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  • Château d' Arundel (Angleterre)

    Château d' Arundel (West Sussex)

    HISTORIQUE

    1067 Guillaume le conquérant ordonne au comte Roder de Montgomery de construire un château a cet endroit. Sa destination première (défense contre une invasion par la mer) ne fut jamais testée. La motte date de cette époque.
    1102 Le propriétaire rebelle d'Arundel, Robert de Belesme, doit se rendre a Henry I. Le château subit un nouveau siège quand William d'Albini abrite la fille d'Henry, Matilda, qui disputait au roi Steven le droit à la couronne. Toutefois, Steven lève le siège, ce qui permet à Matilda de s'enfuir.
    1580 Arundel passe par mariage de la famille des Fitzalans à celle d'Howard (Les duc de Norfolk) qui, étant la famille la plus catholique du pays, ont à souffrir de nombreuses persécutions.
    1644 Le parlement capture le château mais ne l'entretient pas. Il tombe alors en ruines.
    1780 Restauré par le 11ème Duc.
    XIXe Reconstruit dans un style gothique par le 15ème Duc.
    XXe L'actuel occupant est un descendant direct de William d'Albini.

     

    Source : http://jeanmichel.rouand.free.fr/chateaux/england/arundel.htm

  • Château d' Herstmonceux (Angleterre)

    Château d' Herstmonceux (East Sussex)

    HISTORIQUE

    XVe Construit au 15e siècle pour Sir Roger de Fiennes, le château est un des premiers à être bâtit avec des briques.
    XXe Il appartient maintenant l'Université du Canada.

     

    Source : http://jeanmichel.rouand.free.fr/chateaux/england/herstmonceux.htm

  • Château de Pevensey (Angleterre)

    Château de Pevensey (East Sussex)

    HISTORIQUE

    1066

    Guillaume le conquérant débarque dans la baie de Pesensey. Le château de Pesensey est déjà une des plus puissantes places fortes du sud de l'Angleterre. Ses imposant murs romains servent d'abri aux envahisseurs qui y édifieront ensuite une grande tour Normande.

     

    Source : http://jeanmichel.rouand.free.fr/chateaux/england/pevensey.htm

  • Château de la Garde Guérin

    La Garde Guérin

     

    Le village fortifié de La Garde Guérin représente un exemple particulièrement bien conservé de l'architecture du Moyen Âge. Du château, il ne reste pratiquement qu'une tour qui domine une vallée profonde et qui devait servir de tour de guet. Mais c'est l'ensemble des maisons et des ruelles de cette cité médiévale qui mérite le détour.

    Source : http://jean.dif.free.fr/Chatover/Guerin.html

  • Château de la Bastie d'Urfé

    Château de la Bastie d'Urfé

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    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style Renaissance italienne
    Type Château
    Date de construction xve siècle
    Classement Monuments historiques classement par arrêté (25 octobre 1912).
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France France
    Commune {{{commune}}}
    MonumentMonuments par pays

    La Bastie d'Urfé (ou Bâtie d’Urfé) est un château du Forez (Saint-Étienne-le-MolardLoire), ouvert aux visiteurs. Il est le lieu de spectacles estivaux dans le cadres des Nuits de la Bâtie d'Urfé et de l'action nationale Nuit des musées. Il a été habité autrefois parHonoré d'Urfé, auteur de L'Astrée.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    Le bief traversant la Bastie d'Urfé
    Vue arrière de la Bastie d'Urfé

    Une grange monastique installée sur les bords du Lignon par les moines du prieuré de Champdieu est à l’origine du domaine de la Bâtie au xie siècle). Elle devient ensuite une maison forte avec son pont-levis et ses fossés. La famille d’Urfé, descendue de sa forteresse montagnarde des Cornes d’Urfé à Champoly, près de Saint-Just-en-Chevalet, s’installe à la Bâtie à partir du xiiie siècle).

    Érigé au xve siècle, le manoir familial de la Bastie, un édifice à l’origine de style médiéval a par la suite été transformé par Claude d'Urfé (1501-1558), ambassadeur de François Ier à Rome,pour le concile de Trente, puis gouverneur du Dauphin. Il s'inspira de ses séjours en Italie et des réalisations royales pour aménager dès 15351 sa demeure en un joyau de la Renaissance italienne et française (art nouveau du xvie siècle) et devenir le fleuron du Forez.

    Claude d'Urfé a voulu exprimer à travers l’architecture et les décors de la Bâtie, différentes idées : son amour pour sa femme, sa passion pour les arts ainsi que pour la connaissance et sa pensée philosophique. Il a passé commande à de grands artistes pour l’embellir2.

    Situé sur un écrin de verdure et à coté du Lignon, c'est là qu'Honoré d'Urfé, petit-fils de Claude, passa une partie de sa jeunesse dans ce château et écrivit L'Astrée, premier roman fleuve de la littérature française.

    On retrouve d'ailleurs des lieux réels des environs du château dans cet ouvrage: Honoré d'Urfé plaça la Bâtie et ses environs au centre de son roman. On peut retrouver depuis les fenêtres de cette demeure un cadre évoqué par l’écrivain : le bocage, les bords du Lignon, les Monts du Soir et du Forez. Dans le parc, la Fontaine de la Vérité d’Amour subsiste, semblable à celle qu’Adamas avait fait dresser par Céladon2.

    Du xxe siècle à nos jours [modifier]

    Sauvé de la ruine en 1909 par la Société Historique et Archéologique du Forez, la Diana, il est classé monument historique depuis 1912.

    D’importants travaux réalisés par le Conseil général de la Loire depuis 1990 ont permis d’améliorer considérablement l’image de la Bâtie ainsi que l’accueil des visiteurs. En sept ans (de 2001 à 2007), le Conseil général a engagé pour 1 140 000 euros de travaux pour redonner vie à ce site majeur de la Loire2.

    Présentation architecturale [modifier]

    Rampe d'accès gardée par un sphinx
    Les jardins et la rotonde de la Bastie d'Urfé

    La maison forte est le bâtiment le plus ancien de la Bastie d'Urfé (xive siècle). Au cours des années 1460-70, la maison forte est agrandie au sud et au nord par l'édification d'un donjon. Les douves sont alimentées par le bief de dérivation des eaux du Lignon.

    Le château offre un ensemble remarquable : la galerie aux douze colonnes, la rampe d'accès gardée par un sphinx, le corps de garde.

    A l'intérieur, différentes salles dont celle des rocailles, unique en France, dont les ornements mythologiques sont réalisés avec des petits galets, des coquillages, et des sables de couleur1, la chapelle unissant peintures et gypseries (boiseries et marqueteries, le pavement en faïence et le plafond) crées par des artistes italiens et des artisans venus du Forez2.

    Jardins [modifier]

    Les recherches menées à la Bastie de 1993 à 1998, ont permis de mieux connaitre l'aspect du jardin de Claude d'Urfé. Une réplique d'un plan de 1804 situé dans les jardins, dessine une allée plantée d’arbres qui conduisait au château.

    Ses magnifiques jardins du xvie siècle qui entoure le château, bordés par un canal en amont du Lignon, et aujourd'hui reconstitués comme aux origines, comprennent des parterres de buis divisé en seize compartiments géométriques et symétriques, une rotonde, une fontaine de marbre blanc fontaine de la vérité d’amour, un dédale, une pergola et un bassin.

    Une partie de la balustrade a été réalisée à l’identique. Également disparu, une partie du jardin composée d’un labyrinthe de coudriers.

    Musée [modifier]

    Ouvertures toutes saisons. Visites guidées en juin, août, septembre et octobre.

    Spectacles, Évènements [modifier]

    Festival des Nuits de la Bâtie d'Urfé [modifier]

    Cette magnifique demeure fait l'objet d'importantes restaurations par le Conseil général de la Loire qui en fait également un haut lieu d'animations culturelles du département : chaque été, le festival des Nuits de la Bâtie d'Urfé se déroule au sein même du château. Pluridisciplinaire, il œuvre dans différents domaines artistiques : théâtremusique classiquecomédie-ballet1, installations, cinéma, spectacles jeune public, visites guidées et expositions3.

    Article détaillé : Nuits de la Bâtie d'Urfé.

    La Nuit des musées [modifier]

    La Bastie d'Urfé ouvre également ses portes à la Nuit européenne des musées. Les visites se font avec des lampes torches pour permettre aux visiteurs de découvrir des détails du château. De la musique (intermèdes) accompagne les visites dans les jardins et le château4.

    Notes et références [modifier]

    Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres surChâteau de la Bastie d'Urfé.

    1. ↑ a b c (fr) « Château de la Bâtie d'Urfé » [archive] sur balado.fr
    2. ↑ a b c d (fr) Dossier de presse : présentation de l’édition 2008 [archive] sur les site officiel des Nuits de la Bâtie d’Urfé, 23 mai 2008
    3. (fr) « Dom Juan aux Nuits de la Bâtie d'Urfé » [archive] sur zoom42.fr
    4. (fr)« Château de la Bastie d'Urfé » [archive] sur nuitdesmusees.culture.fr

    Bibliographie [modifier]

    • « Le château de la Bastie d'Urfé, Saint-Étienne-le-Molard » in Caroline Holmes, Folies et fantaisies architecturales d'Europe (photographies de Nic Barlow, introduction de Tim Knox, traduit de l'anglais par Odile Menegaux), Citadelles & Mazenod, Paris, 2008, p. 18-21 (ISBN 978-2-85088-261-6)

    Liens externes [modifier]

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bastie_d'Urfé

  • Château de Montecler

    Château de Montecler


    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style
    Type château
    Destination initiale habitation
    Propriétaire actuel privé
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France France
    Région Normandie
    Département Mayenne
    Commune Châtres-la-Forêt
    Localisation
    ChâteauChâteau par pays


    Le château de Montecler Image:Symbole carte Renaissance.jpg est situé à Châtres-la-Forêt dans le département de la Mayenne.

    Sommaire

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    Histoire : de Launay à Montecler [modifier]

    Montecler résulte de l'ancienne seigneurie de Launay ou l'Aunay-Péan1. Elle relevait anciennement du fief du Tremblay à Saint-Christophe-du-Luat, et en arrière-fief d'Entrammes, qui reportait à Château-Gontier. Avec les fiefs et seigneuries de la Roussière et deMoncrintin, elle fut, par acte du 18 mars 1605, érigée en châtellenie de l'Aunay"à charge de relever du baron de Sainte-Suzanne2sous le devoir d'un épervier volant avec le gant pour le porter".

    En janvier 1616, pour reconnaître les services d'Urbain de Montecler, "même aux derniers mouvements", le roi Louis XIII érige la châtellenie en titre, dignité et prééminence de marquisat, sous le nom de Montecler. 3

    Le 21 février 1644, André de Montecler, qui venait d'acquérir la seigneurie du Tremblay, obtint du baron d'Entrammes de relever nûment du roi4en franc alleu noble, à raison de sa baronnie de Château-Gontier. De nouvelles acquisitions et de précieux privilèges agrandirent et décorèrent ensuite Montecler. Le titre de marquisat relevait directement de la couronne ; les fiefs de Moncrintin, la Paillerie, la Saugère5 , Saint-Léger, les Pins, Saint-Christophe, de Sainte-Suzanne"à charge de quinze jours de garde"le Tremblay,de Château-Gontier.

    Le château de Montecler [modifier]

    Si grand qu'il soit, le château de Montecler est resté inachevé. C'est un vaste corps de logis ("d'une monotonie désespérante", dit trop sévèrement Léon Palustre), mutilé d'ailleurs, et qui n'eut jamais son complément par l'élévation des combles élancés et des frontons, et surtout par la création d'un second pavillon dont on voit encore les pierres d'attente. Celui que François-Augustin Gérault attribue faussement au xve siècle, et qui au contraire offre le type achevé du genre de décoration que devait reproduire avec plus de richesse l'édifice principal, est vraiment beau, surtout avec son annexe si curieusement couronnée d'une toiture aux formes tourmentées, au sommet de laquelle s'ajoure une galerie aérienne. Léon Palustre veut bien reconnaître de l'originalité dans le pavillon du pont-levis toujours en place. Il était bien plus remarquable encore avant la chute d'un autre pavillon,d'une architecture élégante, qui l'accostait.

    À l'intérieur, on remarque surtout une grande salle de 14 m de long, et une chambre avec une belle cheminée en lambris peints et sculptés. Cette chambre dorée est en effet remarquable. Ne faut-il pas en attribuer la décoration à un peintre originaire de Château-GontierAimé Bouvier, qu'on voit installé au château en 1693?

    Dans la chapelle6 de Saint-Jean, fort modeste, fondée par André de Montecler vers 1631, Émery de la Ferté, évêque du Mans, administra la confirmation le 21 juillet 1641, et le marquis de Montecler fit transférer en 1752 le service de la chapelle de la Saugère.

    L'abbé Angot écrit sur le sujet que les écuries qui y attiennent sont voûtées et surmontées d'une grande pièce dite "salle des gardes", souvenir de l'époque où les Montecler exercèrent des commandements militaires. Les Montecler exerçaient de telles charges militaires sous l'Ancien Régime (on se souvient du prestigieux régiment des "Dragons Montecler" devenu le 13éme Dragons aujourd'hui).

    Le 26 juin 1791, la garde nationale d'Évron vient enlever du château quelques armes et un vieux canon, donné à Urbain de Montecler par le cardinal de Richelieu. La terre est mise sous séquestre pendant la Révolution, et les bois alentour sont le théâtre de nombreux combats. Le 4 avril 1793, les gardes nationaux d'Évron fouillent les bois "pour surprendre les gens suspects qui s'y réunissent depuis longtemps". Le 6 janvier 1795, les républicains y cernent une petite bande de chouans, qui malgré leur petit nombre repoussent la troupe. Le 5 avril1795, les chouans enlèvent les grains des greniers et les chargent sur des chevaux. Le général royaliste Claude-Augustin de Tercier (° 1752 - † 1823) vient aussi en janvier 1796 chasser les "pillards" qui dévastent les environs.

    Morin, à son tour, avec les réfractaires de 1812, occupe souvent les bois de Montecler. Enfin, le 27 mai 1832, c'est au château que se réunissent les insurgés royalistes, prêts à tenter un coup de main sur Évron, quand vient le contre-ordre.

    Seigneurs de Montecler [modifier]

    Avant les Montecler [modifier]

    • Hamelinus de Alneto, milesFromond de l'Aunay, avait en garde la terre de Philippe de l'Aunay, des paroisses de Châtres et de Saint-Christophe, cités dans l'enquête sur les officiers royaux en 1247, sont sans doute d'anciens seigneurs de l'Aunay-Péan7.

    La famille Cibel ou Sibel possède au xve siècle la Cochinière à Livetles Pinsl'Aunay-Péan (aujourd'hui Montecler), et Mirouaut ou Mirvault près de Château-Gontier. Cette famille noble est alliée aux Le Porc, aux Nepveu et aux  Quatrebarbes.

    On lui donne pour blasonnement : fascé d'or et d'azur de six pièces.

    • Colas Cibel tient les assises de la Saugère1370.
    • Guillaume Cibel, le lundi de la Saint-Michel 1371, reçoit de Julienne Delaunoy, paroissienne de Saint-Christophe, tous ses héritages en la châtellenie de Sainte-Suzanne"à charge seulement de la gouverner et li fère sa provision de boire, de mangier, de vestier, de chaucer, at autres choses nécessaires à son gouvernement". Il vivait en 1414.
    • Jean Cibel14431452.
    • Michel Cibel1457, mari de Catherine du Bailleul. L'aveu de Michel Cibel à René d'Alençon, (en 1477), vicomte de Beaumont, baron de Sainte-Suzanne, comprend la haute justice del'Aunay-Péan, les métairies et étangs de Ruaude, la Gautrais, l' Oisillère, les fiefs de Mondoucet tenus de Montcrintin, les titres de forestier de Viraille et de Saulgé, les fiefs d'Aubigné, tenus du seigneur de la Chapelle.
    • Jean Cibel, écuyer, curateur avec Ambroise de Loré des enfants d'Étienne du Bailleul et de Radegonde de Loré1510
    • Jean Nepveu,8seigneur de Maillé et la Perrière, épouse le 21 février 1529 Catherine Cibel, veuve de Jean Le Porc (° ? - x 1519 - † 21 août 1525) seigneur de Mirouaut1537
    • Jacques (ou Jacq) Nepveu, fils aîné du seigneur de Maillé et de Françoise de Mascon, épouse, également le 21 février 1529Françoise Le Porc, dame de Charné, fille de Catherine Cibel Vve Le Porc (nouvelle femme de Jean Nepveu).
    • Jacques Nepveu, seigneur de la Perrière, l'Aunay, Marolles, Méhubert, la Roussière, la Touche-Quatrebarbes15481569.

    Jacques eut deux fils qui moururent sans enfants : Claude et Antoine, et une fille, Renée, mariée à Louis de Montecler.

    • Antoine Nepveu, fils des précédents, épouse le 2 janvier 1565 Hilaire Gastineaufille de René Gastineau, chevalier, seigneur de la Tour de Germigny et de la Motte-Saint-Bonnet, et de Françoise de Villequier. Baron de Charné, de la Perrière, de Maillé, chevalier de l'ordre du roi, il était au camp devant La Rochelle le 28 mars 1573.
    • Renée Nepveudemoiselle de Marolles, se marie le 12 juillet 1568 avec Louis de Montecler.

    La famille de Montecler [modifier]

    Armes des Montecler : De gueules au lion d'or couronné et lampassé de même.
    • Louis de Montecler, marié le 12 juillet 1568 avec Renée Nepveudemoiselle de Marolles, († mai 1581) .9
    • Urbain de Montecler, (1577-1641) premier marquis de Montecler, épouse le 18 avril 1598, du consentement de son parrain Urbain de Montmorency-Laval Boisdauphin Marie de Froulay, dame de Raveton, † 8 mai 1641. En 1618, pour obtenir une autorisation d'y faire dire la messe, Urbain de Montecler expose "qu'il a fait construire une chapelle toute de murailles, couverte d'ardoize, vitrée, pavée, fermante à clef, dans laquelle est un bel autel, un crucifix, plusieurs beaux et grands tableaux d'istoires".
    • André de Montecler, (1600-1657) leur fils, époux de Marie de La Flèche de Grisy, † 2 avril 1657. La chapelle est dotée de deux cloches de cette époque (1634 et 1643).
    • François de Montecler, (1641-1699) fils aîné, épouse en cour de Rouen, le 12 octobre 1658Marie Langlois de Motteville. Il fut vicomte de Raveton, seigneur du Mesnil-Mauger, la Saugère, le Tremblay, Saint-Christophe, etc... ; il était au service du roi de Flandre en 1667.
    • André-Marie de Montecler, le second fils, fit ses vœux de chevalier de Malte dans l'église abbatiale d'Évron le 11 juin 1698.
    • Joseph-Georges-François de Montecler, (1662-1721) fils aîné et quatrième marquis de Montecler, avait épousé le 8 août 1693 Anne de la Matraye, fille d'Ambroise de la Matraye et d'Anne Gaudin.
    • Joseph-François de Montecler, cinquième marquis de Montecler, (1694-1766) épousa en 1716 Hyacinthe Menon de Turbilly, dame de La Rongère, dont le marquis de Sourches vantait la beauté. En 1710 il dota la chapelle du château d'un ordinaire de messes, "pour l'acquit d'un vœu qu'il avait fait ci-devant". A cette date et jusqu'à la fin du xviie siècleLa Rongère de Saint-Sulpice devint la résidence habituelle des marquis de Montecler.
    Article détaillé : Château de la Rongère.
    • Hyacinthe-François-Georges de Montecler, comte, épouse à Paris le 5 septembre 1740 Marie-Charlotte de Montullé, fille deJean-Baptiste de Montullé. Né le 8 mai 1719 et mort le 5 octobre 1764 à la Rongère, il laisse pour fille unique :
    • Hyacinthe-Jeanne de Montecler, se marie le 26 juillet 1768 en la chapelle du château de Saint-Assise avec René-Georges-Marie de Montecler, (1738-1810) cousin germain de son père qui reprit en 1766 le titre de marquis de Montecler. Celui-ci, après avoir été en octobre-novembre 1787 l'un des membres influents de l'assemblée provinciale de Touraine, émigre en 1791. La marquise, suivit d'abord son mari puis tenta de sauver une partie de la fortune de sa famille. Après avoir mis en vente sa maison de Parisrue du Cherche-Midi, dans laquelle sa mère, la comtesse de Montecler, était décédée le 1er mars 1781 et qu'elle avait pu retrouver après avoir été emprisonnée sous la Terreur "sous la garde de deux vrais sans-culottes relevés tous lesdécadis", elle s'éteignit rue Garancière le 17 avril 1805.
    • Eugénie-Henriette de Montecler, la cinquième fille des marquis de Montecler, née à Paris le 1er avril 1782, épousa à Saint-Sulpice, près de Houssay, le 2 octobre 1802Gaspard-Marie de Montecler - cousin germain de son père - et eut en partage la terre de Montecler.
    • Henri-Jean de Montecler, né en 1813, leur fils et septième marquis de Montecler, marié le 27 juin 1837 à Adèle-Charlotte-Louise du Boisjourdan, est mort en mai 1883, laissant à ses petits-enfants une terre qui, depuis près de six siècles, s'est transmise héréditairement.

    Illustrations :

    • 1 ou 2 gentilshommes de la Chambre du roi entre le XVIe et le XVIIe siècles
    • Des officiers généraux
    • Marquis de Montecler depuis 1616

    Blasonnement [modifier]

    Armes des Montecler : De gueules au lion d'or couronné et lampassé de même.

    Devise : Magnus inter pares.

    À voir dans les environs [modifier]

    • Le château de Montecler, privé, ne se visite pas.

    Notes et références [modifier]

    1. Alnetum Leporis1443 (Archives de la Sarthe, H 1371); Launay-Payen1537Launay-Payan1538 (Tit. de la fabrique de Châtres); Launay sur Chastre1573 (Archives de Maine-et-Loire, E 4251); La châtellenie de Launay1605 (Bibl. nat. P.O., Montecler).
    2. Il s'agit à l'époque de Guillaume Fouquet de la Varenne.
    3. Marquisat de Montecler1616 (Bibl. nat. P.O., Montecler); Le château de Monteclair1672 (Ins. eccl.); Monteclair, chât., chapelle fondée; Futelaie de Monteclair, bois continuant ceux deLa Chapelle-Rainsouin (Jaillot); Château de Montecler, avec avenue d'une lieue passant devant le château, bois traversé d'allées nombreuses (Cassini). Montéclair (Dic. topogr.).
    4. En février 1644, le roi Louis XIV n'a que 5 ans; sa mère, Anne d'Autriche, est régente et a choisi le Cardinal Mazarin comme premier ministre.
    5. Par transaction de 1612 avec le chambrier d'Évron, par sentence du parlement (1615) qui privait de son droit de patronage sur Châtres Pierre du Bois, seigneur de la Saugère, calviniste, et enfin par acquisition de la terre de la Saugère le 23 juin 1652, les seigneurs de Montecler étaient devenus fondateurs de l'église. Ils le furent aussi à d'autres titres de Saint-Christophe, de Livet, de Saint-Léger.
    6. Parmi les chapelains : Pierre Vauquelin, du diocèse de Sées1695,(† 1707); Jean Rebours, du diocèse de Lisieux1707Pierre Gaudin1709Ambroise de la Matraie17181725; un autre Ambroise de la Matraie, curé de Vaiges, † 1752.
    7. Historiens de France, t. XXIV)
    8. Nepveu ou Neveu. Cette famille noble arriva d'Anjou où elle possédait la terre de Maillé en Querré et la Ricoulière en Ménil. Cette riche famille fut alliée aux Montecler, aux Mégaudais, aux Cibel, aux Vassé, aux Le Porc, et eut comme principaux domaines Charné, Marolles, l'Aunay-Péan, etc...
    9. Renée Nepveu, dernière héritière de ce nom était mariée depuis 1568 et avait un fils et trois filles.

    Sources et bibliographie [modifier]

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Montecler