Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Château de la Haye-Saint-Hilaire (logis)

    Château de la Haye-Saint-Hilaire (logis)

    Château de la Haye-Saint-Hilaire (logis) Saint-Hilaire-des-Landes
    Classé MH
    1926
    Matériau
    granit

    La plus grande partie de la construction de ce château est attribuée à Henri de La Haye-Saint-Hilaire, né en janvier 1593, fils de René et de Françoise Pinel de Chaudeb'uf. Le 7 janvier 1618, il épouse Françoise Fouquet, cousine du père du futur surintendant Nicolas Fouquet. Quand il meurt subitement le 21 septembre 1622, les travaux projetés sont loin d'être achevés. Ils sont continués par son fils ainé Christophe, né à La Haye en 1619 et gouverneur de Fougères en 1658, puis, après sa mort en 1671, par son fils Anne, né en 1649. Le logis seigneurial, au toit à la Mansart, est alors prolongé d'une aile moins élevée à la toiture élancée.

  • Château de Montceau-les-meaux

    Château de Montceau-les-meaux

    Château Montceau-lès-Meaux
    Matériau
    gravure
    Datation
    XVIIe siècle

    Le premier château élevé au XVIe siècle est embelli en trois étapes sous la direction respective de Philibert de l'Orme, Jacques II Androuet du Cerceau et Salomon de Brosse qui le reconstruit presque entièrement, puis de Nicolas Lemercier. Des dessins de Jacques Gentilhâtre et des gravures de Sylvestre, de même qu'un état des lieux de 1631, donnent une idée la physionomie de l'édifice au XVIIe siècle. Il est démoli presque en totalité au XIXe siècle.

    Enfants
  • Actualité - Château de Vissec - août 2010

    Au château de Vissec, du du 7 août au 23 août : "PIERRES ET AME" de Nicole Guy

    Présentation et exposition du recueil de Nicole GUY, de 100 planches à l’encre de Chine sur l’habitat vernaculaire du village de Vissec.

    Salle des expos du Château

    Place du château

    30770 Vissec

    Plus d'information sur : http://vissec.ifrance.com

  • Château de Waleffe - Belgique

    Château de Waleffe

    Château de Waleffe
    Le château de Waleffe est un ensemble architectural implanté dans un environnement bocager d’un caractère exceptionnel. L’architecture des bâtiments du château, mais aussi la ferme castrale ainsi qu’une exploitation voisine, les vergers, les prairies et les bois, tout concourt à faire de ce lieu un endroit exceptionnel. 

    Le château était le siège de la seigneurie de Waleffe-Saint-Pierre qui fut acquise par Jean Curtius, célèbre manutentionnaire du roi d’Espagne. En 1790, le bien fut transmis aux barons de Potesta qui l’habitent encore de nos jours. 

    La magnifique demeure qu’on connaît aujourd’hui fut construite à partir de 1706 sous la direction de l’ingénieur français J.Verniole. Le plan représente un type de château qu’on rencontre en pays mosan : un cops de logis flanqué aux extrémités de deux ailes symétriques latérales du côté cour et de deux amorces d’ailes, côté jardin.

    La décoration s’inspire encore du goût du XVIIe siècle. L’influence de l’ornemaniste français Daniel Marot se ressent dans les décors, principalement dans les plafonds peints, dans les décors muraux et les manteaux de cheminée rehaussés de consoles. 

    La ferme seigneuriale qui accompagne le château est également d’un très grand intérêt. Et notamment le colombier, tour cylindrique à toit conique qui s’élève à 32 m.

    'Château de Waleffe'

    Adresse: Rue de Borlez, 45, 4317 Faimes
    Activités similaires dans la région (carte)
    train busItinéraire en transport en commun

    Tarif: 6 € pour groupes de minimum 25 personnes

    Téléphone: 019/56 60 34

    Internethttp://www.belgiancastle.com

    Ouverture: Ouvert toute l'année, uniquement sur rendez-vous

  • Château de Beauvoir

    Château de Beauvoir

    Château de Beauvoir Évry
    Datation
    XIXe siècle

    De toutes les résidences seigneuriales ou bourgeoises qui ponctuaient la Seine sur sa rive gauche, le château de Beauvoir est le seul à demeurer intact. Autrefois propriété de la famille de Rohan, semble-t-il, il remonte dans sa version actuelle au XIXe siècle. Ses formes néo-classiques sont dues à la famille Revenaz-Pastré, qui a dominé la propriété foncière à Évry et dans les communes voisines pendant un siècle et demi. Le château abrite aujourd'hui un centre de réadaptation professionnelle. Le parc conserve quelques vestiges de constructions ' des statues, un kiosque et le pavillon du gardien ' qui témoignent de l'importance passée du domaine.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-beauvoir-evry

  • Château de Condé en Brie

    Château de Condé en Brie

    Castello di Conde'

    Commandez le livre sur : http://chateaux.zlio.net/p/Le-Chateau-de-Conde-Une-demeure-de-plaisance-au-siecle-des-Lumieres/3016704

    " Le nom du village de Condé en Brie tire son étymologie d'un mot celtique (condatum) signifiant "confluent" car celui-ci est situé près du confluent de la Dhuys et du Surmelin, affluent de la Marne.

    Habité depuis les temps les plus reculés, ce lieu servit de théâtre en 500 après Jésus-Christ à un combat opposant les Senones aux Condrusis. D'importants vestiges de cette époque subsistent dans les fondations du château qui fut probablement une villa gallo-romaine.

     

     

    Pierres Romaines de Condé (exemple)


    Le Bienheureux Jean de Montmirail fut le premier seigneur de Condé qui n'était qu'un fief noble ayant haute et basse justice et autorisation de fourches patibulaires. Son gendre,Enguerrand III de Coucy construisit en 1200 le premier château digne de ce nom. Les murs de deux mètres d'épaisseur et les larges archères témoignent de cette période de défense.

    Marie de Coucy, dernière de cette lignée, apporta en 1400 à son mari le Comte de Bar les terres de Condé qui passèrent ensuite, toujours par le jeu des alliances, à la Maison de Luxembourg.

    Le Château de Condé au XVème siècle (tentative de reconstitution)

    En 1487, la Maison de Bourbon entra en possession de la seigneurie par le mariage de Marie de Luxembourg avec François de BourbonComte de Vendôme; celle-ci passa ensuite à l'un de ses fils, Louis dit le Cardinal de Bourbon-Vendôme, abbé de Saint Denis, archevêque de Sens, évêque de Laon et de Luçon. Ce dernier transforma le château des Coucy en un très grand rendez-vous de chasse Renaissance dont l'édifice actuel ne représente plus qu'environ les deux tiers; ses armes surmontées du chapeau de cardinal, figurent encore au fronton d'une porte et d'une cheminée.

    Le château, encore fermé autour d'une cour carrée, était lui-même entouré de murs qui s'étendaient jusqu'à deux bâtiments qui témoignent de cette époque, la "porterie" à l'ouest devenue aujourd'hui une simple grange et à l'est la "capitainerie", ancien logement du capitaine des gardes sous lequel étaient situées les prisons dont subsistent encore la lourde porte et les verrous impressionnants. De nombreux souterrains, dont certains pourraient reprendre leur office, faisaient communiquer entre eux les différents bâtiments et le bord de la rivière.

    Le Cardinal de Bourbon-Vendôme fut le tuteur de son neveu Louis qui se fit appelerMonsieur le Prince et fut ensuite couramment désigné sous le nom de Prince de Condé, sans doute parce qu'il affectionna ce lieu et y passa une partie de son enfance. Il hérita des terres de Condé qui s'étendaient sur plus d'une dizaine de villages à l

    Le Château de Condé au XVIème siècle (tentative de reconstitution)

     

    Sa première épouse Eléonore de Roye y éleva ses enfants, et y mourut en 1564, après avoir été quelque peu délaissée par le Prince dont la vie mouvementée comme chef du parti protestant est passionnante. Après son assassinat à Jarnac par le Capitaine de Montesquiou en 1569, la principauté resta dans la Maison de Bourbon jusqu'en 1624 où elle passa à celle de Savoie par le mariage de Marie de Bourbon-Condé avec Thomas de Savoie-Carignan.

     

    Le château de Condé qui a le privilège d'avoir donné son nom à l'une des branches les plus illustres de la Maison de Bourbon, connut alors un sort moins heureux. En 1711, Louis XIVconfisqua les biens des Savoie en France, sans doute pour se venger des échecs que lui avait fait subir le Prince Eugène de Savoie à la tête des armées autrichiennes. Le château mis sous séquestre, fut occupé militairement de 1711 à 1719 et se trouvait en fort mauvais état quand il fut acheté par Jean-François Lériget de la Faye.

    Cet homme doué de nombreux talents fut à la fois un financier, un homme de lettres et un diplomate au service du Roi Louis XIV et du Régent. Administrateur de la Compagnie des Indes, membre de l'Académie Française, il fut aussi Chef du Cabinet Royal et conseiller particulier du Roi et, à ce titre, chargé de missions importantes, entre autres, celle de chercher une épouse pour le jeune Louis XV. Déjà propriétaire à Paris de deux hôtels où il donnait des réceptions littéraires, il voulut jouir d'une résidence des champs en transformant Condé à la mode du dix-huitième siècle. Il confia la tâche à Servandoni, l'un des architectes du Palais Farnese à Rome, maître du trompe-l'oeil et spécialiste du décor de théâtre mobile.

    Celui-ci donna au château son aspect actuel; il ne conserva que les trois bâtiments entourant la cour d'honneur; par la suppression de la quatrième aile qui fermait la cour il fit entrer le soleil. Il refit les toitures et voulut donner à la façade l'aspect symétrique au goût du jour, mais il se heurta à la partie du treizième siècle et l'épaisseur des murs l'obligea à exercer son talent de trompe-l'oeil en faisant des fausses fenêtres sur une partie de la façade.

    Il fut également chargé de décorer l'intérieur; il remplaça l'escalier de pierre Renaissance par un vaste escalier d'honneur mettant en valeur les toilettes (modes vestimentaire) de l'époque; il décora lui-même le grand salon central, consacré au théâtre et à la musique; ses toiles peintes à la manière des décors de théâtre sont tendues sur les quatre murs, reproduisant en trompe-l'oeil des statues de Girardon exécutées pour le parc de Versailles et des scènes mythologiques, copies des fresques du palais Farnese.

     

    Le Marquis de la Faye, grand collectionneur de tableaux, obtint en outre le concours de peintres célèbres de l'époque. Jean-Baptiste Oudry peignit pour un autre grand salon quatre magnifiques tableaux représentant des retours de chasse et de pêche.

     

    Les autres pièces furent décorées par WatteauLancretLemoine et leurs élèves. Malgré les destructions de la guerre de 1914, nombreuses sont les peintures attribuées à ces écoles.

    Ce travail de décoration fut poursuivi par son neveu et héritier, Jean-François II Lériget de la Faye dont la fille épousa le Comte de la Tour du Pin Lachaux. C'est elle qui à la mort de son père hérita du château et des terres de Condé qui appartinrent à cette famille jusqu'en 1814, date à laquelle, par héritage, la Comtesse de Sade, belle fille du célèbre marquis en devint propriétaire.

     

    La famille de Sade posséda ces lieux jusqu'en 1983. Après l'épreuve des deux grandes guerres, qui endommagèrent gravement le château, elle commença l'oeuvre de restauration en cours.

     

    Le nouveau propriétaire, Alain Pasté de Rochefort n'est pas tout à fait étranger à Condé car son ancêtre le capitaine Pasté était au seizième siècle l'un des deux capitaines de la garde privée du premier Prince de Condé et a séjourné sans doute maintes fois à Condé pour cette raison.

    Les taches à accomplir sont encore nombreuses et il compte bien poursuivre l'oeuvre entreprise par ses prédécesseurs; votre aimable visite y contribue."

    Alain Pasté de Rochefort (1930 - 1993)

     

     

    Couverture du livre d'art sur le Château de Condé aux éditions Somogy

     

    Le château de Condé, dont les origines remontent a la fin du XIIe siècle, est une des pièces maîtresses du patrimoine artistique de la Picardie. D'illustres familles s'y sont succédé : les maisons de Luxembourg, Bourbon-Vendôme, Bourbon-condé, donnant ainsi son nom a l'une des plus illustres familles de France, les princes de Condé. Son heure ...

     

    Source : http://www.chateaudeconde.com/histo0.htm