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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 97

  • Château de Kérouzéré

    Château de Kérouzéré

    Château de Kérouzéré Sibiril
    Matériau
    granit

    À l'origine, le château se compose d'une série de bâtiments formant une courtine, flanqués de tours et d'un chemin de ronde crénelé pourvu de mâchicoulis. Le château de Kérouzéré perd sa tour sud-ouest et sa courtine sud lors du second siège soutenu contre la Ligue, en 1590. En Bretagne, seuls les châteaux de Brest et de Kérouzéré sont acquis à la cause du roi Henri IV. La famille de Boiséon possède le château jusqu'en 1682. L'un de ses membres, Pierre, est capitaine général de la milice des gardes-côtes pour la capitainerie de Saint-Pol. La marquise de Piré y demeure pendant la Révolution sans être inquiétée. Son fils, le général de Piré, vend le château en 1821 à Jean-Baptiste Du Beaudiez.

  • Château de la Châtaigneraie

    Château de la Châtaigneraie

    Château de la Châtaigneraie La Celle-Saint-Cloud
    Matériau
    Brique
    Datation
    1895

    Ce château tire son nom du domaine où il a été construit. Une ancienne friche couvrant 80 hectares est transformée en bois vers 1780, par la plantation de châtaigniers. Ces terres appartenant à Napoléon III sont ensuite achetées par Edmond Blanc, créateur du haras de Jardy, qui y fait édifier l'actuel château. En 1951, la comtesse de Beaumont, alors propriétaire du domaine, le vend par actions et le centre national pour l'amélioration de l'habitat y crée un lotissement de copropriétés.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-la-chataigneraie-la-celle-saint-cloud

  • Actualité - Une exposition photos du château de Versailles depuis 1850

    Une exposition réunit pour la première fois les plus belles photos du château depuis 1850. Un formidable voyage à travers le temps…

    Une exposition réunit pour la première fois les plus belles photos du château depuis 1850. Un formidable voyage à travers le temps…

    Scène d'orage nocturne sur les jardins, instantanés de la vie du château sous la Commune, en 1870, ou encore pendant l'Occupation, décoration de la Galerie des Glaces en prévision de la visite de la reine Victoria, en 1855… Cent-soixante ans de la vie de Versailles sont là, qui s'exposent pour la première fois en cent-trente clichés, réalisés par les plus grands. Henri Cartier-Bresson, Raymond Depardon, Robert Doisneau, Eugène Disdéri, Man Ray, Jean-Loup Sieff, Jacques-Henri Lartigue, Annie Leibovitz, Karl Lagerfeld… Aux images contemporaines – des œuvres à part entière – répond le charme infini des plus anciennes d'entre elles, témoignages uniques des soubresauts de notre Histoire et de la vie quotidienne aux siècles passés.

     


    Tour à tour lyriques, romantiques, émouvantes, intrigantes et sombres, ces photographies rappellent que le domaine a été, de tous temps, l'une des sources d'inspiration les plus riches, les plus foisonnantes au monde pour les artistes, quelle que soit leur sensibilité. La présentation des documents s'articule autour de quatre thèmes principaux : « Versailles au cœur de l'Histoire », « De pierre, de marbre et de soie » (magnificence de l'architecture et intimité des appartements intérieurs), « La nature maîtrisée » (des visions oniriques, poétiques ou plus austères du parc, de ses pièces d'eau et de ses statues), et « Rêver Versailles » – un hommage à ses visiteurs, doublé d'une évocation des grands films tournés sur les lieux. Courez-y, c'est jusqu'au 25 avril…

     

     


    Ci-dessus : Lever du soleil (2009), par Nathalie Darbellay. Rens. pratiques : Galerie de pierre haute, Aile nord du château. Ouvert tous les jours, sauf le lundi, de 9 heures à 17 heures 30 jusqu'au 31 mars – fermeture à 18 heures 30 du 1er au 25 avril. Tél : 01 30 83 78 00. Pendant toute la durée de l'exposition, un concours photographique à l'intention du public (internautes, inconditionnels du château…) est ouvert sur le site www.chateauversailles.fr, ainsi que sur le site de partage Flickr.com. Le gagnant, sélectionné par un jury de professionnels de l'image, sera invité, en-dehors des horaires d'ouverture, à réaliser un reportage dans des lieux habituellement fermés au public.

     

    Mercredi 27 janvier 2010

    Source : http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/versailles_comme_vous_ne_l_aviez_jamais_vu_195996

  • Château de Neuenstein

    Château de Neuenstein

    Vue du château de Neuenstein

    Le château de Neuenstein est un château Renaissance situé dans le Bade-Wurtemberg à Neuenstein. Il fut construit comme résidence principale de la famille Hohenlohe-Neuenstein, branche protestante de la famille Hohenlohe. C'est aujourd'hui un musée et la maison des archives de la famille Hohenlohe, gérées conjointement avec l'État de Bade-Wurtemberg.

    Des concerts sont donnés régulièrement l'été (Hohenholer Kultursommer) dans la salle des chevaliers qui mesure 41m de long et 10m de large.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    Le château en hiver

    Le château actuel a été construit à l'emplacement d'un château-fort des Hohenstaufen antérieur au XIIIe siècle entouré d'eau (Wasserburg). Il surveillait la route du Rhin vers Wimpfen jusqu'au Danube. Le château fait partie en 1230 des domaines des seigneurs de Stein, dont les descendants s'appellent plus tard les Neuenstein. Il entre dans les possessions des seigneurs de Hohenlohe au début du XIVe siècle et ils en font leur résidence.

    Le château est agrandi au XVe siècle, mais c'est surtout au XVIe siècle que le comte Louis-Casimir de Hohenlohe-Neuenstein le réaménage en château Renaissance. C'est un château haut et puissant à quatre corps de bâtiment fermés, avec l'ancien donjon roman à l'angle nord-ouest. Deux autres angles sont surplombés de tours rondes à toiture. Un pont, décoré des blasons du comte Louis-Casimir et de son épouse, née Anne de Solms-Laubach, mène à l'entrée d'Honneur. Les travaux se poursuivent jusqu'au début du XVIIe siècle.

    Après la mort du comte Wolfgang de Hohenlohe-Neuenstein en 1698, la famille élit résidence à Öhringen. Le château vide est mal entretenu. La famille Hohenlohe y installe toutefois un hospice de vieillards, un orphelinat et même des ateliers, notamment sous l'impulsion du prince Louis-Frédéric de Hohenlohe-Öhringen.

    Des travaux de retauration sont entrepris après 1870. On commence par la Salle de l'Empereur et petit à petit l'on déménage la collection d'antiques du château de Kirchberg pour en faire la base d'un musée familial. Ce fut le premier musée privé d'Allemagne. Il ouvre aux amateurs, aux historiens et aux collectionneurs en 1878, puis peu à peu au public.

    Le prince Christian Kraft de Hohenlohe commande à l'architecte Bodo Ebhardt la restauration du château au début du XXe siècle. Les travaux se poursuivent de 1906 à 1925.

    Musée de Neuenstein [modifier]

    Le château à la fin de l'été

    Le musée du château comprend entre autres la Salle de l'Empereur, la Salle royale des Voûtes, ainsi que les cuisines du Moyen Âge tardif, entièrement équipées comme à l'époque.

    On peut admirer une collection d'objets d'art d'un grand intérêt historique, des trophées et des instruments de chasse, ainsi qu'un cabinet de curiosités, typique des XVIIe et XVIIIe siècles, des œuvres d'art de la Renaissance, et des souvenirs comme un chapeau du roi Gustave II Adolphe de Suède, un soulier de l'impératrice Catherine la Grande ou bien un gros lithiase du comte de Nimbourg !

    Le château est ouvert du 16 mars au 15 novembre.

    Sources [modifier]

    Voir aussi [modifier]

    Liens externes [modifier]

  • Château de la Haye-Saint-Hilaire (logis)

    Château de la Haye-Saint-Hilaire (logis)

    Château de la Haye-Saint-Hilaire (logis) Saint-Hilaire-des-Landes
    Classé MH
    1926
    Matériau
    granit

    La plus grande partie de la construction de ce château est attribuée à Henri de La Haye-Saint-Hilaire, né en janvier 1593, fils de René et de Françoise Pinel de Chaudeb'uf. Le 7 janvier 1618, il épouse Françoise Fouquet, cousine du père du futur surintendant Nicolas Fouquet. Quand il meurt subitement le 21 septembre 1622, les travaux projetés sont loin d'être achevés. Ils sont continués par son fils ainé Christophe, né à La Haye en 1619 et gouverneur de Fougères en 1658, puis, après sa mort en 1671, par son fils Anne, né en 1649. Le logis seigneurial, au toit à la Mansart, est alors prolongé d'une aile moins élevée à la toiture élancée.

  • Château de Montceau-les-meaux

    Château de Montceau-les-meaux

    Château Montceau-lès-Meaux
    Matériau
    gravure
    Datation
    XVIIe siècle

    Le premier château élevé au XVIe siècle est embelli en trois étapes sous la direction respective de Philibert de l'Orme, Jacques II Androuet du Cerceau et Salomon de Brosse qui le reconstruit presque entièrement, puis de Nicolas Lemercier. Des dessins de Jacques Gentilhâtre et des gravures de Sylvestre, de même qu'un état des lieux de 1631, donnent une idée la physionomie de l'édifice au XVIIe siècle. Il est démoli presque en totalité au XIXe siècle.

    Enfants