Château de Ronqueux
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Présentation | ||
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Nom local | Château de Brie | |
Période ou style | ||
Début construction | xiie siècle | |
Propriétaire initial | Robert ier de Dreux | |
Propriétaire actuel | Mairie de Brie-Comte-Robert | |
Classement | Monument historique | |
Site internet | Consulter | |
Géographie | ||
Latitude Longitude | ||
Pays | France | |
Région historique | Île-de-France | |
Commune | Brie-Comte-Robert | |
Géolocalisation sur la carte : France | ||
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Le château de Brie-Comte-Robert est un château médiéval situé sur la commune de Brie-Comte-Robert dans le département de laSeine-et-Marne.
Le château de Brie-Comte-Robert fut construit à la fin du xiie siècle, alors que Robert ier de Dreux, frère du roi Louis vii, était seigneur de Brie. Des indices archéologiques, des éléments de décor et le choix de techniques de construction, font opter pour une architecture de cette période charnière.
Le château resta dans la famille de Dreux jusqu'en 1254, puis passa dans la famille de Châtillon. Par dots et héritages successifs, il échut à Marguerite d'Artois puis à sa fille Jeanne d'Évreux.
Jeanne d'Évreux, qui tenait la châtellenie de Brie-Comte-Robert par héritage, devint l'épouse du dernier roi capétien direct, Charles ivle Bel. À la mort de celui-ci (1328), elle bénéficia de confortables revenus (douaire royal assis sur de nombreux fiefs en Brie et enChampagne), qui lui permirent de consacrer des sommes importantes à l'entretien et à l'amélioration de ses possessions propres, dont Brie-Comte-Robert. Elle fit faire d'importants travaux au château, comme l'attestent ses comptes conservés aux Archives nationales.
Le château devint une résidence de prestige où tous les grands seigneurs du royaume, notamment les ducs de Bourgogne, n'hésitèrent pas à séjourner. On y vit, aussi en 1349, le mariage de Philippe vi de Valois et de Blanche d'Évreux-Navarre, nièce de la reine Jeanne.
La dame de Brie fit, en particulier, aménager luxueusement la demeure seigneuriale située contre les courtines sud-ouest, sud-est et surtout nord-est. Elle fit construire une chapelle dédiée à saint Denis, accolée à la tour Saint-Jean, et dessiner de vastes jardins d'agrément. Jeanne d'Evreux mourut au château en 1371, à l'âge de 69 ans.
À la fin du xive siècle, le château revint au domaine royal, puis à la famille d'Orléans.
Louis d'Orléans mena une vie brillante au château de Brie-Comte-Robert (tournois, réceptions de grands seigneurs), mais, devant l'insécurité grandissante, il fit armer le château dès 1405. Après son assassinat par Jean sans Peur, duc de Bourgogne, et la constitution du parti Armagnac (1407), le château passa sous le contrôle du parti Bourguignon, qui s'assurait ainsi une étape sûre sur la route menant de Paris vers la Bourgogne.
En 1420, le passage de l'armée anglaise, en route pour Troyes, et le siège de Melun qui s'ensuivit, amenèrent quelques désordres dans la ville, mais n'affectèrent pas le château. C'est à partir de 1429 que la ville fut, « par quatre diverses fois en trois ans », prise et reprise par les Français et les Anglais. Le fait majeur reste toutefois le siège mis en septembre 1430 par lecomte de Stafford (en), qui provoqua d'immenses dégâts, tant dans la ville que dans le château. La place fut rachetée par les Français en 1434 et rendue à son propriétaire légitime,Charles d'Orléans. Son fils, le futur roi Louis xii, fit entrer le château dans le domaine royal.
À partir du règne de François Ier, le château et ses terres furent confiés par le roi à certains de ses proches, soit à titre de faveur (« don pour un temps »), soit par vente conditionnelle avec faculté de rachat (« l'engagement »). Citons parmi eux : Louis Poncher, Philippe de Chabot, le maréchal Jean Caraccioli, Balthazar Gobelin, Claude de Bullion surintendant des finances deLouis xiii.
Au milieu du siècle, diverses familles de seigneurs italiens, proches de Catherine de Médicis (Aquaviva, Pierrevive, Gondi), détinrent le château, mais laissèrent l'édifice se dégrader, provoquant même l'incendie des planchers et de certaines charpentes.
Un arrêt du Parlement fut nécessaire en 1567 pour faire cesser ces déprédations. À la fin du siècle, Balthazar Gobelin, un fidèle d’Henri iv, y fit faire des réparations.
Le château était encore en état de recevoir le jeune Louis xiii par deux fois, en 1609 et 1611.
En 1649, lors des troubles de la Fronde, la ville, puis le château de Brie-Comte-Robert, furent pris par les troupes royales commandées par le comte de Grancey. Le château fut canonné par une batterie pendant plus de cinq heures, perdant ainsi sa tour sud-est.
La remise en état ultérieure dut être très modeste : en 1681, le château était considéré comme « …inhabitable, les fossés comblés d'immondices, le jardin en friche… ».
Le Président Jean-Antoine de Mesmes, autre engagiste, fit faire divers travaux d'entretien au niveau des toitures, et des réparations aux ponts d'accès. Des procès verbaux de visite du domaine, et des baux à ferme de cette époque, décrivent quelques aménagements intérieurs. Le château était alors habité par des particuliers.
En 1750, Germain-Louis de Chauvelin, seigneur engagiste depuis 1734, arguant de la vétusté de l'édifice, obtint l'autorisation de raser les tours et les courtines à la hauteur du premier étage, en épargnant toutefois la tour Saint-Jean, symbole seigneurial.
Racheté par le roi Louis xv en 1766, le domaine de Brie-Comte-Robert (dont le château) fit l'objet d'un échange entre ce dernier et son cousin, le comte d'Eu. Ses héritiers, le duc de Penthièvre, puis sa fille, la duchesse d'Orléans, en furent les derniers seigneurs.
Durant la Révolution française, l'édifice servit de prison au baron de Besenval, colonel des Gardes suisses et commandant militaire de l'Île-de-France. Le bâtiment fut ensuite vendu commebien national.
Racheté par la ville en 1803, le château fut revendu en 1813. En 1879, un des propriétaires privés qui se succédèrent au cours de cette période, fit malheureusement raser ce qui subsistait de la tour Saint-Jean, pour édifier un bâtiment moderne parasite.
Des apports massifs de terre végétale transformèrent la cour et les lices en un vaste jardin potager. La commune racheta le château en 1923 et le fit classer monument historique en 1925.
Depuis 1982, la municipalité a entrepris un programme de remise en valeur du site, dans lequel s'insère le chantier archéologique. Celui-ci précède et souvent oriente le programme de restauration des vestiges du château.
L'année 2003 voit le début du grand programme de restauration du château, avec le remontage de courtines sur plus de six mètres de hauteur, la restauration de la tour de Brie, puis la déconstruction de la maison du xixe siècle, permettant la reconstruction partielle de la tour Saint-Jean, selon les relevés archéologiques.
À l'intérieur de l'enceinte, la construction d'un bâtiment contemporain, le Centre d’interprétation du patrimoine, permet à l’association des amis du vieux château de concevoir et de gérer une exposition permanente de site et d'y mener des activités pédagogiques.
L'enceinte, ses abords, et les rues proches, accueillent chaque année le festival médiéval, début octobre, et le festival biennal de marionnettes de rue, mi-octobre.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Brie-Comte-Robert
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Château de Bullion lieu-dit : Guédone adresse : R.D. 148 parties constituantes : belvédère ; tuilerie ; parties agricoles époque de construction : 4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu historique : Château construit par l' éditeur Fayard durant le 4e quart 19e siècle. Tour ajoutée au 1er quart 20e siècle et belvédère arasé 2e moitié 20e siècle. Plusieurs statues en provenance du château _Porges (Rochefort-en-Yvelines) . Un portail et une porte piétonne réemployés provenant du manoir de Guette (Bullion) . Parties agricoles en place en 1825. Modifiées 4e quart 19e siècle. Tuilerie disparue gros-oeuvre : meulière ; moellon ; brique ; grès ; pierre de taille couverture (matériau) : tuile plate étages : 1 étage carré couverture (type) : toit à longs pans ; pignon découvert ; croupe ; toit conique propriété privée date protection MH : édifice non protégé MH type d'étude : inventaire topographique date d'enquête : 1983 rédacteur(s) : Hervier Dominique N° notice : IA00070076 © Inventaire général, 1983 Dossier consultable : service régional de l'inventaire Ile-de-France 98 Rue de Charonne 75011 PARIS - 01.56.06.51.00 |
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Le Château des Clos
La ferme des Clos des Crasnes existait déjà en 1648. Elle fut acquise par Nicolas Bienfait, lieutenant de louveterie, marguillier de la fabrique, qui la vendit en 1660 à Claude Regnault beau-frère de Colbert, ministre du Roi Louis XIV.
En 1682, la fille de Claude Regnault épousa François Dupassage Chevalier et lui apporta les Clos en dote. La ferme fut vendue en 1799 au Sieur Morin, ancien régisseur du Duc d'Uzès; ses héritiers, en 1824, la cédèrent à Michel Périer de Trémemont, conseiller référendaire à la Cour de Cassation, fit construire la partie centrale du château actuel. Il fut conseiller municipal de 1884 à 1913 (29 ans).
Théodore Laurent, Maître des Forges, Président de nombreuses sociétés métallurgiques (Marine, St-Etienne, Homécourt, Rombas, Hadir, Luxembourg, Dilling, Davum, etc...) Grand Officier de la Légion d'Honneur, l'un des précurseurs de l'industrie Européenne de l'Acier, devint propriétaire du château des Clos en 1919. En 1929 il fit construire les deux ailes du château actuel.
Théodore Laurent fut Conseiller Municipal pendant 26 ans de 1919 à 1945.
Ses fils Pierre, Jacques, Daniel et Marc héritèrent du domaine.
Le château fut racheté par Monsieur et Madame Sakaguchi en 2002, et entièrement rénové en 2006.
Source : http://www.chateaudesclos.com/
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Le château de Bonnelles, construit en 1847, appartint à la duchesse d'Uzès, héritière des champagnes Veuve Clicquot, de 1906 à 1933 puis fut un établissement scolaire de l'après-guerre jusqu'en 1990. Celui ci a apparemment subi de graves dégâts depuis un incendie en septembre 2008. Il fait toutefois l'objet, depuis le printemps 2009, de restaurations importantes.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bonnelles
Présentation | |
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Période ou style | Médiéval |
Type | Château fort |
Début construction | xiie siècle |
Fin construction | xvie siècle |
Propriétaire initial | Guillaume de Sam |
Destination initiale | Ouvrage militaire, seigneurie. |
Propriétaire actuel | Municipalité de Murol |
Classement | ISMH |
Géographie | |
Latitude Longitude | |
Pays | France |
Région | Auvergne |
Région | Auvergne |
Département | Puy-de-Dôme |
Commune | Murol |
Château - Château par pays | |
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Le château de Murol est situé au nord-est de Murol, dans le Puy-de-Dôme, en Auvergne.
Le premier château semble avoir été construit au xiie siècle sur un promontoire en basalte, à l'intersection de trois routes. Il est agrandi et renforcé au xive siècle par Guillaume de Sam, avec notamment la construction du donjon et d'une seconde chapelle.
Au xve siècle, le château devient propriété de la famille d’Estaing après le mariage du Jehanne de Murol avec Gaspard d’Estaing. Leur descendant François Ier d’Estaing installe des pièces d'artillerie au xvie siècle, des batiments dans le style Renaissance sont construits sur le côté Est.
Richelieu épargne le château en raison du prestige de la famille d'Estaing, et il n'est pas détruit non plus lors de la Révolution française. Cependant, il sert alors de prison, de repaire de brigands puis de carrière de pierres. À la suite d’un don du propriétaire, il devient propriété de la commune de Murol au xixe siècle.
Le château est classé Monument historique en 1958.
La troupe les compagnons de Gabriel anima le site pendant de nombreuses années, puis la succession a été reprise par les Paladins du Sancy.
Les ruines du château sont évoquées par Guy de Maupassant dans son conte Humble drame (1883).
Elle surprend plus qu'aucune autre ruine par son énormité simple, sa majesté, son air antique puissant et grave. Elle est là, seule, haute comme une montagne, reine morte, mais toujours la reine des vallées couchées sous elle. On y monte par une pente plantée de sapins, on y pénètre par une porte étroite, on s'arrête au pied des murs, dans la première enceinte au-dessus du pays entier.
Là-dedans, des salles tombées, des escaliers égrenés, des trous inconnus, des souterrains, desoubliettes, des murs coupés au milieu, des voûtes tenant on ne sait comment, un dédale de pierres, de crevasses où pousse l'herbe, où glissent des bêtes.
J'étais seul, rôdant par cette ruine. »
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