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  • Le conseil général veut redorer le blason du château de la Punta

    Ajaccio

    Le conseil général veut redorer le blason du château de la Punta

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    Paru aujourd'hui, vendredi 8 janvier 2010 0 commentaire(s)
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    Photo : Michel Luccioni
    Dans le courant de l'année, le château de la Punta devrait faire l'objet de grand projet de développement. Parmi les initiatives étudiées par son propriétaire, le département, une idée se distingue et retient toute l'attention des décideurs.

    Au chapitre des hauts lieux emblématiques de la richesse et de la diversité patrimoniale d'Ajaccio et de sa région, impossible de passer sous silence et d'ignorer le château de la Punta. Son architecture fascine. Son passé et son présent suscitent autant d'intérêt et de passions. Et plus encore, son devenir intrigue, autant qu'il captive la population ajaccienne férue de monuments cultes de son patrimoine architectural.

    Beaucoup d'encre a en effet coulé, depuis la construction de l'édifice entre 1891 et 1896, puis à l'âge d'or du château de la Punta. Un château construit à partir des pierres provenant du palais des Tuileries incendié en 1871 à Paris.

    Splendeur et misère du château

    L'histoire de ce successeur du pavillon Bullant des Tuileries sera elle aussi tourmentée, du haut de son terrain, situé sur la commune d'Alata, dominant la cité impériale. Brûlé dans sa partie supérieure au cours de l'année 1978, le château de la Punta a ainsi connu une vie jalonnée de splendeur et de misère. Jusqu'à ce qu'il soit vendu au conseil général de Corse-du-Sud, un beau jour de l'année 1992. Nouvelle vie ? Renaissance programmée ? De son côté, l'association des amis du château de la Punta, présidée par Paul Ruault, s'active elle aussi pour la sauvegarde du château. Dans ce dossier, plusieurs dates clés font référence et font parfois débat : comme en juin 2006, lorsque le conseil général de Corse-du-Sud fait paraître dans la presse qu'il met en vente l'édifice. Mais les offres reçues seront largement inférieures au prix estimé par les domaines. Le projet de transaction est retiré. Il y a trois ans, le département crée la commission ad hoc sur l'avenir du château de la Punta, présidée par le conseiller général du canton, Jean-Louis Luciani.

    De l'espoir, de la créativité et des projets

    Régulièrement cette commission se réunit, planche sur des projets réalistes, réfléchit à leur financement possible. La démarche voulue par le président du conseil général étant de ne rien laisser au hasard, ne rien improviser. Et donc ne surtout pas céder à des idées de projets fantaisistes. D'ailleurs comme le fait remarquer Christian Istria, directeur de cabinet du président Jean-Jacques Panunzi, « pour redonner au château toute sa splendeur, la somme de 15 millions d'euros est nécessaire. Deux de nos gros dossiers sont le château de la Punta et Guagno les bains, en cours de traitement. Dire que l'on projette de faire du château un musée serait restrictif et aurait un coût énorme. Il y a des solutions à trouver et plusieurs sont à l'étude : comme l'organisation de visites. Nore priorité est que le bâtiment reste dans le cadre patrimonial du conseil général. Nous avons un impératif de valorisation du patrimoine. Dès lors, on fera appel à des investisseurs. »

    Surfer sur la dynamique des croisières

    Un avant-projet de développement du site qui porterait la griffe d'un designer de renommée internationale, va être prochainement finalisé et présenté en séance publique dans le courant du premier semestre 2010. Christian Istria et l'ensemble des parties prenantes tiennent à « ce que le projet soit générateur d'activité, vecteur d'emplois, car il faut trouver le juste milieu entre l'impératif économique et la nécessité de faire venir des gens qui investissent de l'argent. Pour la première fois, les choses bougent...» Même si ce début d'année 2010 est porteur de renouveau pour le château, le département préfère rester discret sur le sujet. Enfin, Christian Istria précise tout de même que « le projet s'inscrira dans le haut de gamme. » Le secteur des croisières qui a le vent en poupe présente un atout de poids pour un parcours culturel thématique qui passerait bien évidemment par le château de la Punta restauré. Une fois ses façades et corniches rénovées, ainsi que les embellissements intérieurs achevés.

     

    Lucile Caïtucoli-Ciattoni

    http://www.corsematin.com/ra/culture-loisirs/233675/corse-du-sud-le-conseil-general-veut-redorer-le-blason-du-chateau-de-la-punta

  • Château de Bélesbat

    Château de Bélesbat

    Château de Bélesbat Boutigny-sur-Essonne

    Datation
    XVIIe siècle

    En 1479, Louis XI séjourne dans l'ancien château de Bélesbat, édifié vraisemblablement dans la seconde moitié du XVe siècle. Louis XII autorise l'acquisition de la propriété par Jean Hurault de La Grange. Michel de L'Hôpital, ' apôtre de la tolérance ', y décède dans les bras de sa fille en 1573. Henri IV fréquente régulièrement le château, dont le logis est entièrement reconstruit au XVIIe siècle. J.-B. Berthelot de Duchy en est le seigneur de 1706 à 1740. Voltaire y séjourne plusieurs fois en 1725. Le parc est abattu en 1747. Rémy François de Chestret, bienfaiteur de Boutigny, devient propriétaire du domaine en 1786, qui passe ultérieurement par héritage au marquis de Rennepont. La famille Allez le possède jusqu'en 1920, date à laquelle il est acquis par les Raynal. Le château est alors délabré. En 1970, des bâtiments sont détruits et les douves sont comblées. Vendu en 1987, le château a été entièrement restauré.

  • Prochaine vie de château aux Vintimille

    Prochaine vie de château aux Vintimille pour le musée historique

     L'assemblée générale de l'Académie Geoffroy a confirmé une nouvelle attendue depuis des années : le déménagement du musée historique dans d'autres locaux. En l'occurrence le château des Vintimille où est accueilli le musée régional du timbre. Joli pôle culturel en devenir ! : Photo J. P. L'assemblée générale de l'Académie Geoffroy a confirmé une nouvelle attendue depuis des années : le déménagement du musée historique dans d'autres locaux. En l'occurrence le château des Vintimille où est accueilli le musée régional du timbre. Joli pôle culturel en devenir ! : Photo J. P.

    Cette année 2010 est particulièrement importante pour l'Académie Geoffroy. Le transfert de son outil majeur, de sa « raison d'être », le musée historique du centre Var, est prévu pour une ouverture en juillet.

    L'académie a été fondée en 1982 sous l'impulsion de Jean-Louis Dieux qui souhaitait une vie culturelle pour sa commune.

    Sa présidente, Christiane Benazet, actuelle adjointe à la culture, a obtenu qu'il quitte la chapelle Sainte-Anne devenue, exiguë, pour le premier étage du château des Vintimille.

    Découvrir et partager

    Regrouper le musée régional du timbre et de la philatélie et le musée archéologique est une intéressante initiative. Reste à faire le déménagement et imaginer la nouvelle installation.

    La situation - musée et office du tourisme à deux pas - va certainement générer un essor du nombre de visiteurs. Des touristes toujours nombreux à rechercher des sites intéressants, d'autant plus en accès libre.

    Il faut rappeler que le musée fonctionne grâce à des bénévoles. Ils assurent l'ouverture de la structure durant l'été. Et les visites dans le courant de l'année, sur rendez-vous, pour les écoles, associations diverses. Voire des particuliers venus découvrir notre région.

    Lors de l'assemblée générale, les bilans ont été votés à l'unanimité. Le bilan comptable - créditeur de 2 592 euros - va permettre d'envisager une installation correcte dans les nouveaux locaux.

    L'association propose également des sorties en groupe à ses académiciens. Pour visiter des lieux remarquables (chapelles, musées), découvrir la région avec un autre regard, participer à des conférences, des expositions tournantes. Elle encadre, par ailleurs avec fidélité, la Bourse aux minéraux et fossiles qui connaît un vif succès chaque année. La prochaine sortie sera tout d'abord Martigues en avril. Puis, pour le 1er mai, la visite du musée archéologique d'Arles. Histoire de se rapprocher de l'actualité : les nouvelles pièces remontées du Rhône dont la tête de Jules César. J. P.

    Var-Matin
  • Citadelle de Port Louis - le fort de l'Aigle

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    La citadelle de Port Louis - le fort de l'Aigle. Elevée sur une pointe rocheuse à l'entrée de la rade de Lorient, la citadelle de Port-Louis est un imposant édifice marqué par les événements de l'histoire bretonne des XVIe et XVIIe siècles.


    Quand, après l'assassinat de Henri de Guise, le duc de Mercoeur, gouverneur de Bretagne, voit que la succession du trône de France doit revenir au roi protestant Henri de Navarre, il se jette dans la révolte. Représentant de la Ligue en Bretagne, il appelle en renfort le roi Philippe II d'Espagne.

    En 1590, 3000 espagnols débarquent à Port-Louis, connu alors sous le nom de Blavet. Don Juan del Aguila devient gouverneur de la place et entame la construction des fortifications. Cette nouvelle citadelle, appelée "Fuerte del Aguila", le fort de l'Aigle, est édifiée en 1591, sous la conduite de Cristobal de Rojas, ingénieur des fortifications de Cadix, qui aménage dans le même temps une puissante forteresse à Roscanvel, en face de Brest.

    En 1598, à la fin de l'occupation espagnole, les Etats de Bretagne et Henri IV demandent au Maréchal de Brissac la démolition totale de la citadelle. On conserve cependant deux bastions et une courtine, les piles du pont, les casernes, les deux corps de garde et la chapelle. Considérant, à partir de 1610, la position stratégique de la place à l'entrée de la rade, Louis XIII décide en 1616 de la reprise des travaux, confiés à l'architecte Jacques Corbineau, bâtisseur du château de Brissac.


    La réalisation de la demi-lune et l'établissement d'un plan capable de soutenir un siège sont discutés à maintes reprises. Ce n'est donc qu'en 1641 que le cardinal de Richelieu confie à Nicolas Gilles l'achèvement des travaux de fortification de la citadelle.

    Quarante ans plus tard, en 1683, Vauban, en visite à Port-Louis, formule quelques critiques à l'égard des bastions, qu'il juge trop aigus. Malgré ces défauts, le grand ingénieur estime cependant que " la situation de la citadelle est si avantageuse en elle-même que rien n'empêche qu'on puisse considérer le Port-Louis comme une bonne place."

    Le plan de la citadelle est un rectangle bastionnée aux angles et sur les côtés. la partie tournée vers la ville est protégée par une demi-lune que l'on franchit par un petit pont dormant en pierre reconstruit en 1779.

    Source : http://www.artouest.org/chateau/la-citadelle-de-port-louis-le-fort-de-laigle.html

     

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  • Château de la Selve

    Château de la Selve

    CHÂTEAU DE LA SELVE

     

    L’histoire de la propriété


    Le Château de la Selve était à l'origine une maison forte aux frontières de l'Empire puis du Royaume de France.

    Il fut ensuite le relais de chasse d'une illustre famille du Vivarais, les ducs de Joyeuse, avant de devenir au fil des siècles une exploitation agricole.

    Datant du XIIIème siècle, son architecture est typique des maisons ou châteaux forts du Bas-Vivarais.

    Situé sur les berges du Chassezac, principal affluent de l'Ardèche, il bénéficie d'un environnement exceptionnel et protégé.

    En 1990, cette magnifique demeure devient la propriété de mes parents Jean-Régis et Magdeleine Chazallon.

    Le château trouve alors une destination familiale, touristique et agricole.

    Aujourd’hui six Gîtes de France (de 3 à 6 personnes), aménagés dans une aile du château, au milieu d’un grand parc arboré, offrent un havre de paix au cœur de l’Ardèche touristique.

     

    Source : http://www.chateau-de-la-selve.fr/fr/chateau.html?__utma=1.2139047487.1262276375.1262276375.1262276375.1&__utmb=1.1.10.1262276375&__utmc=1&__utmx=-&__utmz=1.1262276375.1.1.utmcsr=(direct)|utmccn=(direct)|utmcmd=(none)&__utmv=-&__utmk=105957763

     

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  • Château de Sillé le Guillaume

     

    Château de Sillé le Guillaume

    Caractéristiques :
    Ville : Sillé le Guillaume Département : Sarthe
    Région : Pays de la Loire Construction : XIème siècle

    chateau médieval de Sillé


    Historique du chateau de Sillé le Guillaume

    Le chateau est assigné à la défense du Maine contre les Bretons et les Normands dès 1070.
    Les troupes Anglaises et Françaises se disputent la forteresse lors de la guerre de cent ans, le chateau est en ruine.
    C'est dans la seconde moitié du XVème siècle que le Baron de Sillé lancera la reconstruction du chateau et de son donjon actuel.
    Le chateau s'agrandit au XVIème et XVIIème siècle avec la construction de plusieurs logis.
    Le chateau de Sillé le Guillaume est classé monument historique en 1889 puis en 1914.

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    Chateau de Sillé

     

     

    Source : http://www.chateauxmedievaux.com/chateau_sille.php?sid=320afcead9ec1335116ddec4de1c4390