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  • Actualité - Au manoir de La Hazaye, c’est la vie de château!

    Planguenoual

    Au manoir de La Hazaye, c’est la vie de château!

    Tourismemercredi 10 février 2010

    Au cœur de la campagne, le manoir de la Hazaye, demeure seigneuriale du XVIe siècle, ouvre ses portes aux voyageurs amoureux d’histoire et de belles demeures. Christine et Jean-Yves Marivin ont choisi, voilà plus de quinze ans déjà, de rejoindre l’association Bienvenue au château. Soutenue par les comités régionaux du tourisme de l’Ouest, elle a pour objectif d’aider à la sauvegarde et à la valorisation des châteaux, manoirs et logis privés qui accueillent des hôtes. « C’est un peu surprenant au départ d’avoir des gens dans son salon, mais nous ne sommes que les dépositaires du lieu. Notre maison s’inscrit dans un tout culturel breton et nous avons à cœur de faire découvrir la région, les lieux touristiques et ceux qu’il faut aller chercher. »

  • Château de la Possonnière, dit aussi Château de Ronsard

    Château de la Possonnière, dit aussi Château de Ronsard à Couture-sur-Loir (41)

    Le Jour ni l'Heure 6057 : manoir de La Possonnière, où naquit Pierre de Ronsard, 1524-1585 — Couture, Loir-&-Cher, région Centre, dimanche 14 juin 2009, 17:38:29 par Renaud Camus

     

    Catégorie : Château
    éléments protégés MH : manoir
    époque de construction : 1ère moitié 16e siècle
    personnalité(s) : Ronsart Pierre de, écrivain (habitant célèbre)
    historique : Château natal de Pierre de Ronsart.
    propriété d'une personne privée
    date protection MH : 1862 : classé MH
    Château de la Poissonnière dit aussi Château de Ronsard : classement par liste de 1862
    observations : 18 04 1914 (J.O.).
    type d'étude : Recensement immeubles MH
    N° notice : PA00098428
    © Monuments historiques, 1992
    crédits photo : Mieusement, Médéric - Archives photographiques (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine) © CMN

    Commentaires

    Alien'or Pro User dit :

    Ni de son chef le trésor crépelu,
    Ni de sa joue une et l'autre fossette,
    ni l'embonpoint de sa gorge grassette
    Ni son menton rondement fosselu,
    Ni son bel oeil que les miens ont voulu
    Choisir pour prince, à mon âme sujette,
    Ni son beau sein, dont l'Archerot me jette
    Le plus aigu de son trait émoulu,
    Ni de son ris les milliers de Charites,
    Ni ses beautés en mille coeurs écrites,
    N'ont esclavé ma libre affection,
    Seul son esprit, où tout le ciel abonde,
    Et les torrents de sa douce faconde,
    Me font mourir pour sa perfection.


    Pierre de Ronsard, les Amours, édition de 1553

     

    Sources : http://www.flickr.com/photos/7313591@N02/3629211055/

    http://www.patrimoine-de-france.org/oeuvres/richesses-27-8973-68544-M174482-172123.html

  • Manoir Blésois

    Manoir Blésois

    Manoir Blésois Vaucresson

    Matériaux
    meulière
    Brique
    Datation
    XIXe siècle

    Au même titre que le Castel Aubert, le manoir Blésois fait référence au vocabulaire architectural des demeures et châteaux des bords de Loire. Certains éléments décoratifs, comme les représentations de la salamandre de François Ier ' l'emblème des Orléans-Angoulême depuis 1461 ', attestent également l'emprunt fait à l'architecture d'époque Renaissance.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/manoir-blesois-vaucresson

    Recherche de livres sur le Manoir Blésois

  • Manoir de La Chapelle-Saint-Jean

    Manoir de La Chapelle-Saint-Jean

    Manoir de La Chapelle-Saint-Jean Fontenay-le-Fleury

    Datation
    XIVe siècle - 1600

    Attesté dès le début du XIVe siècle, cet édifice est l'hôtel seigneurial du Haut Fontenay. Acquis par l'amiral de Graville à la fin du XVe siècle, il est donné au collège de Montaigu qui le garde jusqu'en 1705. Il est ensuite vendu à Olympe de Brouilly de Piennes. Il s'agit de la seule propriété restée privée dans le Grand Parc de Versailles, le reste ayant été acheté par le roi. La demeure, reconstruite vers 1600, est caractéristique de l'architecture de cette époque. Elle conserve une cave des XIe et XIIe siècles, et un puits qui remonte au moins au XIVe siècle. D'un diamètre de 1,20 mètre, il est alimenté par la nappe souterraine qui traverse la propriété.

    Source : http://fr.topic-topos.com/manoir-de-la-chapelle-saint-jean-fontenay-le-fleury

     

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  • Château de Brochon

    Château de Brochon

    Le château Stéphen Liégeard, représenté sur le papier à lettres de Stéphen Liégeard
    Le château Stéphen Liégeard, représenté sur le papier à lettres de Stéphen Liégeard

    Présentation
    Nom local Château Stéphen Liégeard
    Période ou style Néorenaissance
    Type Manoir
    Architecte Louis Perreau, Albert Leprince
    Début construction 1895
    Fin construction 1902
    Destination initiale Lycée
    Propriétaire actuel Commune de Brochon
    Classement Classé MH en 19841
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    47° 14′ 18″ Nord
    4° 58′ 23″ Est
    Pays France France
    Région Bourgogne
    Département Côte-d'Or
    Commune Brochon
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Brochon

    Le Château de Brochon, dit "Château Stéphen Liégeard", est situé à Brochon, dans le département de la Côte-d'Or, enBourgogne (France). Bâti à la fin du XIXe siècle dans le style néorenaissance par l'homme politique et homme de lettres Stéphen Liégeard, il abrite aujourd'hui le lycée Stéphen-Liégeard depuis 1962.

    Article connexe : Lycée Stéphen-Liégeard.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    L'origine du domaine

    Au XIVe siècle, Philippe le Hardi, premier duc Valois de Bourgogne et fils du roi de France Jean II le Bon, fait don à l'ordre desChartreux d'un domaine situé à Brochon. Il s'agissait de bâtiments renforcés, ainsi que d'autres constructions, cernés par la vigne. Au XVIIe siècle, des terres de ce domaine, le "Crais-Billon", sont achetées par Melchior Jolyot, originaire de Nuits-Saint-Georges, greffier en chef de la chambre des comptes de Bourgogne et de Bresse, et père de Prosper Jolyot de Crébillon, dit "Crébillon père". Le nom de ce petit "fief" est transformé en Crébillon ; il serait une des sources de la revendication nobiliaire des Jolyot2. En 1804, Étienne Liégeard, membre d'une vieille famille dijonnaise proche des milieux bonapartistes, fait l'acquisition d'une partie du domaine. En 1843, son fils, Jean-Baptiste Liégeard (1811-1887), futur maire de Dijon, agrandit celui-ci. Finalement, en 1879, son petit-fils, Stéphen Liégeard (1830-1925), ancien homme politique et écrivain et poète en vue, complète l'ensemble. Fortuné, il rachète le reste des terres à la famille Darcy. Il songe alors à y bâtir un château de style néorenaissance.

    L'ambitieux projet de Stéphen Liégeard

    Le désir de Liégeard était de doter le village de Brochon, et plus particulièrement son domaine, d'un monument de référence. Il souhaite surtout faire étalage de sa fortune et de son bon goût en embauchant des architectes renommés. Édifice d'exception, il s'agit en effet du dernier château d'une réelle ampleur construit en Côte-d'Or. Stéphen Liégeard souhaite bâtir un château néorenaissancecar "ce qu'il manque à la Bourgogne, disait-il, ce sont les châteaux de la Loire." Entamé en 1895 peu après la grave crise duphylloxéra, le chantier de construction avait aussi une vocation "philanthropique" : paternaliste, Liégeard voulait redonner du travail aux petits exploitants viticoles ruinés.

    La construction du château

    Dès ses achats de 1879, Liégeard fait démolir les derniers bâtiments des Chartreux (exceptée la "Tour Crébillon"). Le chantier du château démarre en 1895 pour s'achever, concernant le gros-œuvre, en 1899. Le décor, lui, est achevé en 1902. Des personnes de renommée régionale et nationale sont appelées pour diriger les travaux. Le parc est dessiné par le paysagiste Bühler qui fixe l' emplacement du nouveau château. Les architectes sont Leprince et Perreau. Louis Perreau est déjà connu des Dijonnais (Hôtel des Postes de la place Grangier et bâtiment Art nouveau voisin). Quant au second architecte, Leprince, il s'agit d'un élève de Viollet-le-Duc. L' architecture est de style néorenaissance fortement influencée par les réalisations ligériennes (Azay-le-Rideau pour la façade Est, Chenonceau pour ses grandes arcades, Blois et de Chambord pour les cheminées et chiens-assis). La décoration intérieure, par contre, est inspirée du style XVIIIe (RocailleLouis XVI). Elle est confiée à des artistes de renom : Schanosky (lambris), Cesbron (peintures monumentales), Gasq (sculptures).

    Un château devenu lycée

    Le château ne reste pas longtemps dans la famille Liégeard. Gaston Liégeard, fils de Stephen, meurt célibataire en 1953 ; son neveu, seul héritier, refuse la succession. L' État hérite alors des lieux, conformément au testament de Gaston Liégeard. Avec une demeure en parfait état, vaste et luxueuse, les pouvoirs publics décident de l'affecter à l'enseignement, comme lycée, dès la rentrée 1954. Les lieux sont alors sous la respnsabilité du lycée Marcelle-Pardé puis du lycée Carnot. En 1962, l'Éducation nationale décide de fonder le nouveau lycée Stéphen-Liégeard. La construction d'un nouveau bâtiment entraîne la disparition de la serre et du potager dont il ne reste plus que la borne de la fontaine qui l'alimentait en eau. La roseraie est en voie de reconstitution dans le domaine du parc. Depuis 19753, les façades et la décoration intérieure sont inscrits à l'Inventaire des Monuments historiques4. Enfin, en 1994, l'Association des Amis du Château Stéphen-Liégeard de Brochon5 s'est donné pour but de promouvoir la connaissance de ce remarquable patrimoine bourguignon.

    Description [modifier]

    Extérieur

    C'est un bâtiment en L composé de deux corps d'un étage carré reliés entre eux par un important pavillon de deux étages carrés, sur lesquels sont greffées tours ou tourelles. Le grand hall, éclairé par des verrières géométriques de Didron avec les initiales "SL" entrelacées, est couvert d'un plafond à caisson. Son escalier d'honneur, à deux volées perpendiculaires, donne accès à une galerie qui distribue le premier étage. Cinq pièces principales sont desservies au rez-de-chaussée (la bibliothèque, le salon, la salle de billard, la salle à manger et le bureau de Gaston Liégeard) et, au premier étage, une dizaine de chambres (dont celles de Stéphen Liégeard et de son épouse Mathilde). Sous les combles, une vingtaine de chambres ont été arrangées mais sans décor particulier. A l'étage de comble du corps principal, une très vaste pièce, destinée aux loisirs, fut aménagée en laissant la charpente apparente. Les matériaux utilisés proviennent pour la plupart de la région (pierre assez tendre du nord de la Côte-d'Or pour les sculptures, pierre plus dure pour le gros œuvre provenant principalement des carrières de Brochon, ChambollePremeaux et Comblanchien).

    Décoration intérieure

    Dans le hall d'entrée, à la base du grand escalier, un lion sculpté grandeur nature en ronde bosse est sans doute une allusion à l'image que Stéphen Liégeard voulait donner de lui-même. En effet, ce motif apparaît de nombreuses fois sur le décor sculpté des façades. Le hall abrite également une statue de jeune nymphe, nommée la Source.

    Le parc

    Aménagé par le renommé Eugène Bühler, ce parc à l'anglaise, aux essences variées, contenait également un jardin alpin, une roseraie (avec 800 variétés), une rocaille avec grotte, des bassins, une serre et diverses statues d'agrément. L'édification de certains bâtiments du lycée a quelque peu modifié cet agencement.

    Notes [modifier]

    1. Notice no PA00112162 [archive], sur la base Mériméeministère de la Culture
    2. Une tour, dite "tour Crébillon", est présente dans le parc du château.
    3. 29 octobre 1975
    4. Fiche Mérimée [archive]
    5. Site du lycée et de l'association [archive]

    Liens externes [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Brochon