Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Château de Condé-Sainte-Biliaire

    Château de Condé-Sainte-Biliaire

    Château Condé-Sainte-Libiaire
    Datation
    XVIIe siècle - XVIIIe siècle

    Construit au début du XVIIe siècle, ce château est notamment la propriété d'Engrand d'Alleray, conseiller au parlement de Paris. Il subit de nombreuses modifications aux siècles suivants. Autour du château se trouvent des bâtiments à usage de ferme, ainsi qu'un parc qui longe le Morin. La sobriété du rez-de-chaussée sobre et l'abondance ornementale des étages, dont les travées sont encadrées de chaines de pierres se détachant sur la maçonnerie de briques. En 1838, le château appartient à Mme Casimir Perrier, veuve du ministre de Louis-Philippe et bienfaitrice de la commune à laquelle elle offre un presbytère et une école de filles gratuite dirigée par les religieuses de la Providence d'Évreux.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-conde-sainte-libiaire

  • Château de Monthyon

    Château de Monthyon

    Château de Monthyon Monthyon
    Datation
    XVIIe siècle - XVIIIe siècle

    Édifié sur les ruines d'un château fort du XIIe siècle, ce bâtiment de style Louis XIV a l'allure d'une grande maison bourgeoise. Les douves ont été transformées en pièces d'eau et une double rangée de portes-fenêtres permet d'admirer le parc. Seules les tourelles d'angle lui confèrent un aspect défensif. Jean Auget a fait l'acquisition de la terre de Monthyon en 1709 auprès de l'héritière de Jean Chevalier, devenu baron en janvier 1659.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-monthyon-monthyon

  • Château des Bergeries

    Château des Bergeries

    Château des Bergeries Draveil
    Matériaux
    Brique
    enduit

    L'actuel château des Bergeries est le troisième du nom, construit sur le domaine des Bergeries de Sénart mentionné pour la première fois en 1481 comme appartenant à la seigneurie de Rouvres installée sur le territoire de Vigneux, voisin de Draveil. Le premier château des Bergeries est construit au début du XVIIe siècle par la famille Le Fèvre de Caumartin, qui avait acquis la seigneurie de Rouvres. En 1827, le château étant devenu inhabitable, son propriétaire, le baron Didelot, vend le domaine à la couronne. Le château est démoli et un deuxième est construit un peu plus au nord, sur la commune de Vigneux. Pour encourager l'industrie de la soie en France, le roi Charles X décide de consacrer la propriété à la sériciculture et fait planter des mûriers sur le domaine. L'expérience, qui n'est pas une grande réussite, s'arrête à la mort de l'artisan de la magnanerie des Bergeries. En 1881, le domaine est vendu par adjudication à un riche banquier, le comte Raphaël Cahen d'Anvers. Ce dernier fait édifier, l'année suivante, le château actuel. Edifié sur l'emplacement du château primitif, sur territoire draveillois, le château, sur les hauteurs de Mainville, jouit d'une belle vue sur la vallée de la Seine. De style Louis XIII et de forme carrée, il comporte un rez-de-chaussée et deux étages, le second constitué par les combles aménagés. Surmonté d'un toit complexe, chaque angle de la bâtisse étant coiffé d'un toit de forme pyramidale, il a fière allure dans sa robe de brique et de pierre. De sa toiture, couverte d'ardoises de trois couleurs différentes, émergent de belles cheminées. La magnifique grille d'entrée ainsi que le pavillon de garde datent du premier château. Auguste Renoir, peintre des bords de Seine à Champrosay, est venu au château pour faire le portrait des demoiselles Cahen d'Anvers encore enfants. Après la mort du comte d'Anvers en 1900, la propriété est acquise par Ferdinand Goldschmidt, puis transmise à ses héritiers. Après la Seconde Guerre mondiale, le château change de destination et devient centre de formation : école d'administration d'officiers de l'intendance, école privée, école internationale et, aujourd'hui, école de formation de la Police nationale.

  • Actualité - L’ancienne enceinte fortifiée du château de Terride

    L’ancienne enceinte fortifiée du château de Terride

     

    Raymond Roger, actuel propriétaire de Terride, passionné d'architecture militaire, travaille depuis des années au dégagement des anciennes fortifications du château. L'an dernier, il a mis au jour les restes des tours qui couronnaient le système des remparts. Il a dû pour cela faire venir des engins spécialisés, et, compte tenu de la forte déclivité du terrain, l'accès de ces engins au pied des zones concernées n' a pas été une mince affaire.

    Ci-dessus, on voit l'une des tours dont les restes ont été dégagés, la seule qui ait conservé une part de sa superbe ancienne.

     

     

     

     

    L'enceinte du château était ainsi flanquée de trois tours d'angle, en sus de la tour axiale, hélas détruite au XIXe siècle, édifiée au-dessus de l'unique porte d'entrée du site.

     

     

    Totalement ruinées, les autres tours d'angle ont disparu. Il reste seulement un tumulus et quelques pierres.

     

     

    Les pierres disparues ont probablement été réutilisées ailleurs sur le site.

     

     

    On sait que la demeure au fronton triangulaire, située entre le donjon et la chapelle, a été aménagée au XVIIe siècle, tout comme le pont de pierre à trois arches qui franchit le fossé à l'aplomb de la porte du château. Apposée sur l'une des arches du pont, une date indique que celui-ci date sans doute du temps de Jean de Lévis Lomagne, dernier membre de la famille de Lévis qui ait occupé le château.

    Les restes des courtines qui s'élevaient jadis entre les tours d'angle ont également été dégagés l'an dernier.

     

     

    Les murs de l'enceinte épousent la pente du terrain.

     

     

     

    Appareillés d'abord de pierres sèches, les murs d'enceinte étaient ensuite revêtus d'un parement de pierres taillées, savamment agencées dans les redents.

    La hauteur de ces murs couronnés de tours composait jadis au château un visage formidable, fait pour signifier au regard de la plaine la puissance du seigneur et le caractère panoptique du contrôle exercé sur la communauté toute entière. Mais pareil retranchement derrière d'énormes fortifications témoigne aussi de la défiance nourrie par les premiers seigneurs de Lévis à l'encontre de la dite communauté qui les a toujours tenus pour des Mounfort, i. e. pour des créatures de Simon de Monfort, desFrancimans, acteurs de la croisade contre les Albigeois,  à ce titre responsables de la ruine de la civilisation occitane.

     

     

    Il faut se représenter le château de Terride, première demeure des seigneurs de Lévis en pays de Mirepoix, comme une forteresse, ceinte comme dit Virgile d'un "trois fois triple tour", plus exactement d'un premier mur courant à flanc de rocher à mi-hauteur de la colline ; puis, séparé de ce premier mur par une zone de taillis escarpée, chaotique, le rempart décrit plus haut, avec ses quatre tours et son chemin de ronde ; puis séparé encore du rempart par un fossé profond ou des glacis, le donjon, lui-même assis sur une base cyclopéenne, prolongée derechef jusqu'à la porte du domaine par de hautes courtines percées d'archères et surmontées d'une échauguette, chargée de surveiller la dite porte.

     

     

    J'ai fait en compagnie de Raymond Roger le tour du chemin de ronde.

    On marche sur ce qui fut jadis un lit de briques recouvertes de pierres. Outre le lit de briques, ménagés entre les pierres, des espaces en forme de goulotte facilitent l'écoulement des eaux.

    Les restes de briques sont de fabrication médiévale. Ce chemin de ronde daterait, me dit Raymond Roger, du premier Moyen Age, i. e. du temps des Bellisen, feudataires du comte de Toulouse, premiers maîtres du château, avant l'ère des seigneurs de Lévis.

    Raymond Roger a prévu de poursuivre cette année sa campagne de fouilles. Le spectacle des anciennes fortifications qui ressurgissent de la terre et du hallier lui inspirent une satisfaction qui nourrit sa passion de l'histoire. Il sait faire partager cette passion à ses hôtes. Grâce à lui, qui a joué pour moi les cicerones, j'ai mieux compris le statut, aujourd'hui oublié, qui a été jadis celui du château de Terride. La ruine de ces fortes murailles m'a rappelée au souvenir de la grandeur et de la décadence des empires…

     

    A lire aussi :

    Au château de Terride
    Les rinceaux de la chapelle castrale de Terride
    Les rinceaux de la chapelle castrale de Terride en octobre 2009
    La triste histoire de Jean de Lévis Lomagne

     

    Source : http://belcikowski.org/ladormeuseblogue/?p=11580

  • Château de Flers (Villeneuve-d'Ascq)

    Château de Flers (Villeneuve-d'Ascq)

    Page d'aide sur l'homonymie Pour le château éponyme situé dans la ville de Flers, dans l'Orne, voir Château de Flers.
    Château de Flers

    Flers Chateau.jpg
    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style flamand
    Début construction xviie siècle
    Propriétaire initial De Kessel, seigneurs de Flers
    Propriétaire actuel Ville de Villeneuve d'Ascq
    Destination actuelle Musée du château de Flers, Office de tourisme
    Classement CLMH
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France
    Région historique Nord-Pas-de-Calais
    Commune Villeneuve d'Ascq
    Musée du château de Flers
    Informations géographiques
    Pays France
    Localité Villeneuve-d'Ascq
    Informations générales
    Date d'ouverture 1991
    Collections Archéologie
    Informations visiteurs
    Adresse Chemin du Chat Botté- 59650 Villeneuve-d'Ascq

    Le château de Flers est situé chemin du chat Botté à Villeneuve-d'Ascq, dans le département du Nord. Il abrite le musée du château de Flers ainsi que l'office de tourisme de Villeneuve-d'Ascq. Il doit son nom à l'ancien village de Flers-lez-Lille près duquel il est situé.

    Sommaire

    [masquer]

    Historique [modifier]

    Le château de Flers, dont la construction est achevée en 1661, est caractéristique de l'architecture flamande du xviie siècle. De 1667 a 1747, il est la propriété de la famille des seigneurs de Flers, les De Kessel. En 1747, Philippe André de Baudequin, seigneur deSainghin, reçoit la seigneurie de Flers et le château de son cousin De Kessel. En 1770, Marie-Claire-Josephe de Baudequin épouse le comte Ladislas de Diesbach. Celui-ci, à la mort de son épouse en 1791, hérite du château et sera le dernier seigneur de Flers.

    Vers 1787, le château est modifié : les meneaux des fenêtres sont enlevés, les plafonds à la française laissent place à des plafonds à caissons, de nouvelles cheminées sont construites. Le pont-levis d'origine est remplacé par un pont plus moderne (celui actuel). La galerie à arcades est de la même époque.

    Lors de la Révolution française, la famille émigre. Le château est confié au jardinier et sera dévasté. Le château est ensuite transformé en ferme. En 1927, Paul Delesalle-Dewas rachète le château à la famille De Diesbach.

    Inscrit à l'inventaire des Monuments historiques en 1951, il est racheté par la commune en 1970. La restauration des deux ailes préservées, dont le corps de logis, s'achève en 1991. Depuis cette date, il accueille le siège de l'office de tourisme de Villeneuve-d'Ascq et abrite plusieurs services municipaux.

    Architecture [modifier]

    Le château est caractéristique de l'architecture flamande rurale du XVIIème siècle.

    Musée du château de Flers [modifier]

    Quatre salles en sous-sol sont aménagées en musée archéologique depuis 1991. Le musée présente également des expositions temporaires mettant en valeur l'archéologie, l'histoire locale et l'ethnographie régionale.

    Galerie [modifier]

     

    Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Flers_(Villeneuve-d'Ascq)

  • Château de Romainville

    Château de Romainville

    Château de Romainville Romainville
    Datation
    XVIIe siècle

    La seigneurie de Romainville ne se constitue à proprement parler qu'à partir de 1630, date à laquelle Nicolas Le Quelen fait construire au c'ur du village, derrière l'église, un château entouré d'un grand parc. De style Louis XIII, la demeure est composée d'un corps de bâtiment central classique à étages en pierre de taille, flanqué de deux pavillons sur les côtés. De nombreuses fenêtres hautes et symétriques, bordées de balcons et surmontées de lucarnes ouvrent l'édifice. En 1666, lorsque la seigneurie devient baronnie, la famille de Baud réside dans le château, et y accueille de nombreuses personnalités de la cour. En 1723, le château est acquis par Henri François de Ségur, qui le cède ensuite à son fils, Philippe-Henri (1724-1801), ministre de la Guerre en 1780 et maréchal de France en 1783. La famille de Ségur coule des jours heureux dans le château et dans le parc, agrémenté d'un pavillon de musique octogonal, de pièces d'eau et de bassins qui captent les sources des fontaines.