garde-robe ou de cabinet privé. Toujours à chaque niveau, un étroit couloir menait à des latrines dont le conduit de chute est réservé dans l'épaisseur du mur.
En plus de cet édifice colossal, on trouve à Largoët :
La légende dit qu'un souterrain aurait permis autrefois de quitter la forteresse pour gagner le bourg d'Elven, situé à 3 km de là, mais son entrée et son trajet n'ont jamais pu être déterminés. La tradition locale précise qu'il partait du donjon, sans que l'entrée n'ait jamais été localisée. Des travaux dans l'auberge du Lion d'or, dans le centre d'Elven, auraient permis de mettre à jour une galerie mais sans que rien n'ait pu être vérifié quant à la destination finale de cette galerie.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_largoët
Présentation | |
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Période ou style | XIIIème-néogothique |
Architecte | Eugène Viollet-le-Duc |
Début construction | XIIIème |
Fin construction | 1860-1878 |
Propriétaire initial | Seigneur de Montdardier |
Destination initiale | Vocation militaire |
Propriétaire actuel | Propriété privée |
Classement | inscrit monument historique |
Géographie | |
Latitude Longitude | |
Pays | France |
Région | Languedoc-Roussillon |
Département | Gard |
Commune | Montdardier |
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Le château de Montdardier est situé sur la commune de Montdardier dans le Gard à 9 km du Vigan. La forteresse édifiée au XIIesiècle a été plusieurs fois démolie puis restaurée en 1860 par Viollet le Duc.
Le château de Montdardier fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 20/02/19891.
Localisé sur une colline dominant la vallée de la Glèpe et l'extrémité sud est du Causse de Blandas, le château de Montdardier commande dès l'époque médièvale l'antique voie qui reliait le Vigan à Lodève. Le Château est situé à la limite des Cévennes et du Causse de Blandas. Sa localisation offre une vue imprenable sur toute la vallée de la Glèpe jusqu'au Vigan et à l'est jusqu'à Saint-Hippolyte-du-Fort et même par beau temps jusqu'au Mont Ventoux. Ce panorama résume à lui seul l'importance stratégique de l'édifice.
Le château de Montdardier s'est ainsi trouvé à plusieurs reprises dans une zone de frontière: entre Causse et Cévennes, entre terres anglaises et terres françaises lors de la guerre de Cent Ans, entre protestantisme et catholicisme lors des guerres de religion, entre zone républicaine et zone royaliste au XIXème siècle ou encore entre ensembles industriels et milieu agricole au XXème siècle.
Le terroir de Montdardier est mentionné dès 1099 dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert. Il semblerait que le château ou le poste de garde primitif ne se situait pas à l'emplacement du château actuel mais entre le village, le hameau de la Sanguinède et la mas de la Gardie, le lieu a d'ailleurs gardé le nom de "castel viel".
La construction du château s'inscrit dans le mouvement d'édification des châteaux médièvaux. Dans ce type d'organisation, caractéristique du XIIème siècle, le château occupe le sommet d'une montagne ou d'une colline et le village s'installe à proximité afin de bénéficier de sa protection.
Le blason des Ginestous de Montdardier est gravé au dessus du portail du château |
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Montdardier
Présentation | ||
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Période ou style | Renaissance | |
Type | Château-fort | |
Architecte | Raymond du Temple, Guy de la Trémouille | |
Début construction | xive siècle | |
Fin construction | xviiie siècle | |
Propriétaire initial | Philippe Auguste | |
Propriétaire actuel | Conseil général du Loiret | |
Destination actuelle | Visites | |
Classement | Monument historique (1928, 1944), patrimoine mondial de l'UNESCO (2000) | |
Site internet | Consulter | |
Géographie | ||
Latitude Longitude | Wikimapia | |
Pays | France | |
Région historique | Val de Loire | |
Département français | Loiret | |
Région française | Centre | |
Commune | Sully-sur-Loire | |
Géolocalisation sur la carte : France | ||
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Le Château de Sully-sur-Loire est un château français situé au bord de la Loire, dans la commune de Sully-sur-Loire, le département du Loiret et la région Centre.
Le château est situé dans le centre de Sully-sur-Loire, sur la rive gauche de la Loire, à proximité du pont, à l'angle du chemin de la Salle verte, de l'avenue de Béthune et de la promenade des douves. L'eau qui l'entoure est issue de l'étang de Marcon.
Le château est desservi par les lignes 3 7 12 du réseau Ulys.
Le château est mentionné dès 1102, il contrôlait un pont sur la Loire qui disparut dès lexive siècle. Il n'a appartenu au cours des siècle qu'à trois familles : les premiers seigneurs de Sully, la famille de la Trémouille, et la famille de Béthune1.
En 1218, Philippe Auguste fit bâtir une tour maîtresse.
En 1396, Guy de la Trémouille lance la construction du château actuel, Raymond du Temple(architecte du roi et du duc d'Orléans) en dresse les plans.
En 1524, un bâtiment est ajouté au sud-est de l'édifice.
Il est acquis en 1602 par Maximilien de Béthune, le grand Sully, premier duc du nom. Entre1602 et 1607, ce dernier transforme le château à son usage, édifiant également un parc.
Le jeune Louis XIV se réfugie au château en mars 1652 lors de la Fronde des princes.
En 1715, le château accueille Voltaire qui fuyait Paris.
Au milieu du xviiie siècle, un bâtiment est construit au nord du corps d'entrée.
Le château subit un incendie en 1918 et les bombardements de juin 1940 et d'août 1944 durant la Seconde Guerre mondiale.
Le château est resté dans la famille du 1er duc de Sully jusqu'en 1962, année à laquelle le Conseil général du Loiret l'acquiert et le restaure.
Le château est entouré de douves encore en eau et comprend deux parties distinctes : le donjon et le petit château. Il est bâti au confluent de la Loire et de la Sange.
Le donjon, bâtiment rectangulaire cantonné de quatre tours circulaires, et doté d'une porte à deux tours vers le sud, correspond à la campagne de Guy de la Trémoille. L'intérieur a été profondément réaménagé par Maximilien de Béthune. À noter au premier étage, la grande salle avec ses portes en bois du xviie siècle, la peinture du château de Rosny-sur-Seine sur le manteau de la cheminée, enfin la porte de fer donnant accès au « cabinet » de Sully. La charpente sous comble est un remarquable ouvrage du xive siècle en berceau brisé. Le donjon de Sully offre un cas remarquable de logis à tours circulaires de la fin du xive siècle ; entièrement consacré à l'apparat, il est doublé par un logis privé de même structure interne, mais bien plus intime, donnant la mesure de la dichotomie entre le public et le privé dans les grandes cours princières.
Le petit château ferme la cour au sud du donjon. Il comprend un logis et deux tours, dont une celle du sud-est, a été construite au milieu duxve siècle sur une tour plus ancienne, alors que l'autre, dite « tour de Béthune », plus basse et terrassée, est une « une tour à canon » édifiée en1605. Le logis, construit dans la première moitié du xve siècle, fut à partir du xvie siècle, la résidence habituelle des seigneurs de Sully. Les intérieurs ont été réaménagés (décor et mobilier) à la fin du xixe siècle. Le corps qui joint le petit château au donjon a été rajouté au xviiie siècle, et refait après l'incendie de 1918.
La basse-cour, à l'est, aujourd'hui nue, contenait autrefois le donjon bâti par Philippe Auguste peu avant 1219, à l'occasion d'une confiscation de la seigneurie, ainsi que l'église-collégiale Saint-Ythier, transférée par M. de Béthune à l'intérieur de la ville.
Du parc, il reste aujourd'hui la vaste surface, entourée par les canaux que M. de Béthune fit aménager pour mettre le site à l'abri des crues de la Loire.
Le château est classé en 1928 aux Monuments Historiques2 et est ouvert au public à partir de 1933.
Il délimite la partie est de la vallée de la Loire, classée au patrimoine mondial par l'UNESCO en 20003.
Le château accueille, tous les mois de juin depuis 1973, un festival international de musique classique, le festival de Sully et du Loiret4.
Un timbre postal, d'une valeur de 0,45 franc français, représentant le château a été émis le 9 novembre 19615.
Jules Loiseleur, Sully-sur-Loire, monographie du château, Le livre d'histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France », 1868 (réimpr. 1993), 134 p.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Sully-sur-Loire
Source : http://programme-tv.premiere.fr/magazine/20h35-Des-racines-et-des-ailes/31850075