Cartes des châteaux se trouvant sur chateaux.hautetfort.com
Afficher Châteaux sur une carte plus grande
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Afficher Châteaux sur une carte plus grande
Ce domaine est mentionné pour la première fois au xve siècle. Il appartient à la famille Le Vicomte, alliée à la famille de Vendôme, seigneur de Villepreux et à celle des Garencières. François Grassot, secrétaire général des Galères du Roy, Pierre de Clérambault, commandant de la forteresse d'Ingolstadt et Denis Quirot, architecte de Louis XV y ont notamment séjourné. Louis Phélypeaux, duc de la Vrillière cède ce domaine au roi en 1770. Ternay devient propriété privée pendant la Révolution. La partie la plus ancienne de cette propriété est doublée d'une partie construite au début du XIXe siècle de style Directoire. Entouré d'un parc de plusieurs hectares, ce domaine appartient à Sacha Guitry de 1937 jusqu'à sa mort en 1957.
Source : http://fr.topic-topos.com/domaine-de-ternay-fontenay-le-fleury
Attesté dès le début du XIVe siècle, cet édifice est l'hôtel seigneurial du Haut Fontenay. Acquis par l'amiral de Graville à la fin du XVe siècle, il est donné au collège de Montaigu qui le garde jusqu'en 1705. Il est ensuite vendu à Olympe de Brouilly de Piennes. Il s'agit de la seule propriété restée privée dans le Grand Parc de Versailles, le reste ayant été acheté par le roi. La demeure, reconstruite vers 1600, est caractéristique de l'architecture de cette époque. Elle conserve une cave des XIe et XIIe siècles, et un puits qui remonte au moins au XIVe siècle. D'un diamètre de 1,20 mètre, il est alimenté par la nappe souterraine qui traverse la propriété.
Source : http://fr.topic-topos.com/manoir-de-la-chapelle-saint-jean-fontenay-le-fleury
De la première demeure seigneuriale appartenant à Nicolas Dugué on sait peu de chose, si ce n'est qu'elle était composée d'un corps de logis principal et de dépendances ceints dans un parc de trente-sept hectares. L'emplacement précis de ce premier château reste également bien mystérieux même si l'on suppose qu'il se situait non loin de l'église. Le domaine est agrandi au cours des siècles par les différents seigneurs de Vaucresson. Le dernier d'entre eux, Jean Baptiste Trutié, intègre dans sa propriété, en 1786, le canton de Champs-sur-Seine, autrement appelé Haras Lupin. Le château actuel n'est pas celui habité par les seigneurs de Vaucresson, qui a été détruit au début du XIXe siècle. Édifié en 1855 par le châtelain Acloque, le bâtiment est agrémenté d'une décoration de style Louis XIII quelque vingt années plus tard. Le château moderne, avec ses dépendances et son parc, s'étend alors sur vingt-huit hectares. En 1950, les terres de la propriété sont vendues. Le ministère de la Justice se rend acquéreur du château, le reste est cédé aux constructeurs de la résidence de Vaucresson.
Source :
La demeure que l'architecte Henri Parent (1819-1895) se construit pour lui-même vers 1880 revêt une grande originalité dans la diversité des références architecturales. Certains éléments sont empruntés au style Renaissance, notamment la tourelle centrale, tandis que d'autres parties du bâtiment évoquent plus volontiers les formes gothiques. Le contraste des matériaux participe à la décoration et à la dynamique de l'édifice que son concepteur baptisa Castel Aubert en souvenir de son père, l'architecte Aubert Parent.
La Bastille, ou plus exactement la Bastille Saint-Antoine, était une forteresse élevée sur l’actuelle place de la Bastille à Paris.
Ce site est desservi par la station de métro : Bastille.
Destinée à défendre la porte Saint-Antoine et les remparts de l’est de Paris devenus plus vulnérables, la Bastille ou Bastille Saint-Antoine était initialement un véritable château-fort et un arsenal. Elle fut bâtie sous le règne de Charles V, de 1370 à 1383, par Hugues Aubriot, sur le modèle à quatre tours courant à l’époque. Les autres tours lui furent ajoutées ultérieurement. Elle faisait 66 mètres de long pour 34 mètres de large et 24 mètres de hauteur au niveau des tours, et était entourée d’un fossé de 25 mètres de largeur par 8 mètres de profondeur alimenté par les eaux de la Seine. Les huit tours se nommaient tours du Coin, de la Chapelle, du Trésor, de la Comté, de laBertaudière, de la Basinière, du Puits et de la Liberté. L’entrée se faisait par la rue Saint-Antoine et donnait sur la Cour de l’Avancée qui abritait des boutiques et une caserne. À la même époque est édifié le donjon de Vincennes.
Très vite, son utilité militaire s’avérant médiocre – « assiégée, elle s’est toujours rendue1 » – une nouvelle enceinte fut construite. La forteresse fut alors utilisée comme coffre-fort et lieu de réception par François Ier.
Durant la Journée des Barricades (huitième guerre de religion), la Bastille se rendit le 13 mai 15882.
Sully, nommé gouverneur en 1602, y abrita le trésor royal dans la tour du même nom, qu’on désigna alors sous le terme de « buffet du roi3 ».
La Bastille est à nouveau prise durant la Fronde en 1649 et un Frondeur en est nommé gouverneur : Pierre Broussel.
La Bastille fut utilisée occasionnellement comme cachot dès le règne de Louis XI, mais c’est le cardinal de Richelieu qui la transforma enprison d’État à laquelle restent attachées les lettres de cachet, lettres signées du roi (ou le plus souvent de ses ministres) ordonnant un emprisonnement sans jugement. C’était une prison plutôt confortable pour les personnes de qualité (nobles, grands bourgeois) qui disposaient de grandes pièces avec repas fins et d’un domestique, de meubles et de bois de chauffage. Les prisonniers royaux sont autorisés à correspondre avec l'extérieur, recevoir des visites et jouissent d'une relative liberté de mouvement au sein de la forteresse. Lemarquis de Sade y fut détenu cinq ans et demi. Le nombre de ses prisonniers n’a d’ailleurs jamais dépassé 45. La Bastille comportait également depuis la fin du XVIIe siècle un quartier beaucoup moins agréable pour les prisonniers communs, ainsi que des cachots (et non des oubliettes), situés à six mètres de profondeur et qui servaient de punition aux prisonniers insubordonnés comme, par exemple, le fameux Latude.
L'arrivée d'un nouveau prisonnier est annoncée par une sonnerie de cloche. Les boutiques avoisinantes ferment alors et les gardes se couvrent le visage pour ne pas voir le visage du nouveau venu. Ce culte du secret motive également l'enterrement des prisonniers de nuit sous de faux noms. Il participe grandement au mythe de l'homme au masque de fer4.
Un historien qualifie même la Bastille de rendez-vous des intellectuels 5 puisque s’y retrouvaient aussi bien Voltaire (par deux fois en 1717 et 1726) que des pamphlétaires comme Linguet ou Brissot, victimes de la censure.
C’était aussi un gouffre financier pour Louis XVI, en raison à la fois du traitement du gouverneur d’environ 60 000 livres mais aussi de l’entretien du personnel, nombreux, ou de la nourriture.Necker, qui avait déjà fermé le donjon de Vincennes, souhaitait la faire abattre dès 1784. Le peuple ne semble pas avoir réellement craint ce bâtiment, mais les cahiers de doléances de la ville, rédigés par des acteurs de la fronde des parlements6, demandaient sa destruction et son remplacement par une place avec un monument à la Liberté retrouvée. Comme toute forteresse imposante, elle marquait le paysage parisien et rappelait l'autorité du roi (comme la tour du Temple).
La Bastille fut prise d’assaut le 14 juillet 1789 par le peuple parisien venu chercher de la poudre. Il s’agissait également pour les révolutionnaires de s’emparer du dernier bastion royal à Paris après le soulèvement du 13 juillet.
La prise de la Bastille est aujourd’hui considérée comme le symbole de la Révolution française dont elle marque le commencement.
Cependant, la fête nationale française commémore la fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, qui fêtait elle-même le premier anniversaire de la prise de la Bastille.
La Bastille fut abattue à partir du 15 juillet par un entrepreneur privé, Palloy, qui vendit une partie des pierres en guise de souvenirs (pierres sculptées représentant la Bastille en miniature), dont un certain nombre furent vendus en province (Palloy fit faire également des maquettes de l'édifice qui furent envoyées dans tous les chefs-lieux des départements français). On peut y ajouter la transformation en objets de piété et de culte, de tout ce qu’il put récupérer sur les boiseries et les ferronneries de la vieille forteresse. La plus grande part a servi à construire le pont de la Concorde. Le marquis de La Fayette envoya une des clés de la Bastille à George Washington, l’une des grandes figures de la Révolution américaine et premier président des États-Unis7. Elle est aujourd’hui exposée à la résidence de Mount Vernon, transformée en musée. Une autre des clés fut envoyée à Gournay-en-Bray, lieu de naissance, du premier révolutionnaire à être entré dans la Bastille, Maillart. Cette dernière clé a depuis disparue.
La prison de la Bastille abrita entre autres :
Ils étaient sept :
On peut encore en voir des vestiges sur le quai de la ligne 5 du métro de Paris, de la station Bastille, la tour de la liberté (celle où fut enfermé Sade) dans le square Galli au départ duboulevard Henri-IV. Un pavage spécial a été dessiné afin de retracer sur le sol les contours de la Bastille historique.
Depuis 1880, le 14 juillet est la fête nationale de la France. Toutefois, officiellement, cette fête nationale ne commémore pas la prise de la Bastille, mais la Fête de la Fédération qui eut lieu un an plus tard, le 14 juillet 1790, sur l’esplanade du Champ-de-Mars. Mais l’inconscient collectif français semble bel et bien associer la fête nationale et l’événement le plus marquant survenu un 14 juillet : une immense majorité ne se souvient que rarement du 14 juillet 1790.
Le 14 juillet est chaque année l’occasion de nombreuses festivités : bals populaires, concerts, feux d’artifices, allocution présidentielle et défilé militaire sur les Champs-Élysées, à Paris.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bastille_(Paris)
RECHERCHER UN CHATEAU :