Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Châteaux de France et d'ailleurs - Page 73

  • Château féodal de Sancerre

    Château féodal de Sancerre

    Château féodal de Sancerre
    Les vestiges du château dominant la ville de Sancerre

    Période ou style Médiéval
    Type Château fort
    Classement Donjon inscrite MH (1949)

    Latitude
    Longitude
    47° 19′ 52″ Nord
    2° 50′ 27″ Est
    Pays France France
    Région historique Berry
    Région Centre
    Département Cher
    Commune Sancerre
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Sancerre

    Le Château féodal de Sancerre a été l'un des plus forts châteaux du Moyen Âge construits en France.

    Il fut le siège des comtes de Sancerre dont des membres de la famille furent Grands Officiers du royaume de France : comme Louis de Sancerre, Connétable de France. Le futur Charles VII et Jeanne d'Arc séjournèrent au château de Sancerre, alors place stratégique à la frontière du « Royaume de Bourges ».

    La ville de Sancerre était anciennement fortifiée. Elle était construite sous le château, fermant l'accès à la pente la moins escarpée de la montagne. Construit sur le sommet d'une montagne isolée des collines du Sancerrois, il en reste cependant l'ancien donjon, la Tour des Fiefs. En effet, le château et les remparts de la ville furent démolis en 1621.

    Il reste peu de traces de ses fortifications seulement des fondations, des caves ou des parties de remparts. L'emplacement de l'ancien château est aujourd'hui occupé par un hôtel particulier (1874) de style Louis XII et par un parc privé, propriétés de la SociétéMarnier-Lapostolle.

    La Tour des Fiefs fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques1 depuis février 1927.

    Notes et références [modifier]

    1. Notice no PA00096902 [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture

    Voir aussi [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_féodal_de_Sancerre

  • Château de Pesselières

    Château de Pesselières

    Période ou style Médiéval
    Début construction xiie siècle
    Propriétaire initial famille de Livron

    Latitude
    Longitude
    47° 12′ 58″ Nord
    2° 46′ 42″ Est
    Pays France France
    Région historique Berry
    Région Centre
    Département Cher
    Commune Jalognes
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Pesselières

    Le château de Pesselières est sur les terres de la seigneurie de Pesselières dans la paroisse de Jalognes et partie celle deGroises dans le département du Cher. Cette terre consiste en un fort et ancien château, en justice haute, moyenne et basse, plusieurs estangs et domaines. Elle est à dix lieues de Bourges et à trois de Sancerre. La justice et seigneurie de Pesselièressont fiefs mouvants du Comté de Sancerre. La justice ressortit au bailliage de Sancerre.

    Sommaire

    [masquer]

    Histoire [modifier]

    Les seigneurs et barons de Pesselières ont été de tout temps reconnus pour maréchaux du Comté de Sancerre, et en cette qualité ils avaient le droit de conduire tous les vassaux et arrière-vassaux convoqués pour assister à la première entrée du comte de Sancerre en sa ville, et le droit très lucratif de s’approprier le cheval que montait le comte à son entrée ainsi que toute la vaisselle dont on se servait ce jour-là à la cour comtale. Ce droit fort étrange donna lieu à de nombreuses difficultés et les Comtes transigèrent régulièrement en cédant des terres aux seigneurs de Pesselières.

    En 1170, il est fait mention pour la première fois de la seigneurie de Pesselières, possession de la famille de Livron. En 1228, Pierre de Livron (1209-1257), chevalier, seigneur de Pesselières en Berry1 part pour Compostelle avec tout un groupe, sans doute derrière le comte de Sancerre. Son départ est connu grâce à une donation faite à ce moment-là reçue par l'abbaye Notre-Dame de Lorroy en Berry : « A tous ceux qui contrôleront les présentes lettres, P. archiprêtre de Sancerre, adresse son salut dans le Seigneur, sachez que le seigneur Pierre de Livron, chevalier, un de ceux qui partent à Saint-Jacques, pour augmenter les aumônes de sa chapelle de Pesselières…2 » 3 ou prieuré fondé la même année dépendant de l'Abbaye de Saint-Satur4.

    Vers 1380, le « château et maison forte » de Pesselières passe à la famille La Porte et y reste jusqu’à 1639. Louis de La Porte (1338-1370) fut le premier des six chevaliers bacheliers de la compagnie de Jean III de Sancerre. Hugon de La Porte, chevalier, baron de Pesseliere, fut gentilhomme domestique de Jean, duc de Brabant, et fut nommé son grand archier de corps par lettres patentes du 7 juin 1404. Les La Porte portait "D'or, à une bande d'azur".

    Pendant les guerres de religion, Pesselières est occupé successivement par les troupes de la ligue en 1589 puis par celle des royalistes en 1591. Il est alors fortement endommagé.

    En 1639, Jean de Guibert acquiert les terres de Pesselières de la dernière héritière des La Porte, demoiselle Anne de Rochechouart veuve de Claude de La Porte, et entreprend d'importants travaux en 1640. L'étonnante porte d'entrée à bossage sur la cour, des cheminées monumentales encore en place datent de cette époque ainsi que l'aile en retour au sud-est. Parmi les Guibert on note Jean-Louis, chancelier en l'Eglise cathédrale, et Université de Bourges, seigneurs de Pesselières, de Jalognes, en partie de Groises. Il portait "D'azur, au lion couronné d'argent, armé et lampassé de gueules".

    En 1693, les Guibert cèdent Pesselières à François Robert, sieur du Verger, famille qui a pour auteur Antoine Robert, anobli par le roi Louis XI, au mois de juillet 1481 lequel était notaire et secrétaire de ce prince en l'an 1482 et mourut à Amboise le 20 mars 1483. François Robert en fait le dénombrement en 1700. Il portait "D'azur, à trois pâtes de griffon d’or".

    En 1705, c’est le Marquis de Puységur et la famille Chastenet de Puységur qui en deviennent propriétaire5. À la révolution, le marquis de Puységur demeure à Pesselières. Il est emprisonné sous la terreur, libéré et meurt sur ses terres en 1810.

    Sous l’Empire et la Restauration, Le château et ses terres sont entre les mains de Monsieur Boin, président du tribunal civil de Sancerre. Il édifie en 1820 une chapelle à l’entrée du Parc. En 1835 Madame de Mager, parente des Puységur, acquiert Pesselières des héritiers Boin. Elle est la veuve du Colonel Collard, officier du Roi en 1773, puis des armées révolutionnaires et enfin de Napoléon 1er qui le fait chevalier de la Légion d’Honneur à Schonbrunn en 1809.

    Les Collard demeurent propriétaires de Pesselières jusqu’à la fin des années 1980. Après une période d’abandon et de nombreuses vicissitudes, Pesselières est l'objet de travaux de restauration depuis la fin des années 90.

    Architecture [modifier]

    Le plan du comté de Sancerre de 1674 donne la représentation du château après sa reconstruction partielle, un plan en U. Il est entouré de douves avec un châtelet d’entrée commandant le pont-levis. La porte d'entrée à bossage donne accès à un escalier en pierre rampe sur rampe.

    Des éléments architecturaux du xve siècle sont visibles sur l'aile nord-ouest son corps de logis central et sa tourelle d'escalier6.

    Le dénombrement de 1700 en précise la description : le château consiste en un grand corps de logis de face flanqué par derrière et au milieu d’une grande tour couverte d’ardoises, deux autres bâtiments avec ailes, comprenant une grande salle, plusieurs chambres hautes, chapelle et prison, pont-levis en planches et dormant en pierres à arcades, profonds et larges fossés remplis d’eau vive ; basse cour avec portail accompagné de deux tours, le tout environné de hautes murailles et fossés profonds, gros colombier en pierre.

    Après la Révolution, sous la Restauration, le pont-levis est remplacé par un pont dormant en pierre, les fossés par des vallonnements de gazons, les murailles et les fortifications rasées.

    Sous le Second Empire, une ferme modèle est reconstruite à la place de bâtiments de ferme jugés obsolètes.

    Vers 1880, le Colonel Collard fait démolir l’aile gauche du château ouvrant ainsi la vue sur le Parc et sa rivière. La tour est rehaussée et coiffée de créneaux, les ornements architecturaux des bâtiments revus dans le style néorenaissance. Les communs sont reconstruits et le colombier est déplacé.

    Les relevés les plus récents mettent en évidence la structure médiévale du corps central et confirment l’édification de l’aile en retour sud-est au xviie siècle sur une base plus ancienne.

    Le château de Pesselières est un Monument Historique protégé7.

    Parcs et jardins [modifier]

    Le plan actuel, datant de 1882, est de Louis Cottin, paysagiste à Nevers. C'est un parc à l'anglaise de forme triangulaire avec de larges ouvertures sur le paysage environnant. Aujourd'hui ses arbres plus que centenaires en sont l'un des nombreux attraits. Marronniers blancs et roses, ifs, magnolia, charmes, hêtres, noyers, chênes et érables forment un paysage harmonieux et paisible qui se parent de couleurs chaudes à l'automne. On y remarque également deux cèdres de l'Atlas, un majestueux cèdre du Liban ainsi qu'un spectaculaire hêtre pourpre.

    Le parc porte encore les traces d'un jardin à la française. On peut ainsi admirer une allée de buis tricentenaires de près de trois cents mètres de long ainsi qu'un canal alimenté en eau par deux sources.

    En 2009, un labyrinthe de charmille a été créé en façade et une centaine d'arbres d'essences variées ont été plantés dans le parc choisis tant pour leur aspect esthétique que pour leur intérêt botanique.

    Anecdotes [modifier]

    Une rue de Sancerre à proximité immédiate de ce qui fut autrefois l’Hôtel de Pesselières porte le nom du Sénéchal de Pesselières.

    Chaque année le 1er juin a lieu à Pesselières la seule survivante de l’une des quatre foires annuelles datant du haut Moyen Âge, réputée la plus ancienne de France avec celle deBeaucaire.

    Sources [modifier]

    • La Thaumassière, Histoire du Berry, 1689
    • Buhot de Kersers, Histoire et Satistiques monumentales du Cher, 1895
    • Gustave Bourra, Histoire de Sancerre, 1877
    • Malfuson, Histoire de Sancerre, 1826
    • Vicomte de Brimont, Le XVIème siècle et les guerres de réforme en Berry, 1905
    • Fernand Foucher, Pesselières, une convergence séculaire, 2000

     

    Notes [modifier]

    1. Cher, Pesselières, com. Jalognes, arr. Bourges, cant. Sancerre
    2. Arch. dép. Cher, Saint-Satur et Saint-Thibaut, liasse 2, chap. 3, archives de Loroy, liasse Ménetou-Salon, éd. Buhot de Kersers, (L.), Histoire et statistique monumentale du département du Cher, 8 vol., Bourges, 1898, t. VII, p. 96
    3. http://lodel.irevues.inist.fr/saintjacquesinfo/index.php?id=162#ftn8 [archive]
    4. sancerre.cg18.fr/jalognes/fiches/pesselieres-prieure/page.html
    5. Histoire et statistique monumentale du département du Cher. canton de Sancerre Buhot de Kersers 1893
    6. Notice no IA18000349 [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture
    7. Arrêté du Préfet de Région Centre pour l'Inscription MH, 2009

    Voir aussi [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Pesselières

  • Château du Hallier

    Château du Hallier

    Château du Hallier (Eure-et-Loir)
    Vue générale de l'édifice

    Période ou style XIXe
    Type Manoir
    Propriétaire initial Famille Humbert

    Latitude
    Longitude
    48° 36′ 54″ Nord
    0° 49′ 48″ Est
    Pays France France
    Région historique Blason ville fr Chambellay (Maine-et-Loire).svg Perche
    Région Centre
    Département Eure-et-Loir
    Commune La Ferté-Vidame
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château du Hallier

    Le château du Hallier est un château du xixe siècle situé dans la commune de La Ferté-Vidame, en Eure-et-Loir.

    Aussi appelé "Château Humbert", il a appartenu à la famille Humbert jusqu'au milieu du xxe siècle.

    Notes et références [modifier]

    Voir aussi [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_du_Hallier_(Eure-et-Loir)

  • Château de Menars

    Château de Menars

    Château de Menars
    Le château de Menars et la Loire

    Période ou style Classique
    Type Château
    Architecte Ange-Jacques GabrielJacques-Germain Soufflot
    Début construction c. 1646
    Fin construction c. 1775
    Propriétaire initial Guillaume Charron
    Destination initiale Habitation
    Classement Classé MH (1949)

    Latitude
    Longitude
    47° 38′ 20″ Nord
    1° 24′ 37″ Est
    Pays France France
    Région historique Touraine
    Région Centre
    Département Loir-et-Cher
    Commune Menars
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Menars

    Le château de Menars est un château des XVIIe et XVIIIe siècles situé à Menars (Loir-et-Cher).

    Il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques1 depuis février 1949.

    Sommaire

    [masquer]

    Histoire [modifier]

    Vers 1646, Guillaume Charron, conseiller du Roi et trésorier général de l'Extraordinaire des Guerres fait bâtir à Ménars, dans un site superbe dominant la Loire, un château composé d'un corps de logis et de deux pavillons.

    Son fils, Jean-Jacques Charron, président à mortier au Parlement de Paris et beau-frère de Colbert, en hérite en 1669. Il fait ajouter au château deux ailes inégales et agrandit considérablement le domaine que Louis XIV érige en marquisat en 1676.

    En 1760, Ménars est acquis par Mme de Pompadour, qui charge l'architecte Ange-Jacques Gabriel de construire deux nouvelles ailes de part et d'autre des deux pavillons, pour remplacer celles édifiées au XVIIe siècle.

    Pour briser l'uniformité de la façade, Gabriel couvre ces deux ailes de toits plats « à l'italienne ». De chaque côté de la cour d'honneur, il bâtit en outre deux pavillons : le pavillon de l'Horloge à droite, qui renferme les cuisines, reliées au château par un souterrain, et le pavillon du Méridien à gauche, où se trouve la conciergerie. Il dirige également d'importants travaux d'aménagement intérieur.

    En 1764, à la mort de la marquise, le domaine passe à son frère, Abel-François Poisson de Vandières, marquis de Marigny, directeur général des Bâtiments du Roi. De nouveaux travaux sont réalisés sous la direction de Jacques-Germain Soufflot. Côté cour, le corps de logis est doublé par un corps en rez-de-chaussée couvert à l'italienne, tandis que les ailes édifiées par Gabriel sont dotées de combles à la française.

    Après 1830, le prince Joseph de Riquet de Caraman crée au château un établissement dénommé « Prytanée » qui vise à réunir des jeunes gens de conditions et de nationalités différentes pour leur donner une éducation commune. À cet effet, il fait bâtir un vaste établissement à l'est de l'avant-cour, en partie conservé, ainsi qu'une petite usine à gaz pour fournir le gaz d'éclairage au collège.

    Architecture [modifier]

    En dépit des adjonctions successives, le château de Menars conserve une simplicité de parti et de construction, non dénuée d'une certaine austérité, dans laquelle se retrouve l'esprit originel du château du XVIIe siècle. Ce dernier est encore parfaitement lisible, avec son corps central et ses deux pavillons entre lesquels s'insère le corps ajouté par Marigny et que prolongent les deux ailes créées par Gabriel.

    Le corps central en rez-de-chaussée présente de nos jours une grande galerie, créée en 1912 par la réunion de trois pièces. Le corps de logis présente toujours trois grandes pièces – ancien vestibule au centre, "salle du Dais" à gauche et ancien "salon de compagnie" à droite – ornées de boiseries dessinées par Gabriel, ainsi que de cheminées surmontées de miroirs.

    L'escalier de pierre et les lambris d'acajou du corps de bibliothèque du premier étage, datent des transformations effectuées par le marquis de Marigny.

    Des factures de l'ébéniste parisien Jean-François Oeben mentionnent la livraison d'une série de commodes en acajou « à la grecque » pour le château de Ménars.

    Jardins [modifier]

    Jean-Jacques Charron, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, fit aménager un parc à la française avec parterres, boulingrins, canal et pièces d'eau et deux avenues « plantées d'ormes à quatre rangs, l'une de six cents toises et l'autre de quatre cents » d'où la vue embrasse la Loire et la campagne alentour.

    Un siècle plus tard, Marigny consacra tous ses soins à l'aménagement du parc dans lequel il présenta une partie de sa prestigieuse collection de sculptures. Devant le château, à la place de l'ancien étagement de parterres, il fit créer une large terrasse. Il mit les jardins au goût du jour en y faisant édifier de nombreuses fabriques.

    Un jardin à l'anglaise fut créé dans le Bois-Bas, petit ravin situé à l'Ouest, que Marigny planta de bosquets d'arbres d'essences diverses, abritant des cabinets de treillage, dont l'un renfermait une célèbre machine hydraulique, conçue par le mécanicien Loriot.

    Au bord de la Loire, un Désert fut aménagé dans une ancienne sablière et orné d'une grotte artificielle.

    Au pied du château, la rotonde de l'Abondance, construite par Soufflot, permet de passer du sous-sol du château à l'intérieur de l'orangerie. Elle abritait à l'origine une statue de l'Abondance par Lambert-Sigisbert Adam dit « l'aîné », remplacée ensuite par un Louis XV par Nicolas Coustou, lui-même remplacé aujourd'hui par une copie de la Vénus de Médicis parJean-Jacques Clérion.

    Vers l'Est, la terrasse se termine par un rond-point où Marigny fit bâtir un kiosque dans le goût chinois dessiné par Charles De Wailly.

    Entre la terrasse et la route s'ordonnaient une série de charmilles, de treillages, de salons de verdure ainsi qu'un potager.

    En contrebas, autour d'une petite source, Soufflot a créé un magnifique nymphée dont la serlienne en façade et, à l'intérieur, l'ordre dorique sans base révèlent l'inspiration italianisante.

    Le petit parc avec ses jardins, ses terrasses, ses rampes d'accès ainsi que la rotonde, le nymphée et le bassin ont été classés monuments historiques le 21 août 1986 Château de Menars, sur la base Mérimée, ministère de la Culture.

    Notes et références [modifier]

    1. Notice no PA00098477 [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture

    Bibliographie [modifier]

    • Jean Chavigny, Le Chateau de Ménars - Un des joyaux du Val de Loire, Librairie des Champs-Elysées, 1954.

    Voir aussi [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Menars

  • CHAMBERY / ESTIVALES DU CHATEAU

    CHAMBERY / ESTIVALES DU CHATEAU
    Lancement ce lundi soir avec un concert-spectacle... un château enchanté

    par La Rédaction du DL | le 13/06/10 à 05h04

    2 votes | 237 vues | 5 commentairesAgrandir Réduire Imprimer Envoyer


    Détail de la photo
    Photo

    0 vote 
    Vue 19 fois 
    0 commentaire

    Peindre en rouge, bleu et or les façades du château des Ducs de Savoie. Les transformer le temps d'une création aussi spectaculaire qu'éphémère. C'était le rêve de Damien Fontaine, le magicien de la Fête des lumières de Lyon. Compositeur et metteur en scène, il ouvrira lundi soir les 8es Estivales de Chambéry avec un spectacle mêlant musique, effets spéciaux et projections.

    Les spectateurs installés dans la cour d'honneur seront plongés dans un théâtre de plein air dont les décors changeront au gré de l'inspiration des artistes. Ils utiliseront 7 videoprojecteurs de forte puissance pour transformer les façades et les tours sous les effets en 2 et 3 dimensions.

    La magie des lumières

    Un rendez-vous de plus sur l'agenda très chargé des cérémonies marquant le 150e anniversaire du rattachement de la Savoie à la France. Mais il prendra lundi tout son sens sur le lieu même où s'est exercé le pouvoir de la Maison de Savoie avant qu'elle ne choisisse Turin.

    Un voyage dans le temps et le département. La cour deviendra une palette sur laquelle défileront les hauts sommets savoyards, les paysages apparaîtront en trompe-l'œil tandis que la musique électro-symphonique sera interprétée en direct par 40 musiciens.

    Le premier acte remontera le temps, évoquant les origines de la Savoie, avant de nous faire revisiter les sites emblématiques aux quatre saisons. Un autre acte mettra l'eau à l'honneur, avec une fresque gigantesque évoquant tout ce que les rivières, les torrents et les lacs ont apporté. Place enfin aux sports d'hiver qui ont changé la face des Alpes.

    En prélude au spectacle son et lumière de Damien Fontaine, les pianistes chambériens Pascal Gallet et Florestan Boutin ouvriront le festival en interprétant des œuvres de Milhaud, Dvorak et Poulenc à quatre mains.

    Vingt autres rendez-vous gratuits sont prévus tout l'été au Château des Ducs de Savoie...

    La suite du programme de l'été

    Mardi 15 juin : à 21 h 30, Choeur départemental et Orchestre des Pays de Savoie (Musique Classique).
    Vendredi 18 juin : à 20 heures, Awek, 100 % Stones (Blues Rock).
    Lundi 21 juin : à 20 heures, Fête de la musique : Jean Ngor Maack, Murray Head (Hip-Hop Jazzy et Soul/pop).
    Samedi 26 juin : à 20 h 30, Éric Bibb et Joe Louis Walker pour une "Nuit du blues".
    Mardi 29 juin : à 22 heures, Carmen arabo-andalouse (Opéra).
    Mercredi 30 juin : à 21 heures, "La flûte enchantée" d'après l'oeuvre de Mozart, par l'Orchestra de Piazza Vittorio.
    Jeudi 1er juillet : à 21 heures, Matt Bianco (Bossa nova).
    Jeudi 8 juillet : à 21 heures, Couleur Café (Vocal).
    Samedi 10 juillet : à 21 heures, les Tambours de Tokyo (Musiques du monde).
    Mardi 13 juillet : à 21 heures, les Tambours du Bronx (Percussions urbaines).
    Jeudi 15 juillet : à 21 heures, l'Orchestre départemental d'harmonie avec Vladimir Cosma (Musiques de films).
    Samedi 17 juillet : à 20 h 30, Porgy and Bess de George Gershwin. (Hors les murs), en retransmission à Aiguebelette sur la base d'aviron. 
    Lundi 19 juillet : à 21 h 30, Mission Florimont (Théâtre).
    Mardi 20 juillet : à 20 heures, Jean Sangally, Hocus pocus (Blues/Hip hop).
    Mercredi 21 juillet : à 21 h Film + acteur/réalisateur (Cinéma).
    Jeudi 22 juillet : à 21 heures, Carmen Maria Vega (Chanson française).
    Vendredi 23 juillet : à 21 heures, Johnny Clegg (Musiques du monde).
    Lundi 26 juillet : à 21 h 30, Marcio Local (Samba/soul).
    Mercredi 28 juillet : à 21 heures, Earth wind and Fire experience (Funky).
    Samedi 31 juillet : à Pralognan à 21 heures, Best of Pink Floyd par Floyd legend (rock).

    POUR EN SAVOIR PLUS

    Concert puis spectacle demain à partir de 21 heures dans la cour d'honneur du château des Ducs de Savoie. Le festival est gratuit. www.estivalesduchateau.com


    Paru dans l'édition 73A du 13/06/2010 (202827784546)
  • Actualité Château de Pommard

    Art en Bourgogne - Château de Pommard - Exposition d'Art

    Bourgogne - Exposition d'Art au Chateau de Pommard

    Pablo Picasso au Château de Pommard : quel bel endroit pour une nouvelle rencontre !

    Le Château de Pommard aime l’art et ses maîtres. Après Salvador Dali en 2009, il accueille en 2010 une exposition des œuvres de Pablo Picasso.
    Le propriétaire, Maurice Giraud, amateur et collectionneur aime particulièrement les grands artistes du XXème siècle qui sont à la fois des visionnaires et des héros, qui incarnent et inventent leur siècle au-delà des mouvements dans une expression protéiforme et universelle. C’est donc tout naturellement que l’une des plus prestigieuses appellations viticoles du monde accueille l’un des plus grands génies de tous les temps.
    Cette année encore, le Château de Pommard a confié à l’expertise reconnue des Galeries Bartoux le soin de sélectionner un événement à la hauteur du lieu. Forte de ses liens privilégiés avec la Fondation Stratton dont elles exposent régulièrement les remarquables collections dans des lieux prestigieux, les Galeries Bartoux ont choisi de présenter l’Inedited Collection de Picasso. Composée quelques années après la mort de ce dernier, elle rassemble des expressions diverses et majeures de l’artiste à travers des ensembles significatifs d’œuvres. Cette collection a pour vocation de susciter de nouvelles rencontres entre l’artiste et le public. A ce titre, le Château de Pommard, tant par la beauté du Domaine que par la sérénité qu’il inspire ne pouvait offrir plus bel écrin. 
    Picasso est l’un de ces rares artistes que chacun a l’impression de connaître et de reconnaître et dont on s’émeut de découvrir à chaque fois de nouvelles facettes. Un peu comme les millésimes du Château de Pommard qui révèlent chaque année leur personnalité unique tout en offrant de nouvelles expressions propres au terroir et à la vendange de l’année. 
    Le Château accueillera dans sa galerie, entre vignes et caveaux du XVIIIème siècle, trois moments et expressions rarement présentées ensemble de l’œuvre du maître espagnol qui témoignent de la flamboyance et de l’humanité de son génie.
    Château de Pommard
    15, rue Marey Monge BP 30018 - 21630 POMMARD
    Tel: + 33 (0)3 80 22 12 59 Fax: + 33 (0)3 80 24 65 88

    Source : http://www.art-en-bourgogne.com/