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  • Château de Pirou

    Château de Pirou

    Le château de Pirou

    Le château de Pirou est un château fort datant du xiie siècle, situé dans la commune de Pirou, en Cotentin, dans le département de la Manche.

    Bâti en bois, puis en pierre au xiie siècle par les seigneurs de Pirou, il était, à l’époque de sa construction, situé sur le littoral. Il surveillait ainsi la côte Est de la Manche pour protéger Coutances.

    Devenu ferme au xviiie siècle, la bâtisse se dégrade, jusqu’à son inscription en 1968, à l’Inventaire supplémentaire desMonuments historiques, et le début de sa restauration sous l’impulsion de l’abbé Marcel Lelégard (1925-1994).

    La légende des oies de Pirou [modifier]

    Le château est le lieu d’une célèbre légende normande.

    Assiégés par les Normands, le seigneur de Pirou et sa famille se métamorphosèrent en oies, à l’aide d’un grimoire, pour échapper aux assaillants. Mais quand quelques jours plus tard, les oies revinrent au château pour lire à l’envers la formule magique et reprendre forme humaine, le grimoire avait brulé avec le château, incendié par les Normands.

    L’histoire expliquerait ainsi la migration annuelle des oies sauvages en mars dans le Cotentin.

    Lien externe [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Pirou

  • Château de Laval

    Château de Laval

    ChateauFortLavalFrance050105smallGFDLMelusin.jpg

    Le château de Laval est un château situé à Laval, dans le département français de la Mayenne.

    Sommaire

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    Description [modifier]

    On trouve dans l'« ancien » château :

    Histoire [modifier]

    Grand seigneur féru d'italianismeGuy XVI de Laval entreprend la rénovation du Vieux Château de Laval et l'édification du Château-neuf2, qui fut le siège du Palais de Justice au XIXe et auxxe siècle. Il y mène grand train si l'on en croit un état de la maison de Laval qui signale dans son entourage "toutes sortes d'officiers que l'on voit chez les princes [...] jusques aux trompettes, hautbois, saquebutes, luths, organistes et musiciens" (Jehan Daniel).

    Suivant Jacques Le Blanc de la Vignolle, ce que est appelé le Petit château ou Château-neuf fut achevé par Guy XVII de Laval et Claude de Foix, sa femme, dont les armes se voyaient, dit ce même auteur, sur les écussons qui décorent la façade3.

    Le Petit-Château pendant la Révolution française, fut un hôpital militaire de convalescents avant d'être attribué au tribunal, 1795. En 1821, les deux châteaux sont vendus au département par Louis-Stanislas de la Trémoïlle pour 90 000 francs, Le Château-Neuf conserve sa fonction de Palais de Justice tandis que le Vieux-Château est reconverti en prison. C'est au 1er mars1908, que les prisonniers ont quitté le château. Le Vieux Château devient un musée d'art naïf dans les années 1970, en hommage au Douanier Rousseau, peintre d'origine lavalloise. LePalais de Justice de Laval déménage en 2006 vers un nouveau bâtiment, le Château-neuf est depuis en restauration pour une application encore indéterminée.

    Notes et références [modifier]

    1. Dans l' Abécédaire ou rudiment d'archéologie [archive] d'Arcisse de Caumont, on trouve une description du donjon avec dessins : vue extérieure, coupe du monument et de la charpente, profil et plan de cette même charpente (p. 472-476)
    2. Guillaume Le Doyen donne à l'époque les chroniques suivantes
      (1508Et d'avril au commencement,
      Monseigneur fist prendre fondement
      Soubz la motte de son château,
      Désirant faire de nouveau
      Un très somptueux édifice...
      ....
      (1511Cet an mesme s'est accomply
      Le paveillon et la galerye
      De Monseigneur devant son chasteau
      Messieurs les enfants auront beau
      Leur solacier et esbattre,
      Et fussent-ils cinquante et quatre.
    3. . Le style, en effet, accuse une époque plus récente que celle de Guy XVI, et on ne peut permettre de lui en attribuer la construction.

    Voir aussi [modifier]

    Commons-logo.svg

    Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres surChâteau de Laval.

    Source partielle [modifier]

    « Château de Laval », dans Alphonse-Victor AngotFerdinand GaugainDictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Goupil, 1900-1910 [détail de l’édition], t. IV, p. 526-527.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Laval

  • Château de Sermaizey

    Château de Sermaizey

    Sommaire

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    Description [modifier]

    • Un plan du xve siècle montre un château composé d'un corps de logis et d'une grosse tour ronde coiffée d'un toit conique.
    • Il subsiste aujourd'hui le corps de logis occidental, composé de plusieurs bâtiments, tous implantés dans le même alignement et dont la façade ouest, flanquée à son extrémité sud d'un pavillon carré, est percée d'ouvertures régulières sur deux niveaux, les combles étant éclairés par des lucarnes à fronton. Au centre de sa façade orientale, est adossée une tourelle d'escalier hors oeuvre à six pans irréguliers, percée de baies à linteaux en accolade dont les parties hautes ont été remaniées au xviie siècle. L'angle nord-est est flanqué d'une tour carrée demi-hors oeuvre dont le second étage, encore percé d'une fenêtre en plein cintre, abritait une chapelle. Une toiture en pavillon a été substituée au dôme qui la couvrait jadis et les bas-reliefs qui la décoraient, lesquels évoquaient tous des scènes de la vie de la Vierge, ont été dispersés, à l'exception d'une pietà encore encastrée dans le mur de l'anciennesacristie.
    • Un pigeonnier circulaire s'élève à quelque distance au sud-est, au-delà des communs.

    Le château, propriété privée, ne se visite pas. Il est inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.

    Historique [modifier]

    • xve siècle : existence d'un château dont on ignore le propriétaire
    • 1590 : la seigneurie appartient à François-Abraham Nyod
    • 1628 : le bien est vendu à Louis Mercier, fermier de Ruffey, dont la famille va agrandir le domaine et transformer le château
    • 1683 : après l'extinction des Mercier, le fief passe entre diverses mains
    • fin xviiie siècle : l'ensemble est vendu à Charles de Châteauneuf de Randon, marquis d'Apcher, dont le père s'était illustré pour avoir organisé la chasse dans laquelle aurait été tuée la bête du Gévaudan
    • époque révolutionnaire : le bien du précédent est confisqué
    • 2007 : Effondrement du toit du pigeonnier à cause d'un hiver rude et d'un mauvais entretient, une restauration est prévue

    Armoiries [modifier]

    • Apcher (ou Apchier): D’or au château à trois tours de gueules, maçonné, ajouré et coulyssé de sable, la tour du milieu plus élevée et accostée de deux hallebardes d’azur

    Bibliographie [modifier]

    • Histoire du canton de Sennecey-le-Grand, de L. NIEPCE (1877)
    • Notice historique sur le village de Laives, de J.-L. BAILLY (1907)
    • Le canton de Sennecey-le-Grand, de M. REBOUILLAT (1972)

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Sermaizey

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  • Villa Pisani

    Villa Pisani (Montagnana)

    Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Pisani.
    Vicence et les villas de Palladio en Vénétie 1
    Patrimoine mondial de l’UNESCO
    Villa Pisani de Montagnana

    Villa Pisani de Montagnana

    Latitude
    Longitude
    Pays Italie Italie
    Type Culturel
    Critères i, ii
    No identification (ID) 712
    Région 2 Europe et Amérique du Nord
    Année d’inscription 1994 (18e session)
    Année d’extension 1996 (20e session)

    1 Descriptif officiel (UNESCO)
    2 Classification UNESCO

    World Heritage Emblem.svg
    Documentation du modèle

    La Villa Pisani est une maison patricienne de Montagnana (Vénétie) commandée par le cardinal François Pisani et bâtie sur un projet établi en 1552 par André Palladio.

    Elle a été inscrite en 1996 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO avec d'autres villas palladiennes de Vénétie.

    Les Pisani étaient une puissante et influente famille patricienne de la République de Venise, et François Pisani fut un mécène ami des peintres Paul Véronèse et Giambattista Maganza, du sculpteur Alessandro Vittoria et de Palladio lui-même, ces deux derniers ayant participé à la construction et à la décoration de la villa de Montagnana. Le chantier s'est très probablement étalé de septembre 1553 à 1555, y compris la décoration intérieure.

    L'édifice est aussi bien un palais urbain qu'une résidence suburbaine, et un exemple intéressant de la typologie stylistique de Palladio.

    Section longitudinale (Ottavio Bertotti Scamozzi, 1778)
    Section transversale (Ottavio Bertotti Scamozzi, 1778)
    Les colonnes engagés et le fronton de la façade principale
    La façade arrière, vers le jardin

    Dénué de partie dédiée à des fonctions agricoles, d'une beauté abstraite contenue dans un volume à peu près cubique, la villa Pisani reflète bien le goût sophistiqué de son propriétaire. Pour la première fois dans une villa, deux ordres de colonnes engagées sont superposés et surmontés d'un fronton, solution déjà adoptée pour le palais Chiericati. Le bâtiment est ceint d'une élégante frise dorique, qui sépare le rez-de-chaussée du premier étage. Le relief donné au portique et à la logia supérieure anime la façade sur le jardin.

    Le matériau utilisé est la brique, même pour les colonnes.

    Bien qu'il n'existe plus de plan autographe de Palladio relatif à la villa, il est possible d'affirmer que la planche contenant la description de la maison dans les Quatre livres de l'architecture(1570) est le fruit d'un développement a posteriori du projet réalisé. Cas rare dans la production palladienne, la villa est à deux étages, le supérieur pour les appartements privés, l'inférieur pour les salles où se traitaient les affaires et étaient reçus les fermiers, pas uniquement utilisées durant la belle saison comme le prouvent les nombreuses cheminées. Les deux niveaux présentent la même disposition des espaces internes. Par contre, les couvertures sont différentes, les salles du rez-de-chaussée étant voûtées, comme l'extraordinaire salle à colonnes engagées, qui unit le salon à l'entrée, de toute évidence la pièce la plus importante de la villa avec ses sculptures des Quatre saisons dues à Alessandro Vittoria, peu après qu'il eut participé à la décoration du paladien palais Thiene. Les raccords verticaux sont assurés par les escaliers en colimaçon ovales disposés symétriquement de chaque côté de la logia donnant sur le jardin.

    Sources [modifier]

    • (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Villa Pisani (Montagnana) ».

     

  • Villa Minelli (Venise)

    Villa Minelli

    Scheda

    (Congregazione degli Esposti di Venezia)

    Comune: Ponzano Veneto

    Frazione: Ponzano Veneto

    Località: La Villa

    Indirizzo: Via Villa Minelli, 24

    Epoca: XVII

    Proprietà: Benetton S.p.a.

    Vincolo (legge): L.1089/1939

    Decreto (data): 1962/02/17

    Villa Minelli - particolare: chiesa

    La villa Minelli fu edificata nel secolo XVII dalla famiglia veneziana dei Minelli , importanti commercianti bergamaschi.

    Agli inizi dell’ 800 la villa e gli edifici ad essa collegati erano passati in proprietà dell’istituto degli Esposti di Venezia, cioè dell‘orfanotrofio di quella città, che li mantenne fino agli anni sessanta, quando furono acquistati dalla società Benetton che li ha recentemente restaurati.

    La villa Minelli di Ponzano rappresenta, oltre che un importante esempio di architettura seicentesca con decorazioni pittoriche dell’età barocca, soprattutto un modello di restauro e di riutilizzo di una villa veneta, con l’inserimento in essa di attività produttive. Essa infatti è esemplare dimostrazione di come sia possibile recuperare il complesso architettonico e la solennità del luogo, oggi questa villa è la sede della "United Colors Of Benetton".

    Avvicinandosi agli eleganti cancelli d'ingresso impreziositi da vasi, si avverte subito il fascino che sprigiona da questo complesso, dove accanto alla villa di gusto veneziano si trovano la barchessa, le adiacenze, completamente ristrutturate, e la graziosa chiesetta.

    Un ciclo di affreschi databile intorno al 1660-1-665, attribuito a Pietro Liberi (1614-1700), decora alcune stanze delle foresterie. Nella foresteria di destra, le figure allegoriche della Pittura, della Poesia, della Musica e della Scultura trovano posto nella prima stanza in quattro finte nicchie. Nel soffitto invece predomina un finto cornicione da cui si affacciano vari personaggi.

    Nella seconda stanza rimangono solo alcuni motivi decorativi.

    Nella terza stanza le pareti sono adornate con varie divinità marine. Nel soffitto trovano posto le rappresentazioni delle Stagioni. Interessanti le figure femminili, dalle vesti ben disegnate e dai corpi sensuali.

    Nella foresteria di sinistra rimangono alcuni affreschi, databili intorno al 1650, il cui autore non è noto.

    Il porticato è decorato da un lungo fregio alternato a paesaggi. Altre tre stanze presentano immagini simili tra loro e motivi decorativi.

    Uno splendido giardino fa risaltare gli edifici chiari. In effetti un soffio di quella vitalità veneziana si respira in questo posto, non solo per le industriose attività svolte, ma anche per le linee architettoniche che si trovano nell'edificio centrale, che ricorda nelle ampie sale e nelle alte finestre i palazzi che si affacciano sul Canal Grande.

    Di forma squadrata, con il tetto sottolineato da una raffinata cornice dentellata e da un'ordinata sequenza di aperture quadrate, la villa presenta sulla facciata principale il classico poggiolo in pietra con grandi trifore, il cui stile si ripete nelle porte d'ingresso. Le adiacenze in particolare sono affrescate in modo mirabile.

    Nel gennaio 1849, la villa fu requisita per alloggiare truppe austro-ungariche in transito nei nostri territori. Parte delle artistiche inferriate furono rimosse senza sapere la loro destinazione; un’altra parte, nel 1917, fu prelevata e inviata a Firenze per salvarla da un’eventuale invasione del nemico.

    Nel periodo tra le due grandi guerre le condizioni della villa giunsero ad un limite di degradazione tale da far temere ad un’inevitabile perdita. I locali della barchessa furono adibiti a botteghe di fabbri, falegnami e a negozio di macelleria. Gli affreschi soffrirono perché coperti da tinte e intonaci sovrapposti. Un altro locale servì per l’incubazione dei bachi da seta.

    Molto aveva sofferto la villa anche verso la fine della prima guerra mondiale quando in essa furono alloggiati un reparto di soldati inglesi (scozzesi), un reparto italiano, una sezione di sussistenza con una macello militare, una scuderia e una reparto per curare quadrupedi malati o feriti. Alcuni locali della villa furono adibiti a granai militarti; la soffitta ospitò molti operai addetti alla costruzione delle trincee e delle casematte per una nuova linea difensiva in vista di un possibile cedimento della linea del Piave.

    Ponzano Veneto - Villa Minelli

     

    Source : http://www.bassoandrea.com/Ponzano/Ponzano/VillaMinelli/tabid/302/language/it-IT/Default.aspx

  • Villa Barbaro (Venise)

    Villa Barbaro dite villa Volpi

     

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    Vicence et les villas de Palladio en Vénétie 1
    Patrimoine mondial de l’UNESCO
    La villa Barbaro, à Maser

    La villa Barbaro, à Maser

    Latitude
    Longitude
    Pays Italie Italie
    Type Culturel
    Critères i, ii
    No identification (ID) 712
    Région 2 Europe et Amérique du Nord
    Année d’inscription 1994 (18e session)
    Année d’extension 1996 (20e session)

    1 Descriptif officiel (UNESCO)
    2 Classification UNESCO

    World Heritage Emblem.svg
    Documentation du modèle

    La Villa Barbaro dite villa Volpi est une villa conçue par l'architecte Andrea Palladio entre 1550 et 1560 pour les frères Barbaro àMaser, commune de la province de Trévise en Vénétie (Italie).

    Sommaire

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    Historique et esthétique [modifier]

    La Villa est à l'origine un ancien palazzo médiéval, propriété familiale de Daniele Barbaro, patriarche d'Aquileia, et de son frère Marcantonio, ambassadeur de la République de Venise. En 1554Daniel Barbaro, féru d'architecture, travaille avec Palladio à la traduction et à l'édition critique du traité d'architecture de Vitruve. On doit aux deux frères l'introduction en Vénétie de l'œuvre de l'architecte de Vicence.

    Bien que la villa se rapproche plus du modèle de résidences romaines comme la Villa Giulia ou la Villa d'Este que de la typologie desville-fattoria (les fermes-villas) du Triveneto, Palladio va ici, sous la direction bien affirmée et l'imaginaire parfois fantaisiste de son commanditaire, apporter une innovation qui fera date : le rattachement des barchesse (les dépendances) dans l'alignement de la maison de maître. Cette solution est sans doute dictée à Palladio par l'orographie du terrain qui aurait imposé des terrassements importants (et donc coûteux) pour respecter la disposition traditionnelle et le sens de la pente.

    Cette œuvre va bénéficier de la conjonction de ces deux fortes personnalités avec celle de Paolo Veronese, appelé pour en inventer le décor et qui réalise là ce qui est considéré comme le plus accompli des cycles de fresques du xvie siècle dans le Veneto. L'art de l'illusion de Veronese ici superposé à la conception palladienne de l'espace ont même pu faire penser à une éventuelle opposition entre le peintre et l'architecte, ce que confirmerait peut-être le silence de Palladio dans la note qu'il consacre à la villa dans lesQuattro Libri quant à la participation de Veronese1. D'autres artistes comme Alessandro Vittoria, brillant élève du Sansovino, interviennent également dans la décoration des salles.

    Palladio, se réclamant de l'hydraulique romaine antique, crée, à partir d'un nymphée creusé dans le bas de la colline, un système sophistiqué permettant l'approvisionnement en eau de la villa, des dépendances, des jardins et des cultures alentours2. Un tempietto, un peu à l'écart, vient compléter l'ensemble.

    D'héritages en héritages, la villa revint aux Manin. Ludovico Manin, dernier doge de la République de Venise, installé à la Villa Manin la vendit et la maison sortit de la famille. Elle est aujourd'hui au centre d'un domaine viticole qui produit un vin DOC, Villa Maser. La villa et le centre historique de la ville de Vicence ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1994, avec une extension deux années plus tard.

    La villa Barbaro et le tempietto.

    Galerie photographique [modifier]

    La villa [modifier]

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    Le ninfeo [modifier]

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    Le tempietto [modifier]

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    Annexes [modifier]

    Notes et références [modifier]

    1. Cf. l'analyse de cet aspect du sujet réalisée par le CISA
    2. Il est fait mention de cet exploit technologique dans les Quattro libri

    Articles connexes [modifier]

    Commons-logo.svg

    Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Les œuvres d'Andrea Palladio.

    Documents externes [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Villa_Barbaro_dite_villa_Volpi

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