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Vers 1845, M. de Tainguy achète des terrains communaux sur lesquels il crée un étang d'environ 17 hectares afin d'alimenter un moulin. Venant y chasser le loup, le marquis de Béru rachète la propriété et y fait édifier le château actuel. Construit en pierre de taille, parfaitement symétrique, sa rigueur classique et son austérité s'inscrivent dans le site.
Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-gournava-pluherlin
Aux abords d'une file d'étangs aménagés à partir de 1684 pour servir de réserve hydraulique au domaine de Versailles, Louis XV commande, en 1755, la construction d'un pavillon de chasse. Les plans sont rapidement modifiés et le pavillon devient un véritable château, inauguré en 1758. Les bâtiments sont progressivement abandonnés à partir de l'acquisition du château de Rambouillet par Louis XVI et l'ensemble est démoli vers 1855. Seule subsiste la terrasse aménagée pour permettre d'asseoir les murs. Le mortier utilisé, dit « à chaux et sable », est un mélange sans adjonction de glaise, contrairement à celui utilisé pour les constructions communes. Ce mortier était le plus fiable avant l'invention du ciment, dont les premières livraisons en région parisienne datent des environs de 1780.
Cette demeure bourgeoise, propriété de M. Bulher, est acquise par la ville en 1942. La pièce d'eau qui donne son nom à la maison est comblée pour raison de sécurité, et la bâtisse transformée en maison des jeunes en 1944. Elle est désormais le Centre de loisirs maternel. L'ancien jardin d'hiver et les escaliers menant à la demeure ont été refaits lors de travaux récents.
Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-letang-bagnolet
Le château de Lillebonne va revivre. Onze ans après le décès de son ancien propriétaire, Charles Bost, le superbe édifice qui surplombe le jardin Rostand, à deux pas du théâtre romain, vient enfin de trouver acquéreurs. Deux couples installés sur le secteur, dont l'identité ne sera dévoilée que lors du prochain conseil municipal, le 4 février, vont en effet le racheter à la Ville pour 380 000 €. Ils comptent installer un restaurant haut de gamme au rez-de-chaussée et des salles de séminaire au premier étage, aménager le donjon en salle d'animation et d'exposition et réhabiliter un logement. Ils se sont par ailleurs engagés à restaurer les différentes pièces à l'identique, en concertation avec les services de la Direction régionale des affaires culturelles et des Bâtiments de France, l'édifice étant protégé au titre des monuments historiques. Montant estimé des travaux : 2 M €. L'inauguration pourrait avoir lieu en octobre 2011.
« On avait peur qu'il parte en morceaux »
Sous réserve des acceptations de crédits, le projet semble aujourd'hui bien ficelé. « Les futurs propriétaires savent économiquement où ils mettent les pieds, même s'ils ne sont pas du métier », souligne le maire Nicolas Beaussart.
A la Ville, on se dit « soulagé ». Depuis le temps que le dossier traînait ! « Ce château, on avait peur qu'il parte en morceaux », ajoute le premier magistrat. La bâtisse, érigée sur un terrain de près d'1,5 hectare, était devenue un squat, cible d'actes de vandalisme. Le perron a été saccagé et la tourelle endommagée l'été dernier par un feu d'origine criminelle. « En dix ans, le château s'est considérablement dégradé », soupire Bernard Beux, l'adjoint en charge de l'urbanisme et du logement.
La Ville n'avait pas les moyens…
Le château a été mis en vente en 1999. Il était question à l'époque d'y aménager la mairie ou l'école de musique. « Des projets, il y en avait plein, mais tout s'est arrêté avec le changement de municipalité », relève Nicolas Beaussart. En 2001, l'Etablissement public foncier de Normandie (EPFN) a acquis le bien pour le compte de la Ville, et son échéance de rachat a été fixée à cinq ans. Mais au bout des cinq ans, la Ville a demandé un premier report, puis un second, jusqu'à ce qu'elle soit contrainte, en décembre 2008, de racheter le château à l'EPFN pour 580 000 €. Mais pour en faire quoi ? « On avait beaucoup d'idées, mais pas la capacité financière pour les réaliser », reconnaît le maire. La municipalité s'est donc tournée vers l'agence de développement économique de la communauté de communes Caux vallée de Seine, qui a démarché pour trouver des clients potentiels. Neuf se sont manifestés, certains par curiosité, d'autres avec des projets jugés non viables, comme celui de créer une résidence pour personnes âgées.
En juin dernier, deux couples originaires du pays de Caux se sont réellement montrés intéressés. Après plusieurs visites, ils ont présenté leur projet et signé une promesse de vente. « D'une certaine façon, on rend le château aux Lillebonnais, se réjouit Nicolas Beaussart. C'est un plus pour l'attractivité de notre Ville. Cela va créer des emplois. » Et redonner vie à un lieu chargé d'histoire auquel les Lillebonnais sont particulièrement très attachés.
F. M.
Source : http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/298938/Un_restaurant_au_chateau
Cette ancienne ferme fortifiée, bâtie sur l'emplacement d'un ancien manoir seigneurial, présente une architecture baroque inédite pour la région. Après la guerre de 1870, un notaire d'Aubervilliers, M. Polycarpe Maclou Poussié, reconstitue un domaine d'environ 400 hectares autour de l'ancien fief des religieuses de Poissy. L'architecte M. Cuvillier termine la restauration du château en 1885, date inscrite en chiffres romains sur sa façade principale. Le domaine et l'édifice sont désormais propriétés communales.
Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-des-dames-le-chatelet-en-brie
Appelée à l'origine villa des deux tourelles, cette maison est construite sur le bord du lac pour la comtesse de Xaintrailles, puis est occupée par Reiset, premier maire d'Enghien-les-Bains. Elle doit son nom actuel à un article d'Émile Labédolière, ' Histoire des environs du nouveau Paris ', où on lit que son style est ' exporté de l'humide Écosse ', probablement par référence aux romans de Walter Scott. Elle témoigne de l'époque où, suivant l'exemple des fabriques de jardin de la fin du XVIIIe siècle, quelques maisons sont bâties en dur comme un décor de théâtre romantique. Ces expériences ont contribué à libérer l'architecture de l'emprise du néo-classicisme.
Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-ecossais-enghien-les-bains
Maison des gardes
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