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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 158

  • Château de Vaucresson

    Château de Vaucresson

    Château Vaucresson
    Datation
    XIXe siècle

    De la première demeure seigneuriale appartenant à Nicolas Dugué on sait peu de chose, si ce n'est qu'elle était composée d'un corps de logis principal et de dépendances ceints dans un parc de trente-sept hectares. L'emplacement précis de ce premier château reste également bien mystérieux même si l'on suppose qu'il se situait non loin de l'église. Le domaine est agrandi au cours des siècles par les différents seigneurs de Vaucresson. Le dernier d'entre eux, Jean Baptiste Trutié, intègre dans sa propriété, en 1786, le canton de Champs-sur-Seine, autrement appelé Haras Lupin. Le château actuel n'est pas celui habité par les seigneurs de Vaucresson, qui a été détruit au début du XIXe siècle. Édifié en 1855 par le châtelain Acloque, le bâtiment est agrémenté d'une décoration de style Louis XIII quelque vingt années plus tard. Le château moderne, avec ses dépendances et son parc, s'étend alors sur vingt-huit hectares. En 1950, les terres de la propriété sont vendues. Le ministère de la Justice se rend acquéreur du château, le reste est cédé aux constructeurs de la résidence de Vaucresson.

     

     

    Source :

  • Castel Aubert

    Castel Aubert

    Castel Aubert Vaucresson
    Matériaux
    Brique
    meulière
    Créateur
    Architecte : Henri Parent
    Datation
    1880

    La demeure que l'architecte Henri Parent (1819-1895) se construit pour lui-même vers 1880 revêt une grande originalité dans la diversité des références architecturales. Certains éléments sont empruntés au style Renaissance, notamment la tourelle centrale, tandis que d'autres parties du bâtiment évoquent plus volontiers les formes gothiques. Le contraste des matériaux participe à la décoration et à la dynamique de l'édifice que son concepteur baptisa Castel Aubert en souvenir de son père, l'architecte Aubert Parent.

    Source : http://fr.topic-topos.com/castel-aubert-vaucresson

  • Château de Joux

    Château de Joux

    Vue lointaine du chateau et de la cluse
    Protection naturelle
    Fort de Joux
    Description
    Type d'ouvrage Fort (mais pas uniquement)
    Dates de construction
    Ceinture fortifiée
    Utilisation
    Utilisation actuelle
    Propriété actuelle
    Garnison
    Armement de rempart
    Armement de flanquement
    Organe cuirassé
    Modernisation béton spécial
    Programme 1900
    Dates de restructuration
    Tourelles
    Casemate de Bourges
    Observatoire
    Garnison
    Programme complémentaire 1908

    Le Château de Joux est situé dans le Doubs, il surplombe la cluse de Pontarlier ouvrant passage vers la Suisse dans le massif du Jura. Il fait partie de la commune de La Cluse-et-MijouxDoubs.

    Mentionné au xie siècle (1034), il est reconstruit en pierre au xiie siècle par la famille des sires de Joux.

    En 1690Vauban l'agrandit et en améliore les défenses.

    Il servit durant l'Ancien Régime et la Révolution de prison d'État. Il est célèbre pour avoir enfermé en ses murs MirabeauToussaint LouvertureHeinrich von Kleist ...

    Assiègé avec succès par les Autrichiens en 1814, il sera renforcé par la construction des forts du Larmont (inférieur et supérieur) durant le xixe siècle.

    Il couvrira la retraite de l'armée de Bourbaki vers la Suisse en janvier 1871. Cette armée dite "de l'Est" avait tenté de secourir la garnison de Belfort.

    En 1879, le capitaine Joffre, alors officier du Génie, le modernise et le transforme en véritable fort Séré de Rivières, avec des casemates de tir pouvant accueillir des canons de 155 mm, jugés comme les plus gros canons d'artillerie de l'époque.

    A ce sujet, ses deux casemates, appelés "casemates Mougin", sont complètement recouvertes non seulement sous plusieurs mètres de terre, mais aussi de plaques en fonte (4 plaques de 20 tonnes chacune). Un système de verrou à contre-poids permettait l'ouverture pour permettre le tir et d'énormes bouches d'aération permettaient aux gaz et poussières générés par le tir de s'évacuer rapidement. Récemment remise en état de marche, Joux possède la seule casemate Mougin encore en état de fonctionnement.

    A voir également un musée d'armes exceptionnel situé à l'étage du donjon médiéval. Les armes présentées vont du début XVIIIe au début XXe, avec près de 600 pièces (casques, baïonnnettes, sabres, cuirasses) dont certaines pièces très rares comme un fusil de 1717. À voir aussi un puits de 120 mètres de profondeur, un des plus volumineux d'Europe.

    La légende de Berthe de Joux [modifier]

    Berthe de Joux était la très jeune épouse du Seigneur Amaury de Joux à la fin du xiie siècle. Le sire dut participer à la croisade de Barberousse et quitta donc son domaine. Berthe, restée seule, attendit en vain le retour de son amour. Après 4 ans d'absence se présenta à la herse du château un autre sire, Amé de Montfaucon, qui avait participé à la même croisade que le sire de Joux. Blessé, il fut recueilli par Berthe. Le sire annonça alors à la châtelaine la mort de son époux en Terre Sainte. D'abord triste, elle succomba vite au charme du nouveau venu. Les deux amants n'eurent cependant pas le temps de profiter de cet amour naissant, car à peine une semaine après l'arrivée de Montfaucon, Amaury de Joux revint chez lui bien vivant. Fou de rage de découvrir sa femme avec un amant, il la fit enfermer dans un cachot d'1m3 creusé dans le mur d'une tour du donjon, aujourd'hui la Tour Grammont. Quant à l'amant menteur, il fut pendu dans la forêt à l'ouest du château. Pour punition, Berthe devait sortir 2 fois par jour de son cachot pour contempler le corps de son amant par une petite fenêtre. Après 12 années de captivité, le sire de Joux mourut et Berthe fut libérée. Elle se retira en l'abbaye voisine de Montbenoît jusqu'à la fin de ses jours.

    Liens externes [modifier]

    Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Fort de Joux.

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_joux

  • Petit château “ le Couvent ”

    Petit château “ le Couvent ”

    Petit château “ le Couvent ” Chaussy
    Datation
    XVIe siècle - XIXe siècle

    Ce château s'élève à l'emplacement de l'ancien couvent des bénédictines de Sainte-Madeleine, fondé en 1160 par le roi Louis VII et ruiné par les Anglais en 1432. Rebâti entièrement par le seigneur de Villarceaux en 1524, il retrouve sa fonction première jusqu'à la fin de l'Ancien Régime. Il est alors acquis par le conventionnel Joseph Lakanal, qui y réside entre 1797 et 1815. Le nouveau propriétaire fait détruire une partie des bâtiments conventuels, conservant toutefois le principal corps de logis, flanqué de deux tourelles. Celui-ci est désormais géré par l'Association sportive du golf de Villarceaux, tandis que le domaine est géré pour partie par la région Île-de-France, qui doit le transformer en centre international de l'art des jardins.

    Source : http://fr.topic-topos.com/petit-chateau-le-couvent-chaussy

  • Tour Barberousse

    Tour Barberousse

    Tour Barberousse
    La tour vue depuis la garrigue

    La tour Barberousse se situe dans le village côtier de Gruissan dans le département de l'Aude, en France.

    Elle surplombe les ruines d'un château-fort qui fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 14 avril 19481.

    Aperçu historique [modifier]

    La tour est tout ce qui reste d'un château bâti à la fin du xe siècle pour observer les alentours du port de Narbonne et protéger la cité contre les invasions maritimes. Construit sur une colline rocheuse et abrupte, le château a été agrandi au xiie siècle par l'archevêque de Narbonne, Guillaume de Broa.

    Au xvie siècle, Richelieu ordonna la destruction de l'édifice qui fut, ensuite, laissé à l'abandon.

    Aujourd'hui, le village de Gruissan, construit en circulade, entoure les ruines du château. Le site de la tour offre un panorama assez spectaculaire, d'où l'on peut admirer tout le village ainsi que la côte, l'étang, les marais salants et le port de Gruissan.

    La tour et les ruines du château sont classées comme monuments historiques par le ministère de la Culture française.

    Notes et références [modifier]

    Liens externes [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_Barberousse

     

     

  • Château de Grosbois

    Château de Grosbois

    Château de Grosbois.jpg

    Le château de Grosbois est situé dans le Val-de-Marne sur la commune de Boissy-Saint-Léger.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    En 1190Philippe Auguste fit don à l'abbaye de Saint-Victor de Paris de terres situées à Grosbois en échange de terrains situés dans le bois de Vincennes. Ces terres furent cédées en1563 par l'abbaye à Raoul Moreau, trésorier de l'Épargne, dont le gendre, Nicolas Harlay de Sancy, surintendant des Finances et des Bâtiments du roi, y fit bâtir un château, au début duxviie siècle.

    En 1616, le château, encore inachevé, fut vendu à Charles de Valois (1573-1650), comte d'Auvergne puis duc d'Angoulême (1619), fils naturel de Charles IX et de Marie Touchet. Celui-ci fait terminer le château, qui est achevé vers 1640. Il fait notamment édifier le mur d'enceinte (1623) et les deux ailes. À sa mort, en 1650, le domaine passe à sa petite-fille, la duchesse de Joyeuse.

    En 1718, le domaine est acheté par Samuel-Jacques Bernard (1686-1753), fils du financier Samuel Bernard. Celui-ci fait notamment réaliser les boiseries du salon Régence. Le château appartient ensuite au ministre Germain Louis Chauvelin (de 1731 à 1762), à François Marie Peyrenc de Moras (de 1762 à 1771). Ce dernier le lègue à sa petite-nièce, Anne Marie de Merle de Beauchamps, fille d'un ambassadeur près du roi du Portugal et épouse de Pierre Paul Gilbert des Voisins, président au parlement de Paris. Ceux-ci le vendent en 1776 au comte de Provence.

    Déclaré bien national, le château est acquis le 9 novembre 1797 par Barras, le « roi du Directoire ». Après le 18 brumaire, Barras doit s'exiler en Belgique et vendre le château, en 1801, augénéral Moreau. En 1804, après l'arrestation de ce dernier, Napoléon Ier lui rachète le château par l'intermédiaire de Fouché, pour le céder en 1805 au maréchal Berthier, prince de Wagram.

    Berthier dépense beaucoup d'argent pour embellir le château. Il fait aménager la bibliothèque, la galerie des Batailles, le salon de l'Empereur, le salon des Huissiers, et fait construire les deux pavillons et la grille d'entrée sur la route. Il agrandit le domaine pour en faire la plus belle chasse de l’Empire. Il y donne des fêtes grandioses.

    Son fils Napoléon Berthier aménage la bibliothèque qui regroupe plus de 3 000 ouvrages. Le dernier prince de Wagram disparaît en 1918, léguant Grosbois à sa sœur, la princesse de la Tour d’Auvergne, et à son neveu, le prince Godefroy de la Tour d’Auvergne.

    En 1962, René Ballière, président de la Société d’encouragement à l’élevage du cheval français, acquiert le domaine pour y installer un centre d'entraînement pour chevaux de course.

    Architecture [modifier]

    Construit par un architecte inconnu, le château de Grosbois est manifestement influencé par les créations de Jacques Androuet du Cerceau. De plan en U, il comporte dans sa partie centrale un corps principal incurvé en exèdre, cantonné de pavillons de même hauteur et flanqué de deux ailes en retour d'équerre plus basses.

    Le château est édifié sur une plate-forme rectangulaire entourée de fossés autrefois en eau et aujourd'hui secs. On y accède par trois passerelles.

    Voir aussi [modifier]

    Lien interne [modifier]

    Liens externes [modifier]

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Grosbois