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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 176

  • Château d’Arcelot

     

    CÔTE-D’OR

    Château d’Arcelot

     

    Le château d’Arcelot, un précurseur !

    Le château d’Arcelot a été la première construction Néo-classique de Bourgogne et l’une des premières à se doter d’un magnifique jardin à l’anglaise. A l’intérieur, vous y découvrirez le Grand Salon qui possède un décor de stucs colorés d’une qualité exceptionnelle, réalisé par une troupe d’artistes bavarois et italiens, où seule la cheminée est en vrai marbre !

  • Château d'Allemagne-en-provence

    Le Château

  • Château de La Gataudière

    Château de La Gataudière

    Château de la Gataudière.jpg
    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style
    Début construction xviiie siècle
    Propriétaire initial François Fresneau
    Propriétaire actuel Prince Murat de Chasseloup Laubat
    Classement classé MH 3/03/1949
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France France
    Région historique Aunis
    Subdivision administrative Poitou-Charentes
    Subdivision administrative Charente-Maritime
    Commune Marennes

    Le château de la Gataudière est situé à Marennes en Charente-Maritime, fut construit en 1749 par François Fresneau de la Gataudière.

    Historique [modifier]

    Le fief de la Gataudière date au moins du xive siècle rendait aveu pour le fief en 1367.

    Au début du xviiie siècle ce n'est toujours qu'une modeste maison noble qui passe aux Fresneau, et dont François Fresneau hérite de sa mère en 1751. Ancien ingénieur militaire en Guyane, découvreur des propriétés de l'hévéa et à ce titre surnommé le "père du caoutchouc" il fait construire la Gataudière dont il dessine lui même les plans.

    Le château est resté dans la famille : sa fille l'a apporté en dot à François Chasseloup Laubat et il est actuellement la propriété du Prince Murat de Chasseloup Laubat.

    Architecture [modifier]

    C'est un bâtiment en longueur, centré sur un pavillon central de 3 travées orné de pilastres, à fronton triangulaire qui surplombe le reste du logis.

    L'ensemble présente une symétrie de 11 travées avec un soubassement de pièces en demi-étage, un étage de hautes fenêtres à partie supérieure en demi-cercle, des ouvertures du 2e étage dans le brisis de la toiture (4 de chaque coté) et dans le fronton (3).

    Coté jardin, une terrasse masque le soubassement. Le fronton est sculpté d'un "triomphe de Flore".

    Le château et la terrasse sont classés par arrête du 3 mars 1949.

    Le parc et la fontaine Louis XIV sont inscrits monument historique depuis le 20 décembre 1948

    Le mobilier du château est d'origine : Louis XIII - Régence - Louis XV. Les boiseries et le salon central en pierre présentent des décors caractéristiques du xviiie siècle.

    Référence [modifier]

    • Châteaux manoirs logis, la Charente-Maritime, éditions Patrimoines et Médias 1993, ISBN 2-910137-04-X

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_la_Gataudière

  • Annuaire des châteaux dans les Yvelines

     

     

    Nom Prénom Adresse Code postal Ville Téléphone Télécopie
    Parc Zoologique et Château de Thoiry Rue Pavillon de Montreuil 78770 THOIRY 01 34 87 40 67 01 34 87 54 12
    Château de Villiers Le Mahieu (SA) Rue Centre 78770 VILLIERS LE MAHIEU 01 34 87 44 25 01 34 87 44 40
    Maison de Famille Château de Chambourcy 72 Grande Rue 78240 CHAMBOURCY 01 30 74 42 21
    Château Domaine St François d'Assise 53 avenue Jonchère 78170 LA CELLE SAINT CLOUD 01 30 82 08 77 01 39 69 92 12
    Château du Breuil Route Boissy 78890 GARANCIÈRES 01 34 86 41 02 01 34 86 58 62
    Château du Gavoy 6 rue Moulin 78117 CHÂTEAUFORT 01 39 56 08 87
    Ecuries du Chateau (Les) Grande Rue 78720 DAMPIERRE EN YVELINES 01 30 52 52 99
    Centre de Formation et de Séminaires Château de la Chât La Verrière 78320 LA VERRIERE 01 39 38 76 00
    Château de Behoust Rue Nid de Geai 78910 BÉHOUST 01 30 88 38 38 01 30 88 39 64
    Château de Breteuil Château Breteuil 78460 CHOISEL 01 30 52 05 11 01 30 52 71 10
    CHATEAU DE BRETEUIL Informations touristiques chât Breteuil 78460 CHOISEL 01 30 52 05 02 01 30 52 71 10
    Château de Maisons Laffitte Avenue Carnot 78600 MAISONS LAFFITTE 01 39 62 01 49 01 39 12 34 37
    Chateau de Monte-Cristo 1 avenue John Fitzgerald Kennedy 78560 LE PORT MARLY 01 39 16 49 49
    Château de Versailles Chât Versailles 78000 VERSAILLES 01 30 83 78 00
    Château et Jardins de Dampierre 2 Grande Rue 78720 DAMPIERRE EN YVELINES 01 30 52 53 24
    Château et Jardins De Dampierre 2 Grande Rue 78720 DAMPIERRE EN YVELINES 01 30 52 52 83 01 30 52 51 21
    Parc du Château de Sauvage Réserve Zoologique Chemin Départemental 62 78125 EMANCE 01 34 94 00 94 01 34 94 04 04
    Société Des Amis Du Château De Maisons Laffitte Ctre Sport Culturel 99 rue Muette 78600 MAISONS LAFFITTE 01 39 12 48 06
    Au Château 6 place Lyautey 78000 VERSAILLES 01 39 50 20 65
    Château de Villiers le Mahieu Rue Centre 78770 VILLIERS LE MAHIEU 01 34 87 40 86
    Golf du Château de la Chouette 1 place de la Mairie 78250 GAILLON 01 30 91 23 91
    Chateau des Cotes Chât des Côtes 78350 LOGES EN JOSAS (LES) 01 39 24 18 00 01 39 56 84 56
    Château des Merlettes 82 rue Merlettes 78110 LE VESINET 01 30 53 34 17
    Château des Mesnuls Grande Rue 78490 MESNULS (LES) 01 34 94 24 10
    Château Ricard Standard domaine de la Voisine 78120 CLAIREFONTAINE EN YVELINES 01 34 94 84 00 01 34 94 84 49
    Dependances du Château Eglise 78440 ISSOU 01 34 97 14 22
    Les Ecuries du Chateau 282 rue Brétechelle 78370 PLAISIR 01 30 81 63 49
    Réunion des Musées Nationaux Librairie-boutique Musée du Château RMN chât Versailles 78000 VERSAILLES 01 30 83 76 19
    Réunion des Musées Nationaux Librairie-boutique Musée du Château RMN place Château 78100 SAINT GERMAIN EN LAYE 01 39 10 13 22
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  • Château de la Porte Verte

    Château de la Porte Verte
    Flandre occidentale
    Les charmes discrets de la Porte Verte à Coolkerke

    Mise à jour : 09-08-2009

    APPELLATION Château de la Porte Verte
    LOCALITÉ 8000 Koolkerke (français: Coolkerke) (Bruges)
    FAMILLE D'ORIGINE Inconnue
    ÉDIFICATION Fin du XVIIe siècle
    STYLE Traditionnel
    ARCHITECTE Inconnu
    OCCUPANTS ACTUELS Mme du Trieu de Terdonck
    AFFECTATION Résidence privée
    PROTECTION Bien non classé
    SITE WEB
    Château de la Porte Verte (Coolkerke)/Kasteel de Groene Poort (Koolkerke)
    Depuis la route menant à la mer, le château de la Porte verte affiche son ancienneté et sa simplicité.
    La modestie du bâti n'empêche pas le charme d'opérer.

    Le château de la Porte Verte « De Groene Poort » est en bordure de la ville de Bruges sur le petit village de Coolkerke, vers Knokke. C’est une de ces charmantes « maisons de plaisance » construites par des familles qui s’étaient enrichies par les succès de la Compagnie d’Ostende. On sait que l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche démantèlera cette société sous la pression de ses alliés anglais à cause, dit-on, de sa trop grande prospérité. Parmi d’autres, les de Brouwer et les Cogels perpétuent cette magnifique histoire commerciale. On se souviendra qu’à Gand, l’hôtel Falligan, érigé en 1755 par l’architecte Bernard De Wilde pour le chevalier Hector-Gabriel Falligan, seigneur d’Aubuisson, était le fruit de l’enrichissement considérable d’un actionnaire de la Compagnie. Il s’agissait du beau-père du maître de céans, Jean-Baptiste Depestre (1678-1751), anobli en 1744. Son fils Julien sera baron de Duffel, comte de Turnhout et de Seneffe, marquis de Gamache et édificateur du château de Seneffe. Jeanne-Agnès de Pestre avait épousé Hector-Gabriel Falligan. Mais c’est une autre histoire. 

    Territoire étendu

    En général, les résidences comme la Porte Verte furent érigées près d’une ferme parfois plus ancienne. C’est le cas ici et la ferme date du XVIIe siècle. Le très beau pigeonnier à quatre pignons qui la jouxte est assez remarquable par sa taille; il comporte 288 niches « ce qui montre l’étendue du territoire et donc la richesse des anciens propriétaires », nous disait le baron Jean-Pierre van Zuylen van Nievelt. Ce pigeonnier ressemble à un donjon presque aveugle. Il monte sur trois hauts niveaux et présente quatre pignons à gradins. Le problème est que l’on ne sait pas vraiment qui fit ériger le château. L’histoire des gens qui y résidèrent débute au XIXe siècle quand y arriva Alphonse van Caloen (1852- 1928), fils de Charles (1804-1873). Ce dernier avait épousé le 16 février 1846 sa cousine germaine Eulalie van Caloen Arents (1817-1872). Resté orphelin de père et de mère à 21 ans, Alphonse habita seul son petit château et finit par épouser la fille d’un voisin Virgine-Marie Strubbe (1855-1941). Il fut presque toute sa vie bourgmestre de son village de Coolkerke. Ils eurent deux filles. L’aînée Marie-Alphonsine (1890-1930) épousa son cousin (il l’était même deux fois) Paul du Trieu de Terdonck (1887-1936). Paul était le fils de Joseph (1865-1942) et de la baronne Marguerite de Viron (1862-1935) (Dilbeek). Leur seconde fille Irma épousa Albert Coppieters (1884-1952), fils de Léon, conseiller provincial et échevin de Lophem (1855-1931), et de Claire-Marie Ruffo de Bonneval de la Fare des comtes de Sinopoli de Calabre (1857-1923). Elle était la fille du comte Edmond et de Marie-Thérèse Van Rode. Le couple du Trieu de Terdonck-van Caloen eut un fils Alphonse (1927-2001) qui avait épousé en 1952 Françoise Sibille (°1927), fille de Marcel-Édouard et de Marie-Agnès (des chevaliers) de Thier Nagelmackers (Angleur), fille de Léon et de Marie Neujean.
    Château de la Porte Verte (Coolkerke)/Kasteel de Groene Poort (Koelkerke)
    Le mélange des styles en fonction des besoins et des périodes est un des charmes de Coolkerke.
    Vieil enduit

    D’après Madame du Trieu de Terdonck, « il y aurait eu auparavant un château plus important. Il brûla. On en conserva une partie que l’on voit toujours. Au XIXe siècle, on vit ici des sœurs jésuites anglaises. Elles avaient érigé vers 1840 – à voir le style Tudor – une petite chapelle dans le creux des ailes du château. La façade de trois niveaux présentait trois travées séparées en partie haute (2e et 3e niveaux) par des colonnes à cinq pans, torsadées dans la partie supérieure et sommées de boules. Ces travées étaient terminées par des pignons brisés. Le château tel qu’on le voit est en L et enduit. Le corps principal construit en briques s’élève sur un haut soubassement aveugle. Il est large de deux travées et long de cinq travées. L’aile de retour est longue de six travées et large de trois baies en bas et de deux au second niveau. Un perron de six degrés d’époque Louis XV précède cet ensemble. Mais dans cette largeur il fut ajouté une travée supplémentaire couverte d’ardoises qui joue l’effet d’une tour car elle se poursuit par trois pans aveugles. Cet élément monte sur quatre niveaux si on en croit les bandeaux plats limités aux arêtes par des chaînages d’angles. Sur la troisième travée, on aperçoit une jolie porte moulurée en briques, à arc brisé. Cette adjonction ancienne se poursuit par une travée de deux niveaux agrémentée au rez d’une autre porte et en haut de trois meurtrières. Il y en a deux autres au-dessus de la porte. Puis sous la corniche court une frise de quatre arcatures. Ensuite surgit une tour octogonale sommée d’une toiture à huit pans, en pavillon. Les toitures du château sont en bâtière, couvertes de tuiles. Elles sont précédées par une frise de créneaux qui alternent parfois avec des lucarnes à gradins. 

    On ne visite pas. La demeure se voit de la rue.