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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 65

  • Histoire des fortifications de Haute-Normandie , T1

    Châteaux forts et autres fortifications en Haute-Normandie

    Histoire des fortifications de Haute-Normandie , T1Guy Le Hallé

    Je vous recommande vivement cet excellent livre !  

    Arnaud MERCIER - chateaux.hautetfort.com

    POUR EN SAVOIR PLUS 

     

  • Cartes des châteaux se trouvant sur chateaux.hautetfort.com

    Rajout des châteaux suivant sur la carte :

    - Château de Dieppe

    - Château de Miromesnil (Lieu de naissance de Guy de Maupassant)

    - Château d'Arques la Bataille (12ème siècle)

     


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  • Château de Miromesnil

     

    Construit en 1590 sur les ruines d’un ancien château détruit pendant la bataille d’Arques, le château de Miromesnil témoigne de quatre siècles d’histoire architecturale. 
    Les lignes épurée de la façade sud d’époque Henry IV contrastent avec la profusion décorative de la façade nord dans le style Louis XIII monumental.

    Malgré la succession des nombreux propriétaires, le château a su conserver des éléments de décors des siècles passés : boiseries des XVIème et XVIIIème siècle, éléments de ferronnerie, moulures du XIXème siècle. Le mobilier (canapés, commode, cabinet) retrace la vie au château au XVIIIème siècle.

    Au rez-de-chaussée de l’une des tour, un petit salon a été remanié dans le style XIXème, évoquant la présence de la famille des Maupassant entre 1849 et 1853.

    LA FAMILLE HUE 

    Elle s'allie au XVIIème siècle avec les familles Dyel, acquit le nom « Hue de Miromesnil ». Le plus illustre, Armand Thomas Hue, est né en 1723 sur les terre de Latigny. Il est nommé premier président du parlement de Rouen, en 1757.
    A la suppression des parlements en 1771, réforme à laquelle il s’était opposé, il s’exile sur ses terres de Miromesnil. Louis XVI le nomme Garde des Sceaux sur les conseils avisés du comte de Maurepas. Son nom reste attaché à la suppression de la question préparatoire (ultime torture avant l’exécution des prisonniers).
    Pendant la révolution française, il demande à participer à la défense de Louis XVI. Il est arrêté par le comité du salut public et emprisonné. Libéré, il s’exile dans son marquisat de Miromesnil pour y mourir en 1796. 


    GUY DE MAUPASSANT

    Ecrivain normand, il est né dans le château le 5 août 1850. Ses parents, locataires du château, y sont restés 4 ans. Des archives relatives à la naissance de Maupassant : lettre de sa mère, actes de l’état civil, sont présentées. 
    Bien que Maupassant soit parti à l’âge trois ans, il écrit une nouvelle « le rendez-vous », où il cite la rue Miromesnil, lieu de rencontre de madame Haggan avec le beau vicomte de Martelet, son amant. 


    LE COMTE ALBERT DE HUN

    Né en 1844, il est le fondateur du catholicisme social est un ancêtre des propriétaires actuels. En 1938, sa petite-fille, Simone de Vogüé achète le château. Aujourd’hui le château appartient aux descendants du comte de Vogüé.

    Lors de la visite, les souvenirs (bréviaires, livres, gravures) des grands hommes qui ont habité le château sont présentés.



    Sources : http://www.chateauxcountry.com/fr/chateau_de_miromesnil-786/

    http://www.chateaumiromesnil.com/chateau_visite.html

     

  • Saint Projet. Le château est ouvert

    Saint-Projet. Le château est ouvert

    Saint-Projet. Le château est ouvert
    Saint-Projet. Le château est ouvert
    Saint-Projet. Le château est ouvert

    Le château de Saint-Projet, qui abrita la reine Margot et qui reçut le roi Louis XIII, vit par ses animations. En effet, des visites guidées sont organisées tous les samedis et dimanches en octobre et novembre pour découvrir ce symbole de la renaissance gardant des traces médiévales et contenant du mobilier remontant au gothique. Un espace boutique a été crée pour agrémenter les visites et un film proposé dans le hall du château retrace son historique. Au rez-de-chaussée, plus de 250 places assises et plus de 300 au premier étage avec entre autres la salle des gardes; la pièce des chevaliers, le grand salon, le petit salon, la chapelle, la salle des réceptions, la salle Louis Pouzergues.

    Renseignement: 05 63 65 74 85 ou 06 83 97 19 63.

    Site Internet: www.saint-projet.com mail: bergaul(@)voila.fr

    Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/16/928822-Saint-Projet-Le-chateau-est-ouvert.html

  • Château de Villemartin

    Ancien château de Villemartin (portail sur cour)

    Ancien château de Villemartin (portail sur cour)

    Ancien château de Villemartin (portail sur cour)


    Manoir rural plutôt que château, Villemartin est un rare exemple de demeure campagnarde de la région d'Étampes antérieure à la période des guerres de Religion. L'existence du domaine est attestée en 1472. En 1556, celui-ci est affermé à Charles de Groux, procureur de la chambre des Comptes, également seigneur des Petites Poeslées. Le manoir hérite d'une enceinte au XVe siècle. Le portail sur cour est flanqué de deux tourelles en encorbellement, percées d'archères. D'autres tourelles, également en encorbellement, occupent les angles de l'enceinte.

    Source : http://fr.topic-topos.com/ancien-chateau-de-villemartin-portail-sur-cour-morigny-champigny

  • Château de Courances

    Château de Courances

    Le château fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 27 juin 19831.

    Sommaire

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    Situation [modifier]

    Localisation du château de Courances dans l'Essonne.
    Château de Courances
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    Localisation du château de Courances dans l'Essonne.

    Histoire [modifier]

    En 1552Côme Clausse, notaire et secrétaire du Roi, acquiert de la famille Lapite un logis seigneurial situé à Courances, à l'extrémité ouest de la forêt de Fontainebleau.

    A sa mort, en 1558, la terre est attribuée à son fils cadet Pierre, secrétaire de la chambre des Comptes, puis à son petit-fils François, qui la cède en 1622 à Claude Gallard, notaire et secrétaire du Roi.

    Architecture [modifier]

    C'est sans doute Claude Gallard qui fait construire un château de plan « en H » élevé sur une plateforme quadrangulaire entourée de douves, connu par des gravures d'Israël Henriet et Israël Sylvestre (vers 1650).

    Au xviiie siècle, le château est mis au goût du jour d'abord par Anne-Catherine Gallard, veuve de Nicolas Potier de Novion, qui ouvre la cour d'honneur en faisant démolir le mur et le portique d'entrée, puis par sa petite-fille Léontine-Philippine de Novion et son mari Aymar de Nicolay qui modernisent le château (1775-1777) en faisant ouvrir de nouvelles baies et en faisant ajouter un vaste fronton sur chaque façade.

    En 1830, les Nicolay abandonnent le château, qui est racheté en 1872 par le banquier berlinois et baron Samuel de Haber. C'est pour lui que Gabriel-Hippolyte Destailleur entreprend la restauration du château dans le style Louis XIII.

    La campagne de travaux menée de 1873 à 1884 fait apparaître la brique par la suppression des crépis, exhausse les combles des pavillons, ajoute sur les toitures des ornements enzinc.

    L'escalier d'apparat intérieur est démoli et des degrés monumentaux inspirés de celui du palais de Fontainebleau sont plaqués sur chacune des façades.

    Une nouvelle aile, à comble brisé, est élevée sur l'emplacement des anciennes cuisines pour abriter les appartements de maître et reliée par une galerie à l'aile ancienne. Il édifie également de nouveaux communs, détruits en 1976 par un incendie.

    En 2010, ses lucarnes des années 1950 ont été restituées.2

    Un beau jardin de France [modifier]

    Le parc, considéré comme l'un des plus beaux de France, a été commencé au xvie siècle par les Clausse et achevé par les Gallard au milieu du xviie siècle.

    C'est de cette époque que datent l'allée d'honneur entre deux canaux et la grande perspective dans l'axe du château, avec ses canaux et ses bassins dont un long canal de 248 toises, des « nappes » et une « salle d'eau ».

    Au xviiie siècle, la marquise de Novion ajoute le magnifique miroir d'eau.

    En 1870, Destailleur transforme le parc en parc à l'anglaise.

    La marquise de Ganay, petite-fille du baron de Haber, fait rétablir un dessin à la Française avec l'aide du célèbre paysagiste Achille Duchêne.

    Elle crée notamment le bassin du fer à cheval et la fontaine d'Aréthuse, surmontée d'une nymphe en marbre sculptée en 1711 par Claude Poirier pour le parc de Marly (statue acquise en2005 par le Musée du Louvre).

    En 1930, elle crée un jardin « anglo-japonais ».

    Les jardins de Courance — sans « s » final — sont décrits par Ernest de Ganay dans Beaux Jardins de France (Plon, 1950, p. 1113 à 1116), dédié à Lucien Corpechot.

    Le parc du château est labellisé « Jardin remarquable ».

    Architecture [modifier]

    Galerie [modifier]

    Pour approfondir [modifier]

    Articles connexes [modifier]

    Liens externes [modifier]

    Bibliographie [modifier]

    Sources [modifier]

    1.  Ministère de la Culturebase Mérimée, « Notice no PA00087871 [archive] » sur www.culture.gouv.fr [archive].
    2.  Claire Bommelaer, « Courances retrouve son "état d'origine"... ou presque », Le Figaro, 27 août 2010

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Courances