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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 52

  • Palais épiscopale de Beauvais

    Fichier:Palais episcopal de Beauvais 01.jpg

     

    Source : wikipedia.org

    http://www.fncv.com/sections/france/6000-oise/index.html 

  • Manoir de la Vermondie

    Manoir de la Vermondie

     
    Manoir de la Vermondie
    Manoir de la Vermondie
    Vue du manoir et de la tour penchée
    Début construction xiie siècle
    Propriétaire actuel Propriété privée
    Protection  Inscrit MH (1941, tour penchée)
    Coordonnées 45° 01′ 46″ Nord
           1° 05′ 43″ Est
     
      
    Pays Drapeau : France France
    Région historique Périgord
    Région Aquitaine
    Département Dordogne
    Commune Thonac
     

    Géolocalisation sur la carte : France

    (Voir situation sur carte : France)
    Manoir de la Vermondie

    Le manoir et la tour penchée de la Vermondie constituent un ensemble de bâtiments situés sur la commune de Thonac, en limite de la commune de Saint-Léon-sur-Vézère, dans le département français de la Dordogne, à quelques kilomètres de la grotte de Lascaux. La tour est inscrite au titre des monuments historiques1.

    Sommaire

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    Histoire[modifier]

    Édifié au sommet d'une colline à proximité de la Vézère, ce lieu est caractérisé par le fait que s'y trouvent, côte à côte, une tourgallo-romaine et un petit manoir dont l'origine est incertaine mais qui présente les traces de modifications structurelles importantes réalisées au cours des siècles, depuis le xiie siècle - ou même avant - jusqu'à une époque récente.
    À différentes périodes de son histoire, le manoir devait en fait être un véritable château plus important car la famille seigneuriale du lieu contrôlait un vaste territoire allant jusqu'aux terres de Fanlac2 où naquit Jacquou le Croquant, et comprenant le Château d'Auberoche3 et le Château du Sablou4.

    Description[modifier]

    Le manoir et ses souterrains[modifier]

    Le manoir proprement dit présente la particularité qu'on y trouve dans son cellier, à mi-hauteur de la descente d'un puits circulaire, le départ d'un réseau de souterrains creusés en partie dans la roche. Malgré les éboulements qui les obturent totalement, on distingue clairement l'amorce de trois conduits partant en éventail. L'un d'eux se dirige visiblement vers la tour, les deux autres semblent orientés vers les champs alentour, peut-être pour servir de moyens d'évasion ou de contre-attaque dans le dos des assaillants en cas de siège du bâtiment principal.
    En raison de l'origine gallo-romaine de la tour qui le côtoie, on peut penser que la bâtisse qui forme la partie la plus ancienne du manoir actuel a pu être, à l'origine, un petit fortin militaire gallo-romain édifié en même temps que la tour et qui aurait été démantelé et reconstruit différemment maintes fois au cours des âges, car un assez grand nombre des pierres qui le constituent semblent contemporaines de celles de la tour.
    Cette hypothèse est confortée par la présence des souterrains5.

    Au cours de son histoire aussi longue et riche que celle de la Dordogne, le site a pu aussi servir de chapelle ou de résidence à un ordre religieux, peut-être même aux templiers, car plusieurs encadrements de portes, y compris celui de la porte d'entrée principale, sont ornementés d'un blason sculpté dans la pierre et représentant un écu comportant une croix sur la partie gauche et une tour sur la partie droite.
    On peut également supposer qu'en raison de sa grande visibilité grâce à la tour qui le domine, ce lieu aurait très bien pu être une halte notoire pour de nombreux pélerins cheminant vers Saint-Jacques de Compostelle.

     

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    La tour penchée[modifier]

    Il paraît vraisemblable que l'excavation des souterrains a pu provoquer une modification de l'assise de la tour et que, pour cette raison, celle-ci s'est mise à pencher.
    Ainsi, elle est connue en tant que "tour penchée de la Vermondie" depuis des temps immémoriaux.
    C'est une des nombreuses curiosités du Périgord et elle figure dans presque tous les guides touristiques sur la région. D'une hauteur de 20 mètres environ, avec à mi-hauteur une seule ouverture cintrée, elle offre un aspect assez imposant au visiteur qui la découvre soudainement dans un virage serré de la route départementale 45 qui longe le site.
    L'architecture et l'emplacement de la tour indiquent clairement qu'il s'agit d'une tour de signalisation oculaire pratiquement identique à toutes celles que les romains édifiaient sur les hauteurs, de loin en loin, pour servir de relais de signalisation et d'observation pendant la conquête et l'occupation de la Gaule6.

    Légende[modifier]

    Imagerie du Moyen Âge

    La légende de la Vermondie dans l'imaginaire populaire a certainement été aiguisée par le phénomène que représente cette tour sans porte d'accès, n'ayant qu'une fenêtre et, qui plus est, penchée. Le visiteur se verra dire cette vieille légende périgordine qui circule depuis toujours : « Jadis, le seigneur du lieu prit ombrage de l'attirance avouée par sa fille pour un jeune et joli troubadour de passage, et il la fit enfermer dans la tour afin de la soustraire à la tentation. Dès lors, le troubadour venait chaque soir au pied de la tour pour donner l'aubade à la belle. Tant de soupirs furent échangés qu'avec le temps la tour elle-même en fut émue et doucement se pencha pour permettre aux amoureux de partager enfin le baiser des épousailles... »7

    Notes et références[modifier]

    1.  Tour penchée de la Vermondie [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture, consulté le 11 janvier 2011.
    2.  En 1625, le sieur de la Bermondie, chevalier, avait créé dans le bourg un couvent des sœurs de saint Benoît, sous le titre de Notre-Dame des Vertus et on nous dit que le pays en reçut beaucoup d'édification. On veillait beaucoup au salut des âmes des habitants, puisque par un testament du 9 mai 1675 ; Jean de la Bermondie, archidiacre et chanoine de la cathédrale de Périgueux, lègue à cette ville le domaine de Saint Augûtre à Coulounieix à la charge pour les révérends pères jésuites de donner une mission tous les deux ans dans les paroisses de Thonac, Granges, Montignac et Fanlac. Geneviève Ravon (2001)
    3.  Dans le vallon, le château d'AUBEROCHE est constitué par trois ailes du XVI° siècle en équerre, séparées par une terrasse et appuyées sur des tours circulaires à mâchicoulis. Deux belles portes classiques disent encore ce qu'était la demeure au Grand Siècle, au temps où elle était aux la BERMONDIE. Ils y exposaient une véritable collection de tapisseries de BERGAME et des FLANDRES, figurant des thèmes de l'histoire romaine et de la mythologie. Geneviève Ravon (2001)
    4.  François de la BERMONDIE, chevalier, vicomte d'AUBEROCHE (en Le Change, Dordogne), seigneur de la Bermondie, Fanlac et autres lieux en Périgord, remarié le 22 janvier 1620 à Suzanne d'Isserpens, veuve de Geoffroy de la Roche-Aymon, marquis de Saint-Maixent (Creuse) et de Vicq (Hte-V.), fils de Jean de la Bermondie, chevalier, vicomte d'Auberoche, chevalier de l'Ordre du roi, et de Françoise de Merle. Suzanne fut dotée de 24 000 livres qui ne furent pas versées, Le 5 juin 1631 son époux fit saisir Linars et Plaigne ; après une longue procédure devant le parlement de Bordeaux, les parties transigèrent le 12 mars 1643 et la terre de Plaigne fut affectée en garantie de cette dot. Enfin le 1er décembre 1648 (Devaux notaire) Claude de Laguiche alors veuve fut contrainte de céder définitivement à François de la Bermondie la terre de Plaigne (228). Ils eurent un fils unique Joseph de la Bermondie, vicomte d'Auberoche, marié par contrat du 1er avril 1646 avec Suzanne de la Roche-Aymon, fille de Geoffroy et de Suzanne d'Isserpens, qui lui apporta la terre de Vicq en Limousin. Recherches Généalogiques.
    5.  Une autre hypothèse notoire est celle qui fut émise par un des plus récents maîtres du manoir, le Colonel H-A Boulard de Pouqueville (1907-1986) descendant deHugues et François Pouqueville. En conclusion de ses recherches, il déduisit qu'au moins une partie du trésor de guerre de Richard Coeur de Lion aurait pu être enfouie dans ces souterrains après son retour de terre sainte et de captivité, et peu de temps avant son décès à proximité[1] [archive], en 1199. Cette hypothèse était supportée par d'anciens témoignages selon lesquels ce trésor fut à l'époque aperçu dans cette partie du Périgord avant d'être totalement perdu de vue. Des fouilles furent entamées en 1960 mais vite abandonnées car elles mettaient en péril l'assise même du bâtiment principal.
    6.  Les tours de guet romaines : en Occident, les romains furent les premiers à mettre en place un dispositif de surveillance du littoral composé de postes de guet communiquant par des signaux de fumée avec les postes militaires. Pas moins de 3 200 tours de guet furent installées, dont 1 200 en Gaule (Wikipédia Sémaphore).
    7.  Jean Secret, Le Périgord, Châteaux, Manoirs et Gentilhommières, Éditions Taillandier, Paris, 1956.

    Voir aussi[modifier]

  • Château d'Ajat

    Châteaux
    Château d'Ajat
    Ajat

     

     

    VISITE
    Ouvert du 10/07 au 14/08 et du 17/09 au 20/09. Année sur RDV (groupes).

     
     
     
    24210 Ajat 
    Tél. : 05 53 05 25 07 - Fax : 05 53 05 25 67
     
     
     

    CLASSEMENT
    Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques (8 juin 1925).


    SITUATION
    Dans le bourg, près de l'église.

    DESCRIPTIF
    Château XVIe, XVIIe. On peut y admirer deux corps de logis, une façade surmontée de mâchicoulis et de chemins de ronde, un fronton timbré de deux anges portant les armes des Hautefort et des Arlot, une courette à Loggias d'où l'on aperçoit une gargouille du XVe Siècle, des caves voûtées très anciennes.

    HISTORIQUE
    Ancienne possession des Templiers datant du XIIIe (attesté dès 1158 «Apsacum»).

    FAMILLE
    Famille des Hautefort et des Arlot (1741) jusqu'à la Révolution. Ensuite les Taillefer, les Catarède et les Cézac.

     

    Source : http://www.dordogne-perigord.com/Popup_Fiche.asp?Id_Fiche=287

     

     

     

     

     

  • Château de Losse

    Château de Losse

    (Redirigé depuis Château de losse)
    Château de Losse
    Château de Losse
    Période ou style Style Renaissance
    Type Château de plaisance
    Début construction xvie siècle
    Fin construction xviie siècle
    Propriétaire actuel Société privée
    Protection Logo monument classe.svg Cl MH (19/10/2007)
    Site Internet www.chateaudelosse.com
    Coordonnées 45° 01′ 45″ Nord
           1° 07′ 44″ Est
     
      
    Pays Drapeau : France France
    Région historique Périgord
    Région Aquitaine
    Département Dordogne
    Commune Thonac
     

    Géolocalisation sur la carte : France

    (Voir situation sur carte : France)
    Château de Losse

    Le château de Losse se situe sur la commune de Thonac, en vallée Vézère, dans le département français de la Dordogne. Classé monument historique le 5 août 19321, il est ouvert à la visite.

    Sommaire

     [masquer]

    Présentation[modifier]

    Établi en Périgord à 5 km de Montignac-Lascaux en direction des Eyzies (à 18 km), le château domine la Vallée de la Vézère.

    Enfermée dans des murailles bordées de douves profondes, la forteresse médiévale construite en à-pic sur la rivière a fait place en 1576 à un château de plaisance, de style Renaissance et selon le souhait de Jean de Losse.

    La délicate sculpture des façades et la justesse de proportion des volumes forment un écrin pour le beau décor et le remarquable mobilier d’époque xvie et xviie siècles qui ornent les appartements. Sur les remparts le quotidien de l’époque est aussi évoqué dans la tour de l’éperon (xive siècle) avec l’étuve et la chambre de repos.

    La promenade dans les chambres de verdure des Jardins en terrasse ornées de plantes parfumées mène à une superbe vue sur la rivière. Les jardins ont le label « Jardin remarquable ».

    Galerie[modifier]

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    Notes et références[modifier]

    1.  Classement du château de Losse [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Consulté le 18 septembre 2009

    Voir aussi[modifier]

    Bibliographie[modifier]

    • Paul Roudié, Le château de Losse, pp. 65-72, dans Congrès archéologique de France. 137e session. Périgord Noir. 1979, Société Française d'Archéologie, Paris, 1982

    Liens externes[modifier]

    Source : http://www.dordogne-perigord.com/fr/decouvertes/sites/chateaux/chateaux.asp

  • La Maison Forte de Reignac

    La Maison Forte de Reignac

    La Maison Forte de Reignac
         
       
    (Contact)
    24620 Tursac
    Tél. 05 53 50 69 54 - Fax 05 53 51 03 21
    www.maison-forte-reignac.com
    info@maison-forte-reignac.com

     

    Reignac - La chambre de la contesse XIX (19) ème siècle
     
    Cachot du château de reignac
     
     
     
       
      > La chambre de la Comtesse au XIX ème siècle
       
      Très agréable avec son mobilier d’époque : lit à colonnes, fauteuil, confiturier sculpté, piédestal d’une remarquable finesse, prie-dieu extraordinaire de beauté et de perfection, tentures (en cours de réalisation), tableaux.
       
       
      > Le cachot
       
      Une lumière l’éclaire automatiquement en y pénétrant.
    En grande partie creusée dans la roche, cette terrible prison de 4 mètres carrés, fermée par deux solides portes, pouvait être dotée d’un bas flanc garni ou non de paille. Pour rajouter à l’isolement des prisonniers, un minuscule passe-plat en chicane permettait d’y faire passer un quignon de pain et une petite cruche d’eau, mais empêchait de voir d’un côté à l’autre.
       
       
      > La maison de l'alchimiste
       
      Ici, Léopold de Bonaventure, dit-on, essaya comme tant d’autres alchimistes, la transformation de la matière. Perchés au sommet des falaises escarpées, ces lieux offrent la discrétion et la tranquillité pour abriter des activités suspectes, marginales voire interdites. Cet endroit est parfait et se prête à merveille à la méditation et à la recherche. La vue sur la vallée vous permet de voir sur la droite le village du Moustier, le château de Chabans qui donna partiellement son nom à Jacques Chaban-Delmas, ancien premier ministre, et face à vous le hameau de Lespinasse.
       
     
     
    > Horaires et dates et d'ouverture

    Ouvert tous les jours de février au 30 novembre & vac. Noël
    Vacances de février,mois de mars, octobre, novembre, vacances de Noël: 10h à 18h
    Avril : 10h à 18h30
    Mai, juin, septembre : 10h à 19h
    Juillet, août : 10h à 20h

    Source : http://www.sites-en-perigord.com/fr/sites/chateau-reignac.html

  • Château de Reignac

    Château de Reignac

     
    Château de Reignac
    Château de Reignac
    Début construction XVe siècle
    Fin construction XVIIIe siècle
    Destination initiale Forteresse
    Destination actuelle Hôtellerie
    Site Internet www.lechateaudereignac.com/fr
    Coordonnées 47° 13′ 58″ Nord
           0° 55′ 00″ Est
     
      1
    Pays Drapeau : France France
    Anciennes provinces de France Touraine
    Région Centre
    Département Indre-et-Loire
    Commune de France Reignac-sur-Indre
     

    Géolocalisation sur la carte : France

    (Voir situation sur carte : France)
    Château de Reignac

    Le château de Reignac est un château du val de Loire situé à Reignac-sur-Indre en Indre-et-Loire.

    Il est bâti sur les vestiges d'une ancienne forteresse du xve siècle, comme en témoignent ses deux tours cylindriques. Il a été ensuite profondément modernisé au début du xviiie siècle.

    De nos jours il est aménagé en hôtel de luxe.

    Notes et références[modifier]

    1.  Coordonnées vérifiées sur Géoportail et Google Maps

    Articles connexes[modifier]

    Liens externes[modifier]

    Sur les autres projets Wikimédia :

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Reignac