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  • Château de la Verrerie (Saône-et-Loire)

    Château de la Verrerie (Saône-et-Loire)

    Panorama de la Verrerie avec au premier plan les fours de l'ancienne cristallerie

    Sommaire

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    Description [modifier]

    Il s'agit d'un vaste bâtiment en U formé d'un corps principal et de deux ailes en retour d'équerre. La partie centrale du corps principal, comporte un étage attique. Au centre, un avant-corps se détache en légère avancée. Composé de trois travées, il est couronné d'un fronton sculpté aux armes de France et d'Autriche. Des trophées d'armes datés du xixe siècle flanquent les toits de cette partie centrale. Les ailes possèdent également en leur centre un avant-corps de trois travées couronné d'un fronton avec oculus. La cour est limitée par un corps de passage et par deux constructions coniques, couvertes de tuiles plates, qui abritaient les fours et qui furent transformées, l'une en théâtre, l'autre en chapelle, puis en salle d'exposition.

    Le Château de la Verrerie

    Historique [modifier]

    • 1784 : la manufacture de cristaux de Sèvres est transférée au Creusot, la proximité de la houille permettant de réduire le coût de la fusion du verre
    • de 1784 à 1788 : la nouvelle cristallerie prend le nom de manufacture de Cristaux de la Reine
    • époque révolutionnaire et Restauration: réputée pour son procédé de taille en pointe de diamant, la cristallerie fonctionne de manière chaotique
    • 1818 : changement de propriétaire
    • 1833 : la verrerie est vendue aux Compagnies de Baccarat et de Saint-Louis
    • 1837 : inutilisée, la verrerie est vendue aux frères Schneider
    • 1847 : des transformations sont entreprises; la cristallerie devient la résidence de la famille Schneider
    • début du xxe siècle : les lieux, qui reçoivent la visite de chefs d'état étrangers, sont transformés en château avec parc, désormais appelé château de la Verrerie
    • Seconde Guerre mondiale : importantes dégradations sous l'occupation allemande et pendant les bombardements alliés
    • xxe siècle : restauration

    Centres d'intérêt [modifier]

    • Le château de la Verrerie et son parc dessiné par Achille Duchêne
    • La Cristallerie de la Reine

    Voir aussi [modifier]

    Liens internes [modifier]

    Bibliographie [modifier]

    • H. Chazelle, Le Creusot, histoire générale (1936)

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_la_Verrerie_(Saône-et-Loire)

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  • Château de la Verrerie (Cher)

    Château de la Verrerie (Cher)

    Vue d'ensemble du château
    Vue d'ensemble du château

    Présentation
    Période ou style Renaissance
    Début construction XVe siècle
    Propriétaire initial Béraud Stuart
    Propriétaire actuel Béraud de Vogüé
    Classement Inscrit MH depuis 1926 1
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    47° 28′ 30″ Nord
    2° 30′ 58″ Est
    Pays France
    Région historique Centre
    Département Cher
    Commune Oizon
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de la Verrerie

    Le château de la Verrerie est situé à Oizon (Cher), près d'Aubigny-sur-Nère, à la frontière entre le Berry et la Sologne.

    Le nom de « la Verrerie » n'apparaît qu'à la fin du xve siècle et traduit l'existence à cette époque d'une petite fabrique de verre. Cette fabrique est attestée du xviie siècle à 1815-1820.

    En 1422Charles VII dans le cadre de l'Auld Alliance entre la France et l'Écosse donna la ville et ses dépendances à Jean Stuart, lord Darnley, venu combattre avec une petite troupe. Ce sont les Stuart qui édifièrent le château actuel, de style Renaissance. La Verrerie resta dans la descendance de Jean de Darnley jusqu'en 1670. À ce moment, l'héritier de la seigneurie était le roi Charles II d'Angleterre, lui aussi descendant de Jean Stuart, mais Louis XIV ne reconnut pas cette succession et mit la main sur Aubigny. Toutefois il accepta en 1673 de concéder Aubigny, érigé en duché, à la maîtresse de Charles II, Louise de Kéroualle, duchesse de Portsmouth, qui était aussi son agent à Londres.

    À la mort du roi Charles, Louise de Kéroualle vint vivre à La Verrerie où elle finit ses jours. Le duché d'Aubigny passa alors au fils qu'elle avait eu de Charles II, Charles Lennox, duc de Lennox et de Richmond. Ses descendants conservèrent le château de la Verrerie jusqu'au début du xixe siècle. Le duc Charles se refusant à payer les droits de succession sur ce domaine, il est mis en adjudication.

    Le 25 mai 1842 le château est acquis en adjudication par Léonce de Vogüé qui y installe sa nombreuse famille. À partir de 1892,Louis de Vogüé fait effectuer des agrandissements par l'architecte parisien Ernest SansonAntoine de Vogüé et sa femme Françoise de Hautecloque adaptent le bâtiment au tourisme à partir de 1960. Béraud de Vogüé est le propriétaire actuel du restaurant et des douze chambres-hôtel.

    Notes et références [modifier]

    Liens internes [modifier]

    Liens externes [modifier]

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_la_Verrerie_(Cher)

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  • Un projet de reconstruction du château de Saint-Cloud

    Un projet de reconstruction du château de Saint-Cloud

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    Si, en 2010, le réalisme de nos voisins allemands les conduira à reposer la première pierre du château de Berlin, c'est parce qu'ils ont depuis longtemps compris que les monuments historiques sont bien autre chose que de simples "gadgets culturels" destinés à embellir le paysage... Générant des flux touristiques - et donc des flux économiques - le patrimoine est par excellence créateur d'emplois directs, et plus encore indirects, concourant ainsi grandement à l'enrichissement d'un pays. 

    C'est pourquoi la reconstruction du château de Saint-Cloud s'impose d'autant plus comme une évidence que, situé sur l'axe le plus touristique de la planète, l'axe Paris-Versailles, et à seulement cinq kilomètres de la capitale de la France, ce château s'il existait encore, compte tenu de sa magnificence, serait l'un des plus visités du monde.

    Aussi, s'inspirant des succès de deux chantiers de reconstruction autofinancée par les entrées payantes des visiteurs, ceux de la frégate l'Hermione à Rochefort et du château fort de Guédelon dans l'Yonne, notre association "Reconstruisons Saint-Cloud !" propose que la reconstruction du château de Saint-Cloud soit effectuée grâce à l'adoption de ce modèle économique; lequel aurait pour avantage de permettre, outre une reconstruction "gratuite" du monument, la création d'un musée vivant des métiers d'art.

    Sur un plan médiatique, fort bien accueillie par la presse, notre initiative a déjà fait l'objet de près d'une vingtaine d'article élogieux. Sur un plan politique, désireux que notre projet soit l'un des grands thèmes culturels des prochaines élections régionales, et cherchant à créer un vaste consensus politique, c'est désormais la moitié des groupes du Conseil Régional d'Ile-de-France qui soutient notre action, soit 5 groupes sur 10. Et le premier à nous soutenir fut le groupe "Démocrate et Centriste", au travers d'un courrier signé de M. Antoine Dupin, président de la fédération des Hauts-de-Seine du MoDem. Comme vous le verrez en vous rendant sur notre site internet où vous seront données toutes les informations que vous pouvez désirer : http://www.reconstruisonssaintcloud.fr

    Laurent Bouvet,
    Président de l'association "Reconstruisons Saint-Cloud !"
    Source : http://www.mon92.com/2009/11/un-projet-de-reconstruction-du-chateau-de-saint-cloud.html

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  • Le château de Montlhéry sera peut-être reconstruit

    Le château de Montlhéry sera peut-être reconstruit

    Ultime vestige du passé, la tour, rénovée, rouvrira en 2010, mais le maire envisage de lancer une souscription afin de reconstruire le château tout entier, à l’identique !

    Florian Loisy | 06.11.2009, 07h00

    Un projet chasse l’autre. Depuis quinze ans, les Essonniens attendent que la tour de Montlhéry soit à nouveau accessible. Ce monument phare dans le département, vestige d’un château du XIIIe siècle, a été totalement réhabilité et va rouvrir début 2010. Mais le maire  de la commune, Claude Pons, n’entend pas s’arrêter là et laisser ce joyau au milieu d’une colline en friche.

    Il veut désormais… reconstruire à l’identique l’ensemble du château de Montlhéry qui a abrité notamment treize rois de 
    « Bien sûr, cela ne se fera pas avant vingt-cinq ou trente ans, mais on doit travailler sur ce dossier dès à présent », avance Claude Pons qui a commandé hier un devis de la reconstruction du château auprès de l’entreprise ayant oeuvré sur la réhabilitation de la tour. « Il faudra que ce chantier ne coûte rien au contribuable, poursuit le maire de Montlhéry. On veut lancer une souscription nationale ou internationale. » Claude Pons s’est donc entretenu avec la Fondation du Patrimoine à ce sujet.
    « Ce projet nous intéresse, indique-t-on au sein de l’unique organisme privé habilité à octroyer des déductions d’impôts aux donateurs. Mais un château, c’est bien plus gros que tout ce que nous soutenons habituellement. » Malgré tout, il ne sera pas simple de convaincre la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et sa commission d’experts plus enclins à préserver des monuments existants. « Nous ne ferons aucun commentaire sur ce dossier, annonce-t-on à la Drac. Mais il n’y a rien d’impossible, techniquement parlant. »
    Reste l’aspect , encore inconnu. Au château de Guédelon (Yonne), où l’on construit un château fort de toutes pièces depuis 1997, les responsables n’ont pas eux-mêmes conscience du coût total de leur « folie ». « Nous avons 50 corps de métier qui oeuvrent pour une trentaine d’années, lâche-t-on simplement. Pour les matériaux, c’est difficile à dire. Cela se chiffre en millions d’euros au final, mais combien exactement… »
    Les adhérents de la Société historique de Montlhéry embraient : « A Montlhéry, le problème sera plus compliqué encore que de construire à partir de rien. L’une des tours d’angle, par exemple, est complètement désaxée, il faudra la redresser. Mais ce serait un magnifique rêve de retrouver un château ici. » A l’heure actuelle, il ne reste que les 3 ou 4 m de base des murailles. La cave est condamnée, mais l’ouverture existe encore. Le pont-levis a été remplacé par une grille. Malgré tout, au milieu des hautes herbes et vu du haut de la tour, on devine les contours de cette forteresse qui ne demande qu’à renaître.

     

     

    Le Parisien

    Source : http://www.leparisien.fr/essonne-91/le-chateau-de-montlhery-sera-peut-etre-reconstruit-06-11-2009-701110.php

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  • Château de Vallery

    Château de Vallery

    Vue générale du domaine au XVIe siècle.
    Vue générale du domaine au xvie siècle.

    Présentation
    Période ou style Architecture Renaissance
    Type Palais
    Début construction 1548
    Propriétaire initial Jacques d'Albon de Saint-André
    Destination initiale Résidence
    Propriétaire actuel société privée
    Destination actuelle Lieu de réception
    Classement Monument historique (1946)1
    Site internet Consulter
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    48° 14′ 29″ Nord
    3° 03′ 02″ Est
    Pays France France
    Région Bourgogne
    Département Yonne
    Commune Vallery
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Vallery

    Le château de Vallery, de style Renaissance, est situé en Bourgogne dans le département français de l'Yonne sur la commune deVallery.

    Ce château fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques2 depuis le 12 juillet 1946.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    Portrait de Jacques d'Albon vers 1562
    Armes de la maison de Condé à partir de 1588

    Construit sur l'emplacement d'un château fort du xiiie siècle dont subsiste une enceinte, il fut élevé à partir de 1548 pour le maréchal de Saint-André qui en avait acquis les terres le 16 avril de la même année. Son élévation fut confiée à Pierre Lescot et le chantier fut rapidement mené car le palais était déjà bien avancé en 1550, date à laquelle le roi Henri II et sa cour y séjournèrent. De somptueuses fêtes y furent données à cette occasion comme à celles d'autres passages du roi et de hauts personnages du moment.

    Deux ans après la mort du maréchal de Saint-André, survenue en 1562, sa veuve Marguerite de Lustracdonna la propriété à Louis de Bourbon, prince de Condé3. Le château resta dans la maison de Condéprès de deux siècles. Cette terre de Vallery reçut les sépultures de plusieurs princes et princesses de Condé. Pour les accueillir, un magnifique mausolée en marbre, réalisé en 1646 par le sculpteur Gilles Guérin, fut érigé dans la chapelle du château en l'honneur d'Henri II de Bourbon-Condé, père du Louis II de Bourbon-Condé, dit le Grand Condé.

    En 1740, Elisabeth-Alexandrine de Bourbon-Condé céda la propriété à Jacques Cordier de Launay, seigneur de La Verrière. Sa petite fille, Renée-Pélagie Cordier de Launay de Montreuil, épouse dumarquis de Sade, y habita un temps avec son célèbre mari. La famille De Launay vendit le château en 1821 au général Louis-Marie Lévesque de la Ferrière, Comte d'EmpirePair de France, enterré en 1834 à Vallery dont il avait été le maire.

    En 1682, l'aile sud avait été démolie et des transformations apportées progressivement aux bâtiments durant le xviiie siècle. Mais dès le début du xixe siècle, des modifications, plus que hasardeuses, accélérèrent la longue dégradation du château. Charles-Michel Cordier démolit la partie nord de l'aile ouest, dérasa la galerie, détruisit le dernier étage carré et les combles du pavillon d'angle. Il rétablit des toits plus bas et compléta les façades par des pastiches. De nombreuses réfections des intérieurs, dont le cloisonnement de la galerie, intervinrent encore dans la seconde moitié de ce siècle.

    Le xxe siècle laissa le château se détériorer dans l'ombre de son passé illustre. Depuis 1989, il sert à l'organisation de fêtes de mariages par une société privée.

    Description [modifier]

    Façades intérieures du château de Vallery

    La construction était de fort belle facture à tel point que Jacques Androuet du Cerceau la compare à celle du Louvre de l'époque dans son ouvrage Les plus excellents bastiments de France, tout en précisant que les matériaux utilisés diffèrent complètement, ainsi que sa conception, mais que la beauté de l'œuvre les réunit.

    Suivant la description faite par cet architecte, l'ensemble était principalement composé de deux corps d'hôtel avec un pavillon faisant l'angle (à l'image de celui du Louvre sous Henri II), le tout érigé à la mode antique de l'époque. Les murs étaient faits de pierres blanches et de briques, tant dehors qu'à l'intérieur, décorés de moulures et autres enrichissements. Du marbre polychrome rouge et noir ornait également les façades.

    L'enceinte médiévale fermait la propriété qui était entourée partiellement d'un parc clos planté de vignes issues de cépages variés.

    A quelques distances du château, un vaste jardin fermé se terminait sur une longue galerie de 29 arceaux reliant un pavillon à chacune de ses extrémités. Une chaussée séparait la galerie du jardin, lui-même traversé en son milieu par un étang.

     

     

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Vallery

     

  • Château de Wineck

    Château de Wineck

    Le Château de Wineck

    Le Château de Wineck (à ne pas confondre avec le château du Wineck, dans la commune de Katzenthal, près de Colmar) se situe dans l'écart deWineckerthal, sur la commune de Dambach, dans le département du Bas-Rhin.

    Histoire [modifier]

    Le château est édifié vers l'an 1300 pour la famille de Windstein. Il est sans doute conçu comme un poste d'observation destiné à compléter le système défensif du château de Schœneck dont il est peu éloigné.

    Il est démantelé à la fin du xviie siècle sur ordre du roi de France.

    Installé sur une crête rocheuse, le château n'a conservé qu'une partie des murs en pierres de taille avec chaînes d'angles à bossage rustique du donjon polygonal, servant autrefois de bouclier au logis modeste disparu depuis.

    On y accède par une galerie creusée dans la rocher, avec porte à mi hauteur de la falaise. La basse-cour, du côté Est, est limitée par une enceinte en partie conservée.

    Accès [modifier]

    Dans le village de Dambach, se diriger vers l'écart de Wineckerthal.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Wineck

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