Château de Hautefort
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Source : http://www.hautefort.com/
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Le château du domaine de Montreuil fut acheté par le roi Louis XVI en 1783 pour en faire la résidence de sa soeur, Madame Élisabeth. Son parc, d'une superficie de 7,2 hectares est constitué de vastes pelouses, d'une Orangerie, d'un pavillon de chasse et d'une grotte. C'est aujourd'hui un lieu de travail et d'exposition du Conseil général des Yvelines.
Source : http://www.cityzeum.com/domaine-de-madame-elisabeth
Château d'Azay-le-Rideau | |
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Présentation | |
Période ou style | Renaissance française (à inspiration italianisante) |
Type | Château |
Date de construction | 1510-1528 |
Classement | monument historique |
Géographie | |
Latitude Longitude | Non renseigné (Chercher ce lieu) |
Pays | France |
Commune | {{{commune}}} |
Monument - Monuments par pays | |
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Le château d'Azay-le-Rideau est un monument classé appartenant à l'État et situé dans la commune du même nom, en Indre-et-Loire, en France. On peut y accéder par la ligne TER Tours - Chinon qui marque systématiquement l'arrêt dans la commune.
Le premier château médiéval d'Azay fut construit aux alentours de 1119 par l'un des premiers seigneurs du lieu, Ridel (ou Rideau) d'Azay, chevalier de Philippe Auguste, qui édifia une forteresse défensive censée protéger la route entre Tours et Chinon. Mais il fut brûlé par Charles VII en 1418 lorsque le roi, de séjour à Azay sur la route de Chinon, est provoqué par les troupes bourguignonnes qui occupent la place forte. Le capitaine et 350 soldats sont exécutés. Le village gardera d'ailleurs jusqu'au xviiie siècle le nom d'Azay-le-Brûlé.
Le domaine est acquis à la fin du xve siècle par Martin Berthelot, maître de la chambre aux deniers du roi, qui le cède à son fils Gilles. Le château actuel fut donc bâti entre 1510 et 1528par le maire de Tours et trésorier du roi François Ier, Gilles Berthelot et par sa femme, Philippa Lesbahy. Il s'agit d'un des chefs-d'œuvre de la première Renaissance française.
Lorsqu'en 1527, le cousin de Gilles Berthelot, Jacques de Beaune-Semblencay, est exécuté, le couple décide de vider les lieux et de se rendre à Metz. Gilles Berthelot décèdera en 1529à Cambrai.
En juin 1528, le roi confisque le château inachevé. Bien que Philippa Lesbahy insiste pour garder son château, elle le perdra définitivement en 1535 lorsque le roi l'offre à l'un de ses compagnons d'armes, Antoine Raffin, capitaine des gardes, qui l'a accompagné à Pavie. Le château ne sera en réalité occupé qu'à partir de 1547.
La petite-fille d'Antoine Raffin, Antoinette, ancienne dame d'honneur de Marguerite de Valois, s'y installe en 1583 et entreprend d'actualiser les décors de l'édifice avec l'aide de son époux, Guy de Saint-Gelais. Son fils Arthus en hérite avec sa femme, Françoise de Souvré, qui sera plus tard la gouvernante du futur Louis XIV. Louis XIII sera reçu par la suite au château.
Les Raffin puis leurs alliés en 1751, les Vassé, en seront propriétaires jusqu'à la Révolution.
En 1791, le château "abandonné et très dégradé" est vendu par Henry de Courtemanche au marquis Charles de Biencourt, maréchal des camps et armées royales, député de la noblesse aux États Généraux de 1789, puis de la Constituante, dont les descendants le conserveront un siècle.
Il lui donne son aspect actuel en procédant à de profonds changements intérieurs et extérieurs.
En 1824, Charles de Biencourt fait ajouter au rez-de-chaussée sud du château un "pavillon chinois" - détruit vers 1860 ? - et vers 1825-1826 la bibliothèque, comme le salon à l'opposé, est décorée de lambris bas de style surmontés d'une toile peinte à grands motifs végétaux (conservée).
Son fils Armand-François-Marie entreprend ensuite la première grande restauration de l'édifice : rétablissement des voûtes et des lucarnes, restitution des médaillons et insignes royaux de l'escalier - bûchés sous la Révolution ? - construction d'une nouvelle tour de style Renaissance "remplaçant le vieux donjon", par l'architecte Dusillon. Il fait aussi élargir le terre-plein dominant la rivière au Sud, créant ainsi une terrasse desservie depuis le salon par une perron (supprimé lors de la restauration du xxe siècle).
Dès 1840, le château est inscrit sur la liste des Monuments Historiques. En 1845, les derniers vestiges médiévaux sont démolis pour laisser place aux deux tours d'angle sur cour.
En 1870, il sert de logement au prince Frédéric Charles de Prusse, neveu du roi de Prusse, qui occupera aussi pendant six semaines avec ses soldats le village de Saint-Patrice (Indre-et-Loire) et le château de Rochecotte.
" M.le marquis de Biencourt entretient avec beaucoup de soin son château (..) on y visite surtout avec intérêt une collection de portraits historiques attribuée aux meilleurs maîtres".
(G. Touchard-Lafosse, "La Touraine historique, pittoresque et biographique", Tours, Lescene, 1856, p.289).
Cette série unique de 300 œuvres (cf. inventaire après décès du marquis en 1854) fait du château l'un des plus beaux musées de France de l'époque, ouvert aux visiteurs.
En 1898, des revers de fortune causés entre autres par le krach boursier de l'Union Générale (1882) l'empêchant d'assurer l'entretien du domaine, Charles-Marie-Christian, 4ème du nom et propriétaire depuis 1862, veuf jeune et sans héritiers directs, est contraint de vendre le château, son mobilier et 540 hectares de terres, qui sont acquis pour 517 000 francs par l'homme d'affaires Achille Arteau, ancien avocat de Tours, qui veut le démembrer avec profit.
Les meubles et objets d'art sont alors dispersés en plusieurs ventes, mais une nièce du marquis parvient à racheter les plus précieux tableaux et dessins et en fera ensuite don à l'Institut (musée Condé à Chantilly) et à la Bibliothèque Nationale.
La demeure reste vide jusqu'à son achat par l'État le 11 août 1905 pour 250 000 francs grâce à un legs de Léon Dru, et est aussitôt classé Monument Historique.
Depuis 1907, il fait l'objet de profondes restaurations.
Le château d'Azay est aujourd'hui géré par le Centre des Monuments nationaux1.
Décrit par Balzac qui vint y déjeuner une fois, comme « un diamant taillé à facettes serti par l’Indre », Azay-le-Rideau est l'un des châteaux les plus célèbres de la Loire. Relativement petit, le corps de logis s'articule en un corps principal et une aile en équerre, quadrillés de bandeaux horizontaux, entourés par l'Indre et par un parc boisé. Chaque angle est pourvu d'une tourelle. Le centre du bâtiment est désigné par l'entrée monumentale, ainsi que par l'escalier d'honneur à rampes droites qui dérègle le rythme des fenêtres : il dispose en effet de trois étages de baies jumelées formant des loggias et un fronton ouvragé, décalés par rapport au réseau des fenêtres du reste de l'édifice. Cet élément à grande valeur décorative est composé de plusieurs ornements à la mode italienne : colonnes, pilastres, coquilles, médaillons, etc.
La porte d'entrée, semblable aux arcs de triomphes romains est orné des initiales de Gilles Berthelot et de sa femme, tandis que la partie inférieure des baies est décorées de la salamandre et de l'hermine, en référence au roi François Ier et à son épouse Claude. Le plafond de l'escalier, quant à lui, est sculpté de portraits antiques.
Mais cette inspiration italianisante alterne avec des références féodales devenues éléments de décor. Ainsi, on observe la trace d'un chemin de ronde sur les murs extérieurs ou encore des mâchicoulis sur les toits. Tout cela mêlé à de hautes toitures, ornées de poivrières effilées et de longues lucarnes.
L'intérieur reste celui d'un château de la Renaissance italienne, avec ses décors sculpturaux riches, où restent des traces de la Renaissance flamande avec les tapisseries du xvie siècle et xviie siècle exposées dans plusieurs pièces du château: On note des "verdures" d'Anvers et Tournai, des scènes de L'ancien testament tissés à Audenarde, l'Histoire de Psyché réalisée à Bruxelles, ou encore la tenture de Renaud et Armide, exécutée à Paris, dans les ateliers du faubourg Saint-Marcel d'après des cartons de Simon Vouet.
Le mobilier et le décor est également très riche : chaire à dais en chêne de la fin du xve siècle, crédences, etc. ainsi que plusieurs tableaux, dont une Dame au bain (Diane de Poitiers?) de François Clouet, le portrait de Catherine de Médicis, ou encore un tableau représentant la scène duCamp du Drap d'Or.
L'intérieur est notamment constitué de plusieurs salons et appartements d'apparat, dont la plupart ont été redécorés dans les style néo-Renaissance au xixe siècle :
Les jardins actuels ont été profondément réaménagés au xixe siècle par les Biencourt, qui les redessinent en un grand parc paysagé. Au sud et à l'ouest, ils sont dotés de deux miroirs d'eau dans lesquels se reflètent les façades.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_d'Azay-le-Rideau
Présentation | ||
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Période ou style | Renaissance | |
Type | Château Renaissance | |
Début construction | xvie siècle | |
Propriétaire initial | François Ier | |
Destination initiale | Relais de chasse | |
Propriétaire actuel | État français | |
Destination actuelle | établissement public industriel et commercial | |
Classement | Monument historique (1840), Patrimoine mondial de l'UNESCO (1981), EPIC (2005) | |
Site internet | Consulter | |
Géographie | ||
Latitude Longitude | 1 | |
Pays | France | |
Région | Blaisois | |
Région | Centre | |
Département | Loir-et-Cher | |
Commune | Chambord | |
Localisation | ||
Localisation sur la carte de France métropolitaine | ||
Château - Château par pays | ||
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Le château de Chambord est un château français situé dans la commune de Chambord, le département de Loir-et-Cher et la régionCentre. Le château, le plus vaste des châteaux de la Loire, est construit au cœur du plus grand parc forestier clos d’Europe. Il fut édifié sur ordre de François Ier entre 1519 et 1547.
Le château fut inscrit au Patrimoine mondial de l'UNESCO dès 19812 et est inclus depuis 2000 dans la zone de classement du Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes-sur-Loire3. Il est également classé Monument historique depuis 18404 et reconnuÉtablissement public à caractère industriel et commercial depuis 20055.
Le château est situé sur une courbe du Cosson, petit affluent du Beuvron, lui même affluent de la Loire, à environ 6 km de la rive gauche de la Loire, et à 14 km à l'est de Blois, sur la commune de Chambord, dans le département de Loir-et-Cher, en France.
Chambord est sans conteste un des châteaux à la silhouette la plus reconnaissable, et constitue l'un des chefs-d'œuvre architecturaux de la Renaissance : 156 m de façade, 426 pièces, 77 escaliers, 282 cheminées et 800 chapiteaux sculptés.
Le nom de l'architecte nous est inconnu, mais des analyses montrent l'influence de Léonard de Vinci, qui travaillait alors comme architecte de la cour de François Ier, mais qui mourut quelques mois avant le début du chantier, ainsi que celle de Domenico da Cortona.
La construction a débuté en 1519. Le chantier de Chambord fut l'un des plus importants chantiers de la Renaissance. Il fallut environ 220 000 tonnes de pierres[réf. nécessaire]. À défaut de pouvoir dévier le cours de la Loire, selon le vœu de François Ier, on se résoudra finalement à détourner le Cosson par un canal qui alimente les douves.
La vie y était rude, d'autant plus que le château a été construit sur des marécages, beaucoup d'ouvriers moururent de la fièvre. Les charpentiers ont enfoncé des pilots de chêne jusqu'à 12 mètres de profondeur, afin d'établir les fondations du château sur un solide pilotis au-dessus de l'eau. Des fouilles préventives réalisées en février 20076 ont néanmoins révélé que la tour sud-ouest s'appuie sur un enrochement calcaire, elles ont aussi mis au jour une structure circulaire en moellons, vestiges d'une tour du château médiéval qui s'y élevait avant la construction de l'actuel château7.
Des chariots arrivent du port de Saint-Dyé pour décharger tous les matériaux et en particulier la pierre de tuffeau utilisée pour la construction, c'est une pierre blanche, tendre et friable. Les tailleurs de pierre, comme les autres ouvriers, n'ont pas de salaire fixe et sont payés « à la tâche » : ce sont des tâcherons. Sur chacune des pierres qu'ils taillent, ils gravent leur marque. Cette signature permet au trésorier d'évaluer leur travail et de les payer ; on la retrouve sur certaines pierres n'ayant pas été graffitiées par la suite lors de l'ouverture du château au public.
Le plan du château repose sur un corps central parfaitement carré, appelé le donjon car même s'il n'a jamais eu aucune vocation à la défense, le château de Chambord est construit sur le modèle des châteaux forts du Moyen-Âge, avec cependant la particularité humaniste d'une rigoureuse orientation des diagonales de son donjon suivant les axes nord-sud et est-ouest ; ses tours marquant exactement les quatre points cardinaux. À l'intérieur du donjon, on trouve cinq niveaux habitables. Il y a quatre appartements carrés et quatre appartements dans les tours rondes par niveau. Entre les appartements, quatre couloirs, venant des « quatre parties du monde » (découpées par les deux axes nord-sud et est-ouest) mènent à l'escalier à double révolution au centre. Le roi François Ier, dans un second temps, étend le château d'un quadrilatère et abandonnant le canton [le quart] nord, installe ses appartements (plus vastes) dans l'aile nord. Une chapelle est construite dans l'aile occidentale, dont l'entrée ouvre plein est. Elle est achevée parJean le Humble sous le règne de François Ier. Cette position de la chapelle est rare pour l'époque : car si le roi avait voulu se placer en direction de Jérusalem, pour montrer qu'il est le détenteur du pouvoir spirituel dans son royaume, il se serait installé dans la partie est. Or c'est là qu'il a logé Charles-Quint en décembre 1539.
On dit que François Ier et son ami Jean le Humble voulaient également détourner la Loire et la faire passer devant le château, mais le projet a été abandonné.
L'escalier à double révolution placé au centre de l'édifice est attribué au polymathe italien Léonard de Vinci. Comme son nom l'indique, il comporte deux volées d'escaliers suivant un schéma de double hélice. Il permet d'accéder à la grande terrasse, elle aussi inspirée par Léonard, et qui offre une vue sur les cheminées en faisant le tour du donjon. Cet escalier est surmonté d'une tour-lanterne bien reconnaissable de l'extérieur.
Le deuxième étage est également remarquable par ses voûtes à caissons représentant les symboles royaux (monogramme F couronné et salamandre), accompagnés d'une cordelette nouée, emblème de sa mère, Louise de Savoie. Certains monogrammes de l'escalier à hauteur des terrasses sont tracés à l'envers de manière à ce que Dieu du haut du ciel voie la puissance du Roi !
Arrivé sur la terrasse, le visiteur peut remarquer que l'escalier est surmonté d'une tour-lanterne, elle s'élève à 32 mètres et surmonte toutes les cheminées de Chambord. Son sommet est coiffé d'une fleur de lys (symbole de la monarchie française).
Le vaste domaine boisé de Chambord fut acheté en 1392 aux comtes de Blois par la famille d'Orléans. Lorsque le duc d'Orléans devient roi de France en 1498 sous le nom de Louis XII, le domaine de Chambord devient propriété de la Couronne.
En 1516, François Ier revient d'Italie avec Léonard de Vinci et le désir de réaliser un grand édifice dans le style de la Renaissance italienne. En 1519, le site de Chambord est choisi pour ouvrir le chantier d'une résidence de chasse sur l'emplacement d'un ancien château fort. À partir de 1526,1 800 ouvriers travaillent à la construction du château. Elle s'achève après de multiples agrandissements en 1547, à la mort du roi, par l'aile des appartements royaux. François Ier a finalement passé très peu de temps à Chambord, pour quelques parties de chasse et pour démontrer sa puissance à son rival, Charles Quint.
Les rois de France délaissent le château après la mort de François Ier, et il se dégrade peu à peu.
En 1639, Louis XIII le donne à son frère Gaston d'Orléans. Louis XIV fait à nouveau entreprendre des transformations en 1684, pour faire couvrir la chapelle, et relier les quatre appartements du vestibule nord du premier étage en enfilade pour en faire son logis, architecture intérieure dont on retrouvera la structure au château de Versailles. Molière y a donné sa première représentation du Bourgeois gentilhomme le 14 octobre 1670.
De 1725 à 1733 le château a été occupé par le beau-père de Louis XV : Stanislas Leszczyński, roi détrôné de Pologne puis duc de Lorraine et de Bar.
De 1745 à 1750, il sert de caserne au régiment de Maurice de Saxe.
En 1792 le gouvernement révolutionnaire fait vendre le mobilier. Napoléon Bonaparte donne le château au maréchal Berthier. En 1821, le domaine est racheté à sa veuve grâce à une souscription nationale, qui l'offre au jeune Henri d'Artois, duc de Bordeaux, né l'année précédente. Après la révolution de 1830, celui-ci prendra, en exil, le titre de courtoisie de « comte de Chambord ». Avant cela, Charles X l'aura occupé brièvement et le fait restaurer sommairement. Pendant la guerre franco-allemande de 1870 il sert comme hôpital de campagne. Le comte de Chambord y résidera très brièvement en 1871, et lancera depuis Chambord un manifeste aux Français, appelant à la restauration de la monarchie et du drapeau blanc. Après 1883, le château appartient à l'ancienne famille régnante du duché de Parme, le duc Robert de Parme l'ayant hérité de son oncle maternel, le comte de Chambord.
Le domaine, racheté onze millions de francs-or à Élie de Bourbon, est la propriété de l'État depuis 1930qui le gère par le truchement de l'Association des amis de Chambord.
Pendant la Seconde Guerre mondiale le château abrita certaines œuvres du musée du Louvre8.
En 1945 un incendie détruit une partie de la toiture du donjon sud-est. En 1947 commence une grande remise à niveau de ce qui est devenu une attraction touristique majeure avec notamment des spectaclesSon et lumières dont le premier eut lieu le 30 mai 19529.
Le domaine de 5 441 ha, dont 1 000 ha sont publics, est ceinturé d’un mur de 33 km, ce qui en fait le plus grand parc forestier clos d’Europe. Le cerf et le sanglier en sont les espèces emblématiques mais l'on y trouve également plus de 100 espèces d'oiseaux. Des observatoires situés le long de la route principale permettent d'observer la faune.
Le site comprend plusieurs étangs : la Faisanderie, le Périou, la Thibaudière et les Bonshommes.
Parc du château.
Rives du Cosson.
Helmut Kohl et François Mitterrand se sont entretenu le 28 mars 1987 au château de Chambord dans le cadre d'une discussion visant à harmoniser la position européenne en matière d'armement10.
Le prince Charles et Lady Diana ont visité le château le 9 novembre 1988 dans le cadre d'une visite officielle en France11.
Au deuxième étage du château se situe le Musée de la chasse et de la nature depuis 197112.
Le village de Chambord comporte quelques maisons à vocation touristique et est également la propriété de l'état dans son intégralité13.
Depuis 1970, sous la présidence de Georges Pompidou, l'état nomme un haut-fonctionnaire au poste de commissaire à l'aménagement de Chambord14
En 2007, 17 300 SUF se sont rassemblés dans le parc du château durant trois jours afin d'y fêter les 100 ans de la création du scoutisme par Lord Baden Powell.
Le château de Chambord a servi de décor au tournage du film Peau d'Âne de Jacques Demy en 1970.
Plusieurs marques ont choisi le nom de Chambord pour nommer un de leur produit15.
Le château de Madame du Barry à Louveciennes (Yvelines), se compose • du château proprement dit, construit à la fin duxviie siècle puis agrandi et redécoré probablement par Ange-Jacques Gabriel pour Madame du Barry • d'un pavillon de réception appelé pavillon de musique construit par Claude Nicolas Ledoux • d'un parc qui a été divisé au xixe siècle.
En 1684, Louis XIV ordonna la construction, à proximité de l’aqueduc édifié pour amener à Marly l'eau puisée dans la Seine par la machine de Marly, en bordure du chemin de la Machine, d’un manoir appelé « Pavillon des Eaux », qu'il offrit au baron Arnold de Ville, l'ingénieur en chef de cette installation hydraulique.
À ce moment-là, la construction était approximativement cubique, de taille moyenne et d'apparence modeste.
En 1769, Louis XV offrit le château à sa nouvelle favorite, Madame du Barry. Celle-ci fit probablement appel à Ange-Jacques Gabriel, Premier architecte du Roi, pour agrandir et redécorer le bâtiment, qui se vit alors adjoindre l’aile basse orientale, ainsi qu'un décor de boiseries sculptées qui subsiste en partie.
De surcroît, pour Madame du Barry, le château présentait l'inconvénient de ne pas avoir de vue sur la Seine et de ne pas comporter assez de pièces de réception. Elle confia à l'architecteClaude-Nicolas Ledoux la construction, à l'aplomb de la vallée de la Seine, d'un pavillon qui ne comprenne que des pièces de réception. Ce fut le pavillon de musique.
Des deux petits temples situés dans le parc, le temple ionique date sans doute de cette époque. Il est parfois attribué sans preuve à Claude-Nicolas Ledoux ou encore à Richard Mique.
En 1852, le domaine fut agrandi jusqu'à la Seine, mais divisé en deux lots :
Des deux petits temples situés dans le parc, le temple dorique a été édifié par Henri Goury à la fin du XIXe siècle.
Dans les années 1980, le château fut acquis par une société japonaise, la Nippon Sangyoo, en vue d'une exploitation commerciale. Cette société dispersa tout le mobilier, mais laissa le bâtiment à l'abandon. Squatté, le château subit diverses dégradations et, en 1994, une tentative d'enlèvement de boiseries et d'une cheminée fut déjouée de justesse par la police. Le propriétaire japonais a alors remis la propriété en vente. Celle-ci a été achetée par un investisseur français qui l'a soigneusement restaurée.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Madame_du_Barry_(Louveciennes)