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  • Château des Côtes

    Château des Côtes

    Château des Côtes Les Loges-en-Josas

    Matériau
    meulière
    Datation
    1872 - 1875

    Ce château de style néo-gothique est construit par la famille Mallet, illustre dynastie jovacienne descendante d'Oberkampf dont une partie du domaine existe encore à Jouy. Il est agrandi par la suite mais connait de sérieux dégâts au cours de la Seconde Guerre mondiale, lors des bombardements alliés. Il est acquis après la guerre, en 1951, par la Société de charité maternelle de Paris et continue aujourd'hui d'accueillir des enfants atteints des troubles cardiaques et de myopathie.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-des-cotes-les-loges-en-josas

  • Château des Forgets

    Château des Forgets

    Château des Forgets L'Isle-Adam

    Le domaine des Forgets tient probablement son nom d'un saint local mort en 304. Il est distant d'environ 2 kilomètres du centre-ville. Le terrain, enclavé dans la forêt de L'Isle-Adam, propriété des princes de Conti depuis plus de un siècle, est déclaré bien national à la Révolution. Au début du XIXe siècle, Pierre-Nicolas Topinard, maire de L'Isle-Adam de 1815 à 1816, achète le domaine des Forgets et y fait ouvrir des carrières de pierre à ciel ouvert et en galeries. Georges Manchez, rédacteur au journal Le Temps, construit en 1893 le château et ses dépendances et fait aménager un parc paysager qu'il entoure d'un grand mur de clôture. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le château et les anciennes galeries des carrières servent de refuge à un réseau de résistance. Son propriétaire, Géo Grandjean, est arrêté et fusillé par les Allemands en 1944.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-des-forgets-l-isle-adam

     

  • Château de Maisons-Laffitte

    Château de Maisons-Laffitte

    Château de Maisons-Laffitte

    Château de Maisons-Laffitte
    Château de Maisons-Laffitte

    Présentation
    Période ou style
    Type château
    Architecte François Mansart
    Date de construction xviie siècle
    Classement Monument historique
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France
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    MonumentMonuments par pays

    Le château de Maisons-Laffitte, à l'origine château de Maisons, est un château situé à Maisons-Laffitte dans les Yvelines, chef-d'œuvre de l'architecture civile française du xviie siècle, qui constitue une référence majeure dans l'histoire de l'architecture.

    Le château est ouvert au public et géré par le Centre des monuments nationaux1.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    Les Longueil, ancienne famille de parlementaires, possédaient pour partie la seigneurie de Maisons depuis 1460, et en pleine propriété à partir de 1602. À partir de 1630, et pendant sans doute vingt à trente ans, René de Longueil, premier président de la Cour des aides puis président à mortier au Parlement de Paris, consacre la fortune héritée de sa femme, Madeleine Boulenc de Crévecœur (décédée en 1636), à la construction d'un magnifique château. Il peut passer l'été dans son château en 1649, mais les travaux des dépendances se poursuivent bien au-delà de cette date.

    Sur la foi des témoignages des contemporains, le bâtiment est attribué à l'architecte François Mansart. Aucun document ne corrobore cette attribution, en dehors d'un paiement de 26.000 livres effectué par René de Longueil au profit de François Mansart en 1657, a priori après l'achèvement du château. Néanmoins, elle est affirmée par un pamphlet intitulé « La Mansarade » qui accuse l'architecte d'avoir réalisé, après avoir fait élever le premier étage, qu'il avait commis une erreur dans ses plans et d'avoir fait abattre tout ce qui avait été construit pour tout recommencer.

    Charles Perrault attribue également Maisons à Mansart : « Le château de Maisons, dont Mansart a fait tous les bâtiments et les jardinages, est d'une beauté si singulière qu'il n'est point d'étranger qui ne l'aille voir comme l'une des plus belles choses que nous ayons en France. » Perrault souligne que l'architecte avait l'habitude de faire refaire parfois plusieurs fois certaines parties de ses bâtiments, à la recherche de la perfection. Ceci pourrait expliquer la durée anormalement longue de la construction, étalée sur plusieurs décennies.

    À la mort de René de Longueil, en 1677, le château reste dans sa descendance jusqu'en 1732, puis passe par succession à la marquise de Belleforière puis au marquis de Soyécourt. Il devient en 1777 la propriété du comte d'Artois, frère de Louis XVI et futur roi sous le nom de Charles X, qui y fait faire d'importantes transformations intérieures par son architecte, François-Joseph Bélanger. Ces travaux sont interrompus en 1782 en raison du manque d'argent. Le château n'est plus entretenu et se délabre.

    Confisqué comme bien national sous la Révolution, il est vendu en 1798 à un fournisseur aux armées, M. Lauchère, puis, en 1804, au maréchal Lannes et enfin, en 1818, au banquier parisien Jacques Laffitte. Celui-ci procède, à partir de 1834, à l'urbanisation du parc sous forme d'un lotissement et détruit les magnifiques écuries pour fournir aux acheteurs des matériaux de construction. En 1844, le château lui-même passe à sa fille, la princesse de la Moskowa qui le cède en 1850 à Charles Xavier Thomas de Colmar, inventeur de la première machine à calculer industrielle : l'arithmomètre Thomas. En 1877, les héritiers de Thomas de Colmar, cèdent le château au peintre Tilman Grommé qui lotit le petit parc et démolit le portail d'entrée de l'avant-cour qui, sévèrement réduite, est close par une grille en fer forgé qui proviendrait du château de Mailly en Picardie.

    En 1905, l'État rachète le château pour le sauver de la démolition ; il est classé Monument historique en avril 19142.

    Architecture [modifier]

    Extérieurs [modifier]

    Le château de Maisons a été construit entre la Seine et la forêt de Saint-Germain-en-Laye, avec une façade sur jardin orientée sud-est. Originellement, il comportait un jardin, un petit parc de 33 hectares et un grand parc de 300 hectares. On y accédait par deux avenues se croisant en T devant le portail de l'avant-cour (avenue Eglé et avenue Albine) : l'axe principal conduisait à la forêt, l'axe transversal à la Seine, qu'on franchissait par un bac en direction de Paris, en traversant le village situé au sud-ouest du château. Trois portails (outre celui de l'avant-cour) étaient disposés aux extrémités des avenues comprenant chacun deux portes encadrant un saut-de-loup, dispositif appelé « ahah » très caractéristique de l'architecture deFrançois Mansart.

    De part et d'autre du fond de l'avant-cour, Mansart avait édifié les écuries, chef-d'œuvre d'architecture qui ne nous est malheureusement connu que par des relevés, et une fausse façade, ou « renard », destinée à créer un effet de symétrie. Le parti monumental des écuries annonçait Versailles et Chantilly. De ce magnifique ensemble ne subsiste qu'une grotte, qui était sans doute l'abreuvoir des chevaux.

    Le château lui-même a été édifié sur une plateforme rectangulaire bordée d'un fossé sec. La cour d'honneur était délimitée par des terrasses qui la faisaient apparaître décaissée et créaient une virtualité du château traditionnel de plan fermé. Le logis ne comporte que de courtes ailes. Il comprend plusieurs corps ayant chacun leur comble, avec des toits écrêtés et pourvus de hautes souches de cheminées, et des avant-corps marqués par des ressauts de façade, selon une disposition qui rappelle les œuvres de Pierre Lescot et de Philibert Delorme au siècle précédent. À cette époque se rattache également la disposition du logis simple en profondeur, avec trois étages de sous-sols, un premier étage noble sur rez-de-chaussée et trois étages de combles.

    Intérieurs [modifier]

    Vestibule [modifier]

    On entre dans le château par un grand vestibule central qui n'était primitivement fermé que par des grilles. Ces grilles, ouvrages exceptionnels de ferronnerie, sont aujourd'hui au musée du Louvre ; elles illustrent l'utilisation extensive de la ferronnerie d'art à Maisons. Le mariage de la pierre et de la sculpture donne un sentiment de grandeur et de noblesse qui en fait l'un des morceaux d'architecture les plus caractéristiques du xviie siècle français en général, et de l'art de François Mansart en particulier. Les huit colonnes de styles doriques sont cannelées, rudentées et légèrement fuselées. Quatre aigles aux ailes déployées (symbole des Longueil) apparaissent aux angles de la pièce. Sur les quatre lunettes de la voûte sont visibles des bas-reliefs de Gilles Guérin, sur des dessins de Jacques Sarazin, illustrant les quatre éléments à travers des figures mythologiques romaines : Cybèle (la terre), Junon (l'air), Neptune (l'eau) etJupiter (le feu). Ce vestibule distribue deux appartements.

    Appartement de René de Longueil [modifier]

    L'appartement de gauche, dit « appartement des Captifs », était sans doute celui de René de Longueuil et a conservé son décor d'origine. Une antichambre mène à une pièce d'angle, ancienne chambre d'apparat dite aussi "salon des captifs". La cheminée représente Louis XIII (sur un médaillon au centre de la partie supérieure) entouré de captifs (sculpture de Gilles Guérin), d'où le nom donné à l'appartement. Ces deux prisonniers symbolisent les deux victoires qu'a remporté le roi pendant la Guerre de trente ans. La partie centrale, un bas-relief, représente le triomphe de Louis XIII sur un char suivi de captifs enchaînés. La plaque de fonte de la cheminée est aux armes des Longueil. Le salon des captif conserve également plusieurs peintures dont Le paysage en cascade de Hubert Robert réalisée en 1779 et L'éruption du mont Vésuve par Pierre-Jacques Volaire, réalisée en 1774 et qui illustre l'un des sujet de prédilection du peintre.

    Appartement du comte d'Artois [modifier]

    L'appartement de droite, dit « appartement de la Renommée », a été entièrement refait par Bélanger pour le comte d'Artois dans le style néo-classique. L'intervention de Bélanger à Maisons a été relativement discrète et remarquablement respectueuse du style général de l'édifice.

    Appartement du maréchal Lannes [modifier]

    Chambre de Lannes

    À l'étage, l'appartement de droite, dit « des aigles », doit son nom à la décoration réalisée au temps du maréchal Lannes.

    Appartement à l'italienne [modifier]

    L'appartement de gauche, dit « appartement du roi » ou « appartement à l'italienne » parce que toutes les pièces sont à l'italienne, c'est-à-dire couvertes en fausses voûtes. Il comprend une vaste salle des fêtes, dite aussi salle des gardes, avec une tribune pour les musiciens. Elle ouvre sur un salon appelé salon d'Hercule, par référence au tableau d'Hercule terrassant l'hydre du Guide qui ornait autrefois la cheminée monumentale, décorée de sculptures par Guérin. Dans le pavillon est, une pièce couverte en dôme orné de termes annonce le grand salon de Vaux-le-Vicomte. Un petit cabinet ovale, dit « cabinet des miroirs », comporte une décoration d'un grand raffinement, et a notamment conservé un précieux parquet incrusté d'étain et d'os.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Maisons-Laffitte

    Recherche : ChâteauVersaillesManoirPalaisDemeureCastle

  • Château Conti

    Château Conti

    Château Conti L'Isle-Adam

    Matériau
    Brique

    Cette demeure est construite par la famille Ducamp à proximité de l'ancien château des princes de Conti, mis en vente comme bien national et détruit pierre à pierre au début du XIXe siècle. Ce château de style Louis XIII est incendié par les Prussiens pendant la guerre de 1870. Reconstruit à l'identique, il sert d'hôtel, puis de maison de repos. Après 1918, un restaurant à l'enseigne du Royal-Conti s'y installe. Il reçoit pendant l'entre-deux-guerres une clientèle brillante parmi laquelle Cécile Sorel qui vient y écrire ses mémoires.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-conti-l-isle-adam

  • Château Mallet (Jouy-en-Josas)

    Château Mallet

    Château Mallet Jouy-en-Josas

    Matériaux
    enduit
    Calcaire
    Datation
    1695

    Le secrétaire de Louis XIV Louis Berthelot fait construire ce château sur l'emplacement de l'ancien château seigneurial de Jouy-en-Josas. Embelli par ses descendants, notamment par le ministre Antoine Louis Rouillé, il est ensuite la propriété de la famille Mallet de 1841 à 1953. Sa façade, qui comporte un étage de soubassement, est ornée de pilastres corinthiens à feuilles d'acanthe sur l'avant-corps central à fronton triangulaire. La chambre régionale de commerce en est aujourd'hui propriétaire.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-mallet-jouy-en-josas

     

  • Château de Vilvert à Jouy-en-josas

    Château de Vilvert

    Château de Vilvert Jouy-en-Josas

    Matériau
    Calcaire
    Datation
    XIXe siècle

    Le baron Cabrol Demouté, descendant de la famille Mallet, fait construire ce château de style classique sur l'emplacement du précédent. Le corps central à élévation à travées sur deux étages est couvert d'un toit percé de lucarnes ornées de frontons semi-circulaires. Il est flanqué de deux pavillons surmontés d'un fronton triangulaire. Ce château est transformé en hôpital pendant la Seconde Guerre mondiale pour recevoir des blessés de la division Leclerc. Le domaine est aujourd'hui la propriété du ministère de l'Agriculture qui y a installé l'INRA, Institut de recherche agronomique et le CNRZ, Centre de recherche zootechnique.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-vilvert-jouy-en-josas