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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 48

  • CHATEAU EN VENTE : 13 - CHÂTEAU PROVENCE ALPES CÔTE D'AZUR Bouches-du-Rhône

    Source : http://www.proprietesdefrance.com/annonces/chateau-bouches+du+rhone-provence+alpes+cote+d+azur-france/130194-1/photos/?offset=1

    13 - CHÂTEAU PROVENCE ALPES CÔTE D'AZUR

    Bouches-du-Rhône

     

    A 25 mn d’Aix-en-Provence, à 35 mn de l’aéroport, château construit dès le XIe siècle pour la défense et transformé au XVIIe en château d’agrément. De ses terrasses et tours, on domine la campagne environnante et son territoire de plus de 300 ha. Classé Monument Historique, rénové avec soin, ce château et ses dépendances offrent une superficie d’environ 4 000 m² dont de magnifiques pièces de réception. Jardins à la française classés dessinés par Le Nôtre. Nombreuses dépendances : tour de guet, chapelle gothique, écuries, maison indépendante. Réf. AIX-4383-NGI. 

    Infos + : Accueil chevaux, Classé Monument Historique, Dépendances, Parc paysager, Salle de réception, Terrasse

     

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    ref : 130194-1

    De 5 000 000 à 10 000 000 €

     

     

     

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  • Château de Belcastel

    Image illustrative de l'article Château de Belcastel

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Belcastel 

     

    Château de Belcastel

     
    Château de Belcastel
    Image illustrative de l'article Château de Belcastel
    Le château de Belcastel surplombant le village
    Protection ruines du château inscrites MH le 5 mars 19281
    Coordonnées 44° 23′ 20″ Nord
           2° 20′ 10″ Est
     
      
    Pays Drapeau : France France
    Région Midi-Pyrénées
    Département Aveyron
    Commune française Belcastel
     

    Géolocalisation sur la carte : France

    (Voir situation sur carte : France)
    Château de Belcastel

    Le Château de Belcastel est une bâtisse médiévale située à Belcastel dans le département de l'Aveyron, sur la rive nord de la rivière Aveyron, en aval de Rodez.

     

    Sommaire

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    Histoire[modifier]

    Ce château du Moyen Âge (dont les fondations remonteraient au ixe siècle) a été attaqué par les Anglais pendant la guerre de Cent ans, mais on pense qu'il ne fut jamais conquis.

    Il avait été abandonné à son sort depuis au moins le xviie siècle. Pendant la Révolution française, le château et ses environs servirent un temps de refuge à Pierre de Barrau, un noble aveyronnais traqué par les autorités révolutionnaires. L'architecteFernand Pouillon (1912-1986) le découvre en 1974 dans un état de ruine très avancé, et entreprend de le restaurer ainsi que le village. Sa restauration est exemplaire en cela qu'il est impossible de déterminer quel est l'apport moderne à ce qui n'était plus qu'un champ de ruines (Pierre de Lagarde dans l'émission "Chefs d'œuvre en péril" avait dit que vouloir restaurer le château de Belcastel équivaudrait à vouloir vider la mer à la petite cuiller". Bien qu'il ait déposé les permis de construire pour toutes les maisons en ruine du village, il n'eut le temps d'en restaurer entièrement qu'une seule au-dessus du château (modifiée depuis par les actuels propriétaires), mais il avait aussi consolidé la plupart des autres ruines du village qui furent ensuite rachetées par la commune notamment grâce à des fonds européens pour être restaurées et louées à l'année.

    Cet imposant château fut la demeure de la famille de Saunhac. Il est depuis 2005 la propriété de deux galeristes New-Yorkais. Il est ouvert au public du début avril jusqu'à mi-novembre. Il a reçu en 2008, 15 000 visiteurs.

    Architecture[modifier]

    Les ruines du château ont été inscrites à l'inventaire des monuments historiques le 5 mars 1928 mais l'opération de restauration du château par Fernand Pouillon a eu pour effet de désinscrire le château de cet inventaire tandis que l'ensemble du site de Belcastel est, lui, resté inscrit.

    La forteresse est dominée par son donjon carré. Elle a conservé sa chapelle pré-romane et sa chapelle haute, toutes deux restaurées par Fernand Pouillon.

    Notes et références[modifier]

    1.  Notice no PA00093962 [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture

    Bibliographie[modifier]

    Voir aussi[modifier]

    Articles connexes[modifier]

    Liens externes[modifier]

  • Château fort de Dammartin en Goële

    Vestige de château-fort, Dammartin-en-Goële

    Vestige de château-fort

    Vestige de château-fort

    Adresse : Esplanade du château, Dammartin-en-Goële, France


     

    Quelques pierres et beaucoup de briques, ce sont les restes de cette puissante forteresse entièrement reconstruite par Antoine de Chabannes. Abandonné par les Montmorency, ses acquéreurs, le château sert dès lors aux Dammartinois comme carrière de pierre. Faute d'un sauvetage efficace, un maire, Hubert Lavollée réussit à acquérir le tout et à y aménager des promenades.

    Source : http://fr.topic-topos.com/vestige-de-chateau-fort-dammartin-en-goele

  • Mur d’enceinte et donjon Luzarches

    Mur d’enceinte et donjon, Luzarches

    Mur d’enceinte et donjon

    Mur d’enceinte et donjon

    Adresse : Allée de la Croix-Saint-Côme, Luzarches, France


     

    La muraille de l'angle sud-ouest de la propriété semble être la plus ancienne et la mieux conservée, dans sa partie basse, de l'enceinte du château Saint-Côme. La poterne, préservée, ouvrait du côté de la pièce des fossés ' Champ-des-Martyrs ', elle indique que la place forte, de type Philippe Auguste, possédait au moins deux portes, une au nord, disparue, et l'autre à l'ouest. Les murs sont appareillés de gros blocs de pierres calcaires en leur base, mais ont sûrement été remaniés au fil du temps dans leur partie supérieure.

    Source : http://fr.topic-topos.com/mur-denceinte-et-donjon-luzarches

  • Donjon la Queue en Brie

    Vestiges du donjon, La Queue-en-Brie

    Vestiges du donjon

    Vestiges du donjon

    Adresse : Place de la Tour, La Queue-en-Brie, France


     

    On ne sait avec précision la date de construction du château fortifié de La Queue-en-Brie, dont ne subsistent désormais que les vestiges du donjon. Peut-être remonte-t-elle aux toutes premières années du XIIe siècle, sous l'impulsion de Harcherus de Cauda, qui aurait ensuite vendu le fort à Constance, fille du roi Louis VI le Gros. À moins qu'il n'ait été bâti pour Étienne de Garlande, seigneur de Gournay, vers 1120-1129. Quoi qu'il en soit, le domaine et la seigneurie passent rapidement au cours du XIIe siècle entre les mains du seigneur de Brie-Comte-Robert, Robert Ier de France (*a0 1188), fils cadet de Louis VI le Gros. Au milieu du XIIIe siècle, le château appartient à Alix de Bretagne (1243-1288), dame de Brie-Comte-Robert, puis à Amauri de Meulan, compagnon d'armes de Jean II le Bon lors de la défaite de Poitiers contre les Anglais en 1356. Vacante en 1364, la seigneurie de la Queue est offerte par Charles V à son premier secrétaire Pierre Blanchet, puis morcelée au début du XVe siècle entre le château fort et le fief de l'Hermitage. En 1430, La Queue-en-Brie est tenue par les partisans des Armagnacs, faction désormais favorable au roi Charles VII sacré à Reims l'année précédente, lequel tente de reconquérir son royaume tenu par les Bourguignons alliés aux Anglais. Les Armagnacs ayant attaqué dans la Brie un convoi anglais, le comte Humphrey de Stafford (1402-1460), connétable de France nommé par le roi anglais Henri VI, lance à l'automne 1430 une expédition punitive, au cours de laquelle il prend Brie-Comte-Robert, et, le 9 octobre, le château de la Queue. La garnison est massacrée, et le château rasé hormis le donjon. Très abîmé, il est partiellement restauré vers 1500. Il se présente encore sous la forme d'une tour flanquée de tourelles, haute de trente-cinq mètres, aux murs épais de quatre mètres, dans lesquels circule un couloir. En 1563, les guerres de religions dévastent la région. Les protestants, associés à leurs mercenaires suisses et allemands ' les reîtres ' assiègent ce qu'il reste de la forteresse, la prennent en trois jours et brûlent le village. Ruinée, dangereuse, la tour est laissée à l'abandon jusqu'aux décisions de 1830 qui préconisent sa démolition. Le temps ne laissera pas faire les hommes : le 11 juillet 1866, tout un pan du formidable donjon s'écroule. Il sera définitivement rasé en 1868. Un commencement de fouilles a révélé en 1969 un puits devant l'entrée, contenant des ossements humains.

    Source : http://fr.topic-topos.com/vestiges-du-donjon-la-queue-en-brie