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  • Château de Mauvières

     

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    Le château de Mauvières, à l'origine maison seigneuriale, date principalement des XVIIe et xviie siècles. Au xve siècle, à la suite de la guerre de Cent Ans, Ramond de la Rivière de la Martigne se voit offrir par le duc d'Anjou, le fief de Mauvières pour avoir repris la cité de Bergerac aux Anglais en 1450 et devient seigneur de Mauvières et de Bergerac. En 1582, le domaine devient la propriété du grand-père du mousquetaire-écrivain Cyrano de Bergerac qui y passa une partie de sa jeunesse.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Forget

  • Château les Bruyères

    Château les Bruyères

    Château les Bruyères


    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style
    Début construction xiiie siècle
    Fin construction xixe siècle
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France
    Région historique Basse-Normandie
    Commune Cambremer


    Le Château les Bruyères se situe à Cambremer dans le Pays d'Auge, sur le parcours de la célèbre route du cidre ; au cœur de la Normandie des prairies et des haras.

     

    Historique [modifier]

    C’est grâce à la présence d’une sablière sur laquelle est gravée « cette maison est faite par François Fosse en l’an 1284 » que l’on peut dater la plus ancienne habitation sise sur le site du Château les Bruyères.

    Il s’agit d’un manoir à la toiture de tuiles plates et à la façade essentée d’ardoises au sud et à colombages au nord ; manoir qui fût remanié à plusieurs reprises au cours des siècles. La dernière intervention datant probablement du milieu de xviiie siècle ; l’escaliertypique permettant de dater cette époque.

    Le site présentait à cette époque l’architecture et la composition typique des manoirs normands, avec ses bâtiments disposés autour d’un espace central nommé l’enclos manorial. On garde encore de cette époque, outre le manoir, le romantique puits avec son mécanisme et sa toiture en tuile plate identique au manoir, ainsi qu’un magnifique pressoir à colombages de dimensions imposantes, où l’on peut encore voir les vestiges de la tour à piler, où les pommes tombant directement du grenier dans l’auge circulaire étaient broyées par la meule tirée par un cheval.

    Il faut attendre le cadastre de 1811 pour voir apparaître quatre maisons à l’emplacement actuel des habitations et bâtiments entourant le château. Puis le château est mentionné sur le cadastre de 1817. Il semblerait donc qu’il fut édifié vers 1815, 1816. D’une architecture typique de la fin de l’époque napoléonienne, il présentait un élégant appareil de briques et de parement de pierre et d’enduit à la chaux qui encadrait baies et portes.

    Cette propriété appartenait au début du xxe siècle à la famille Petit.

    C’est à cette époque que l’on mentionne les séjours de Marcel Proust au Château. De 1904 à 1914, Marcel Proust vint en cure à Cabourg, généralement durant l’été de août à septembre. Séjournant le plus souvent au Grand Hôtel de Cabourg, il aimait aussi se retirer dans les terres pour bénéficier de l’air de la campagne plus propice à son sommeil. C’est ainsi qu’il séjourna au château les Bruyères ; on trouve plusieurs mentions de Cambremer, et du site dans son roman À l'ombre des jeunes filles en fleurs.


    Madame et Monsieur Chady-Bollack, parfumeurs parisiens acquirent l’ensemble vers 1925. Ils créèrent l’imposante allée bordée de hêtres et de châtaigniers qui mène aux marches d’honneur du château.

    C’est à cette époque que le couple Émile Langlois & Marcelle Mansuis y séjourna. Lui célèbre publiciste parisien de l’entre-deux-guerres ; elle, secrétaire de Georges Clemenceau de 1920 à 1929, année de la mort du « Tigre ». Elle recueillit nombre de souvenirs et de confidences de l’homme d’État, et laissa après sa mort un manuscrit inédit qui donna un éclairage particulier sur la dernière partie de la vie du « Tigre ».

    Vendu en 1992, date à laquelle le château fut transformé pour accueillir des hôtes, le château nécessita de très importants travaux de rénovation dans le strict respect de l’architecture existante. Seuls les parements d’enduit à la chaux disparurent pour laisser apparaître l’appareillage de briques de la façade, la toiture fut refaite à l’identique, ainsi que les façades du manoir.

    En 2004, le parc revu, a été complété par un verger domestique, un jardin potager, un jardin des plantes condimentaires et aromatiques, ainsi qu’une nouvelle pommeraie destinée à produire le cidre du château. Le porche d’honneur a été reconstruit, et une nouvelle grille a été installée pour compléter l’alignement de l’allée majestueuse qui mène devant le château.

    Le petit haras qui occupe les bâtiments situés derrière le château, complète l’ensemble. Les chevaux « selle français » sont destinés à la compétition de saut d’obstacle. Le plus digne représentant du haras concours sous la selle d’un cavalier de haut niveau, et participe à de nombreux concours internationaux en Europe.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_les_Bruyères

  • Château de la Boulaye

    Château de la Boulaye

     

     

     

    Château de la Boulaye
    Château de la Boulaye18260 SUBLIGNY
    Tél : 02 48 73 81 92

    Contact

     


    Thèmes :
    Site et monument historique
    Services :
    Château ayant un style architectural homogène et original et une tour d'escalier du XV ème siècle comprenant une chambre de guet

     

     

    Sources : http://www.gralon.net/tourisme/a-visiter/info-chateau-de-la-boulaye-subligny-1843.htm

  • Chateau des Rochers - Vitré

    Chateau des Rochers - Vitré - Bretagne

    Publié le 08 mars 2009 par Alain35

    Le château des Rochers-Sévigné, ancienne résidence bretonne de Madame de Sévigné, est un manoir gothique du XVème siècle situé à proximité de Vitré en Ille et Vilaine.
    Le petit château a été édifié sur une colline rocheuse – d'où il tire son nom – par les ancêtres d'Henri de Sévigné, aristocrate breton, qui épousa en 1644 Marie de Rabutin-Chantal. La demeure est bâtie selon un plan en L et possède deux tours. On y trouve également une chapelle octogonale, construite par la Mme de Sévigné en 1671 pour son cousin l'abbé de Coulanges, nommé le Bien-Bon, des écuries et des communs ajoutés au XVIIIème siècle.
    Le jardin à la française a été créé en 1689 et restauré en 1982. L'ensemble est bordé d'un parc boisé dont les allées ont toutes été baptisées par Mme de Sévigné, qui séjourna à plusieurs reprises au château des Rochers après la mort de son mari. C'est dans cette demeure qu'elle écrivit nombre de ses fameuses lettres adressées à sa fille, Françoise de Sévigné, comtesse de Grignan.
    Source: WIKIPEDIA

    Aujourd'hui , nous regarderons la partie avant de ce chateau; beaucoup de monde ce 15 février 2009, car il y avait une vente de plants de fleurs.

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    La Chapelle du chateau

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    Source : http://www.paperblog.fr/1678666/chateau-des-rochers-vitre-bretagne-12/

  • Château des Roches (Trooz) (Belgique)

    Château des Roches (Trooz)

    Trooz, le château des Rôches.

    Château du xixe siècle construit en brique rouge basé sur la commune de Trooz en Belgique. Il se trouve face à La Fenderie et est également logé un peu en surplomb le long de la Vesdre.

    Son nom provient sans aucun doute du fait qu'il soit construit sur de gros rochers que l'on peut apercevoir le long des fondations de l'édifice, et qu'il existe un site nommé 'Les Roches' en face de la gare non loin du château.

    Lien externe [modifier]

    Localisation sur wikimapia

     

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_des_Roches_(Trooz)

  • La tour sans venin

    La tour sans venin

    Vue de la tour

    La tour sans venin est un vestige d'un donjon du xiiie siècle juché sur une colline à 666 m d'altitude sur les contreforts du massif du Vercors, dominant de 450 m la ville de Grenoble.

    Qualifiée comme faisant partie des Sept Merveilles du Dauphiné, la Tour sans venin se situe sur les hauteurs de la commune deSeyssinet-Pariset.

    Le peu de témoignages relatifs à ce lieu millénaire n'autorise que des hypothèses quant à l'histoire de cette tour, dont seul est clairement visible un angle de ce que beaucoup de médiévistes attribuent au donjon.

    Avec un peu d'attention et d'imagination, il est possible de voir les trace des courtines, d'une tour ronde et de l'emplacement d'une citerne.

    Bien que la tour n'ait pas d'archive importante, ses seigneurs ont été cités dans de nombreux textes dont un procès « territorial » avec celui de Sassenage, puis un acte de « propriété du Dauphin ».

    À ses pieds, on découvre un panorama impressionnant sur les 3 vallées de l'Isère et du Drac ainsi que le massif de la Chartreuse et lachaîne de Belledonne. Ce point culminant permet même d'apercevoir le Mont Blanc par temps clair. Le site accueille l'un des deux émetteurs de télévision de la région grenobloise.

     

    Légendes [modifier]

    La tour et le Moucherotte

    De nombreuses légendes tentent d'expliquer le nom de cette tour, bien qu'aucune ne soit vérifiable :

    • aucun serpent ne pouvait s'approcher près du château ou y vivre.
    • la terre de cet endroit guérissait des morsures de serpent.
    • le seigneur de Pariset, revenant de croisade, rapporta un sac de terre ramassé auprès du Saint-Sépulcre. Le répandant autour du château, il débarrassa l'endroit des reptiles venimeux qui l'infestaient.
    • Roland, le neveu de Charlemagne y aurait répandu un sac de terre de Paris, répulsif pour bêtes rampantes.
    • un temple fut élevé à la déesse Isis (déesse qui protégeait dit-on des serpents).
    • présence de la vipérine, plante qui poussait sur ce rocher.
    • « Sans Venin » marque la volonté de paix de la ville.
    • l'ancien nom serait « Tour Saint-Véran » ou « Tour Saint Vérin ». Avec le temps, ce nom se serait transformé en « Tour Sans Venin ».

    Liens externes [modifier]

     

     

    Source :