C'était VersaillesAlain Decaux 

• Etude (broché). Paru en 05/2007

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Versailles, le chantier du roi Louis XIV

Versailles, le chantier du roi Louis XIVFrédéric Tiberghien

• Biographie (poche). Paru en 10/2006

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Versailles fut le plus grand chantier d'Europe au XVIIe siècle : 53 années de travaux ; 36 000 hommes mobilisés ; des dizaines de milliers de tonnes de pierre, de marbre, de tuyaux de fonte ou de charbon employés ; des millions d'arbres prélevés dans les forêts ; 7 700 000 mètres cubes de retenues d'eau ; 120 000 mètres carrés de toitures... pour un montant de 100 millions de livres. Et un château finalement payé partiellement à crédit ! Ce livre raconte comment toutes les ressources de la France ont été mobilisées par une centaine d'hommes, Louis XIV en tête, pour orchestrer ce chantier et contribuer à la gloire du Roi-Soleil.

Frédéric Tiberghien, maître des requêtes au Conseil d'Etat, a eu accès à des archives inédites. Il explique tout à la fois l'origine du projet, la vie quotidienne sur le chantier, les intrigues de pouvoir et les arrangements financiers qui ont jalonné la construction du château.

Extrait du livre :
Un grand chantier au dessein changeant : d'une maison de campagne à un lieu de résidence pour la cour et au siège du gouvernement

Versailles est né sous les auspices de la chasse et du divertissement. Louis XIII, jeune dauphin, y chassa pour la première fois en 1607 au faucon et à l'émerillon. Il aima ce lieu isolé et désert et y fit construire en 1623 par un maître maçon parisien, Nicolas Huau, un relais de chasse de petite dimension - un corps central de trente-cinq mètres sur six et deux ailes en retour - sur une butte occupée par un moulin à vent.
Partageant la passion des Bourbons pour la chasse, Louis XIV, né en 1638 au château de Saint-Germain, y chassa à son tour dès 1651 à l'âge de douze ans, en compagnie de son gouverneur, le maréchal de Villeroy.
Il ajoute rapidement le divertissement à la chasse : Versailles abrita ses premières amours avec Louise de la Vallière. «Il s'en servait pour être plus en particulier avec sa maîtresse», note Saint-Simon.
Quittant Saint-Germain, où il s'était réfugié pendant la Fronde le 6 janvier 1651, le roi revint à Paris le 21 octobre 1652 et s'installa au Louvre. Malgré les grands travaux qui y furent conduits ainsi qu'aux Tuileries, il préféra s'établir à Saint-Germain en janvier 1666, dès la mort d'Anne d'Autriche. Saint-Germain reste la principale résidence royale entre 1666 et 1682, résidence d'où le roi peut facilement se rendre à Versailles pour chasser, surveiller les travaux ou organiser de brillantes fêtes. Mais Versailles demeure une résidence privée où le roi ne passe que quelques jours par an et peut éventuellement y tenir son conseil. Les travaux de l'avant-cour en 1662 puis la reconstruction entreprise entre 1668 et 1670 ne changent pas la nature strictement privée de cette résidence. A cette époque, le roi et sa cour continuent en effet à se déplacer fréquemment, en Ile-de-France ou sur les bords de la Loire.
Les premiers grands aménagements de Versailles affectent les jardins, les bassins et les bosquets où, faute de place dans le petit château qui n'est qu'une maison de campagne, sont organisées entre 1663 et 1674 de célèbres fêtes en plein air, en particulier les Plaisirs de l'île enchantée en mai 1664. Des constructions provisoires sont édifiées pour les fêtes : pour les réaliser, on fait souvent appel aux entrepreneurs qui réalisent les travaux au château. Dès 1666 les jardins s'agrémentent de grands jets d'eau, sans cesse perfectionnés pour en accroître la beauté et la puissance. En amont, ils génèrent d'importants travaux d'hydraulique.

Le Château de VersaillesPierre Verlet

• (donnée non spécifiée). Paru en 06/1985

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Ce livre a été écrit pour glorifier une oeuvre. Cette oeuvre est un château, l'un des plus célèbres du monde. Ce château, sommet de l'art classique français, fut une demeure habitée par des hommes, des femmes, des courtisans. Ce fut aussi, au long de son histoire, un chantier très actif. Il brilla, tout encombré des matériaux, des ouvriers, des échafaudages que reclamèrent sa construction, son entretien, les changements du goût. Il fut ordonné par quelques grands artistes, conduit par Louis XIV à sa perfection, encore embelli par Louis XV, Louis XVI et Marie-Antoinette, soumis ensuite à de longues tribulations, dénaturé, appauvri. Il a été cependant sauvé, au moins pour l'essentiel, bâtiments et jardins. Il nous faut le connaître mieux. L'auteur de ce livre a consacré une partie de sa vie à étudier Versailles. Le livre qu'il publia en 1961 fut vite épuisé. Il a été refondu, mis à jour, complété d'après les travaux les plus récents. Pierre Verlet fut élève de l'Ecole des Chartes, de la Sorbonne, de l'Ecole du Louvre et, pendant près de trente ans, à la tête du département des objets d'art des musées nationaux (Louvre, Cluny, Sèvres, musée Dubouché à Limoges), qu'il contribua à organiser, réinstaller et enrichir, soit par des achats fameux, soit plus encore par des donations somptueuses. Ses recherches personnelles l'ont conduit à la découverte d'une partie des anciennes collections royales françaises, mobilier notamment. De là l'espoir qu'il eut de voir Versailles remeublé comme au XVIIIe siècle, espoir auquel on ne doit pas renoncer. La vie du château réapparaît dans ce livre, qui est fidèle à la tradition de Pierre de Nolhac.

 

Le château de Versailles

Le château de VersaillesSabine Liéveaux-Boccador

• Document jeunesse (cartonné). Paru en 06/2009
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Extrait du livre :
LE CHAT EAU DE LOUIS XIII

L'histoire du château de Versailles commence en septembre 1623, lorsque le roi Louis XIII décide de faire construire un modeste rendez-vous de chasse sur une butte occupée par un moulin à vent dans le bourg de Versailles. Ce village, situé à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Paris et à une dizaine de kilomètres du château de Saint-Germain-en-Laye, compte quelques auberges prospères. A cette époque, ses habitants sont principalement des paysans.

Ypres Tower Site

Ypres Tower Site

The Ypres Tower Museum

The Ypres Tower on a summers day

The Ypres Tower is thought to have been built  in 1249 as part of the town’s defences and is the oldest building open to the public in Rye. The Tower has had a chequered history (seeHistory of Ypres Tower) and as you look round the inside you can see some of  those changes in the blocked windows and doorways.

 

From the balcony you can look over what was once one of the largest and most important harbours in the country. In the C16th it was England’s seventh busiest port; now there is farmland where once there was sea.   There are good views from the balcony in all directions, and guides to tell you what you are seeing. 

 

 In the Tower are various exhibits.  One of the newest is the Ypres Tower Embroidery,  created by a team of stitchers over a period of several years and depicting the Tower’s roles through nine centuries of history — as defence, private home, prison, mortuary, museum . . . .   One cell is now a Still Room showing the uses made of  herbs and other plants now being grown  in the Tower’s Medieval Garden.   In another cell there is medieval pottery made in Rye, which was very fine in comparison with pottery of a similar date made elsewhere. This probably reflects the prosperity of the town and also the skills brought from France, when the town was part of the lands belonging to the Abbey of Fecamp in Normandy.        

Smugglers Lantern

 

One object is  a very rare smuggler’s spout lantern, which allowed smugglers to signal to ships, without being seen by the Excisemen ashore.  For younger visitors there are feely socks – what is inside?, and various other games and puzzles to try–especially the popular Captain Pugwash Treasure Hunt (there is another of these at the East Street site) .

   

Up the winding and deliberateloy uneven stairs to the first floor you will find the Millienium Embroidery depicting many aspects of Rye life and history,  and a map showing the southeast shoreline dense with shipwrecks. 

 

 There is also a relief map which shows the development of the coastline over the last thousand years and how the Romans were able to sail over the area now known as the Romney Marsh at high tide and how, by Elizabethan times, the navigable area was far smaller and limited to Rye.   Compare what you have learned from the map with the views from the balcony today. 

 

It takes three to pull a Longbow!

 

  

The  exhbitions in the basement  appeal to children of all ages:  There are  replicas of  medieval weapons which you can hold and thereby feel their weight. There are examples of swords, armour and chainmail to view and also helmets you can wear and then be photographed, if you have a camera with you.  . 

 

 

You can test how strong you are and see if you could have been a medieval longbowman, by pulling a cord attached to a weight that is the equivalent of drawing a longbow. This is not for the faint hearted, and do be careful if you have any back problems, and generally take it gently!    

Val Gill in Medieval Costume in the Garden

There is also a re-creation of a medieval herb garden in what was the exercise yard.  On some days there is a gardener in medieval costume to show you around.

The garden can also be viewed from the balcony.  The plants there are ones medieval ladies would have grown and then taken to the Still Room where they would be dried and prepared for  for  medicinal, culinary and laundry  purposes

  The ground floor of the Tower has now been made accessible to those with a physical disability, but unfortunately the ancient nature of the building means that the basement and first floor are not accessible to those who find stairs difficult.

For six views from different sides of  the Tower balcony keep scrolling down. 

  

Source : http://www.ryemuseum.co.uk/index.php/museum-site/ypres-tower-site/

CARMEN - GRANDS AIRS ET DUOS

• CARMEN - GRANDS AIRS ET DUOS

• Opéra
• le 14/01/2011 à 21h00
• OPERA ROYAL - CHATEAU DE VERSAILLES 

• Place d'Armes 
  78000 VERSAILLES

Qui ne connaît Carmen ? L’opéra français le plus joué dans le monde, un chef-d’œuvre ! Les fréquents détournements de ses principaux thèmes prouvent assez que l'œuvre a dépassé le cadre de la scène pour entrer dans le patrimoine collectif. Et pourtant… on oublie souvent l’hostilité qu’elle déclencha à ses débuts... C’est à une évocation de la création d’un ouvrage, sortant des conventions installées depuis longtemps au théâtre, que ce concert invite en faisant voyager parmi les grands moments que Bizet offre à ses trois principaux protagonistes. Sans oublier son orchestre. Ce n’est pas pour rien qu’il dédicaça sa partition à son ami Pasdeloup ! Le plus ancien orchestre symphonique parisien joue les grandes pages de l'opéra, en faisant vivre les premières heures de ce qui est désormais un succès mondial. Et pour interpréter l'héroïne flamboyante, rien ne pouvait mieux convenir que la voix de la célèbre Stéphanie d’Oustrac, qui vient d’interpréter magistralement Carmen à l’Opéra de Lille.

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