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château - Page 3

  • Château des Bordes

    Château des Bordes

    Château des Bordes La Celle-les-Bordes

    Matériau
    meulière

    L'entrée du château, constituée d'un châtelet encadré par deux tours circulaires, témoigne d'une construction médiévale. À proximité, une grange et un colombier circulaire proviennent d'aménagements ultérieurs. Le domaine, qui s'étend jusqu'au hameau de La Celle-les-Bordes, est clos par un mur. Au XIXe siècle, un nouveau château, agrémenté d'un parc à l'anglaise, y est construit.

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-des-bordes-la-celle-les-bordes

  • Château d'Esclimont

    Château d'Esclimont

     




    René Traversac, fondateur des "Grandes Etapes Françaises" (qui comptent 6 établissements en cette année 1981), a immédiatement "le béguin" pour ce château et son parc classé de 60 hectares à seulement 45 minutes de Paris. C'est l'occasion qu'il attendait depuis tant d'années !
    Le 21 juillet 1981, il rachète donc le Château d'Esclimont à la petite fille d'Edouard de La Rochefoucauld, la Comtesse Laure Suzanne Marie Maingard de Mailly et de Nesle d'Orange.

    Il a la chance de pouvoir acquérir par la même occasion une partie des tableaux, lustres, bibelots et meubles qui ornaient le château.

     

     

    Le Château d'Esclimont à travers les siècles

    Du premier château fort construit au Xe siècle il reste encore à l'heure actuelle le donjon, dont la sévérité féodale a été adoucie d'un porche à triple ouverture donnant accès à l'avant cour, puis d'un haut comble à "la française" à la Renaissance.

    En 1543, Etienne du Ponchet, seigneur d'Esclimont, chanoine de Chartres et archevêque de Tours rebâtit le château en s'inspirant du style des grandes demeures que ses cousins faisaient élever dans le Val de Loire.

     

     

    Les XVII et XVIIIe siècles furent les siècles des Bullion. Ils firent transformer le château, le mettant au goût du jour, mais sans raser les tours d'angle, par respect pour leurs ancêtres. Puis le château se transmettra dans la famille Montmorency-Laval jusqu'au mariage, en 1807, de sa propriétaire Elisabeth Hélène Pierre avec Louis François Sosthène de La Rochefoucauld-Doudeauville.

    C'est leur fils, Marie Charles Sosthène de La Rochefoucauld qui, en 1865, chargea l'architecte Parent de donner au château un nouveau décor romantique à "la mode Renaissance", et confia le parc au paysagiste Bühler.
    Sur la façade côté cour, on peut lire un prénom : Marie. Marie n'était autre que la Duchesse de Doudeauville. Elle avait su inspirer cette preuve d'amour à son époux.

    Leur fils Edouard sera le dernier occupant du château jusqu'à son décès en 1968.

    Renaissance

    Construit en 1543 par l'archevêque de Tours, dans la vallée du domaine d'Esclimont, le château est transformé en hôtel en 1981. © Château d'Esclimont

    Jardin à la Française

    A l'arrière du château se trouve un élégant jardin à la Française traversé par un étang. © Château d'Esclimont

     

    Sources : http://www.grandesetapes.fr/fr/Chateau-hotel-esclimont/

    http://www.linternaute.com/paris/magazine/hotels-de-reve-pour-la-saint-valentin/chateau-d-esclimont.shtml

  • Château de Grangent

    Château de Grangent


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    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style Château fort
    Type Château
    Date de construction xiie siècle
    Classement Monuments historiques site inscrit (12 03 1946).
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France France
    Commune {{{commune}}}
    MonumentMonuments par pays

    Le château de Grangent se trouve sur une petite île dans le lac de Grangent, surplombé par le château d'Essalois ; il se situe au sud du territoire de la commune de Saint-Just-Saint-Rambert (Loire).

    Lorsqu'il fut construit, vers l'an 800, l'île était en fait un promontoire qui s'élevait à une cinquantaine de mètres au-dessus du fleuve, une situation radicalement bouleversée par la construction du barrage de Grangent. Pendant le Moyen-Âge et plus tard, il subit la destruction, la reconstruction, et plusieurs restaurations.

    Le château est aujourd'hui une propriété privée.

    Sources [modifier]

    • Panneau d'information situé sur le site.

    Voir aussi [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Grangent

     

  • Château de Beaufort

    Château de Beaufort

    Histoire [modifier]

    Ce château fut construit vers 1200; il a été plusieurs fois assiégé, notamment par les Anglais pendant la guerre de cent ans. Aujourd’hui appelé château de Goudet, cette bâtisse fut appelée le château de Beaufort jusqu'à la révolution.

    Description [modifier]

    La forteresse est protégée par un mur d'enceinte. Propriété des anciens seigneurs de Beaufort, il se situe sur les bord de la Loire et du ruisseau de la Fouragette. Il se dresse sur un piton rocheux commandant les quatre vallées. Ainsi, toutes les avenues de Goudet étaient sous sa maîtrise.

    Une dame de Beaufort habite encore au xviiie siècle cette demeure devenue ruine au début du xixe siècle, ne dressant vers le ciel que quelques murailles en porte éboulées laissant toutefois apparaître en partie le plan de l’édifice. Là encore, tout comme de celles de l’église du monastère, les ruines du château proviennent non pas de la fureur révolutionnaire avide de destruction mais par la cupidité des habitants désireux de profiter des matériaux, pierres de taille de préférence, pour de nouvelles constructions. On peut y voir encore une citerne que l’ignorance a qualifié du nom d’oubliettes.

    De 2000 à 2005, les ateliers de Chanteloube ont profité de la consolidation des parties existantes pour mettre en place un site permanent sur la construction médiévale, avec un atelier fresque, un atelier taille de pierre, un atelier ébénisterie et un atelier maçonnerie avec la grue médiévale appelée cage à écureuil. Quelques ateliers non permanents avaient également lieu. À ce jour (2008), le site est devenu une propriété privée et plus aucune animation n'y a lieu.

    Notes et références [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Beaufort

  • Château de Brochon

    Château de Brochon

    Le château Stéphen Liégeard, représenté sur le papier à lettres de Stéphen Liégeard
    Le château Stéphen Liégeard, représenté sur le papier à lettres de Stéphen Liégeard

    Présentation
    Nom local Château Stéphen Liégeard
    Période ou style Néorenaissance
    Type Manoir
    Architecte Louis Perreau, Albert Leprince
    Début construction 1895
    Fin construction 1902
    Destination initiale Lycée
    Propriétaire actuel Commune de Brochon
    Classement Classé MH en 19841
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    47° 14′ 18″ Nord
    4° 58′ 23″ Est
    Pays France France
    Région Bourgogne
    Département Côte-d'Or
    Commune Brochon
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Brochon

    Le Château de Brochon, dit "Château Stéphen Liégeard", est situé à Brochon, dans le département de la Côte-d'Or, enBourgogne (France). Bâti à la fin du XIXe siècle dans le style néorenaissance par l'homme politique et homme de lettres Stéphen Liégeard, il abrite aujourd'hui le lycée Stéphen-Liégeard depuis 1962.

    Article connexe : Lycée Stéphen-Liégeard.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    L'origine du domaine

    Au XIVe siècle, Philippe le Hardi, premier duc Valois de Bourgogne et fils du roi de France Jean II le Bon, fait don à l'ordre desChartreux d'un domaine situé à Brochon. Il s'agissait de bâtiments renforcés, ainsi que d'autres constructions, cernés par la vigne. Au XVIIe siècle, des terres de ce domaine, le "Crais-Billon", sont achetées par Melchior Jolyot, originaire de Nuits-Saint-Georges, greffier en chef de la chambre des comptes de Bourgogne et de Bresse, et père de Prosper Jolyot de Crébillon, dit "Crébillon père". Le nom de ce petit "fief" est transformé en Crébillon ; il serait une des sources de la revendication nobiliaire des Jolyot2. En 1804, Étienne Liégeard, membre d'une vieille famille dijonnaise proche des milieux bonapartistes, fait l'acquisition d'une partie du domaine. En 1843, son fils, Jean-Baptiste Liégeard (1811-1887), futur maire de Dijon, agrandit celui-ci. Finalement, en 1879, son petit-fils, Stéphen Liégeard (1830-1925), ancien homme politique et écrivain et poète en vue, complète l'ensemble. Fortuné, il rachète le reste des terres à la famille Darcy. Il songe alors à y bâtir un château de style néorenaissance.

    L'ambitieux projet de Stéphen Liégeard

    Le désir de Liégeard était de doter le village de Brochon, et plus particulièrement son domaine, d'un monument de référence. Il souhaite surtout faire étalage de sa fortune et de son bon goût en embauchant des architectes renommés. Édifice d'exception, il s'agit en effet du dernier château d'une réelle ampleur construit en Côte-d'Or. Stéphen Liégeard souhaite bâtir un château néorenaissancecar "ce qu'il manque à la Bourgogne, disait-il, ce sont les châteaux de la Loire." Entamé en 1895 peu après la grave crise duphylloxéra, le chantier de construction avait aussi une vocation "philanthropique" : paternaliste, Liégeard voulait redonner du travail aux petits exploitants viticoles ruinés.

    La construction du château

    Dès ses achats de 1879, Liégeard fait démolir les derniers bâtiments des Chartreux (exceptée la "Tour Crébillon"). Le chantier du château démarre en 1895 pour s'achever, concernant le gros-œuvre, en 1899. Le décor, lui, est achevé en 1902. Des personnes de renommée régionale et nationale sont appelées pour diriger les travaux. Le parc est dessiné par le paysagiste Bühler qui fixe l' emplacement du nouveau château. Les architectes sont Leprince et Perreau. Louis Perreau est déjà connu des Dijonnais (Hôtel des Postes de la place Grangier et bâtiment Art nouveau voisin). Quant au second architecte, Leprince, il s'agit d'un élève de Viollet-le-Duc. L' architecture est de style néorenaissance fortement influencée par les réalisations ligériennes (Azay-le-Rideau pour la façade Est, Chenonceau pour ses grandes arcades, Blois et de Chambord pour les cheminées et chiens-assis). La décoration intérieure, par contre, est inspirée du style XVIIIe (RocailleLouis XVI). Elle est confiée à des artistes de renom : Schanosky (lambris), Cesbron (peintures monumentales), Gasq (sculptures).

    Un château devenu lycée

    Le château ne reste pas longtemps dans la famille Liégeard. Gaston Liégeard, fils de Stephen, meurt célibataire en 1953 ; son neveu, seul héritier, refuse la succession. L' État hérite alors des lieux, conformément au testament de Gaston Liégeard. Avec une demeure en parfait état, vaste et luxueuse, les pouvoirs publics décident de l'affecter à l'enseignement, comme lycée, dès la rentrée 1954. Les lieux sont alors sous la respnsabilité du lycée Marcelle-Pardé puis du lycée Carnot. En 1962, l'Éducation nationale décide de fonder le nouveau lycée Stéphen-Liégeard. La construction d'un nouveau bâtiment entraîne la disparition de la serre et du potager dont il ne reste plus que la borne de la fontaine qui l'alimentait en eau. La roseraie est en voie de reconstitution dans le domaine du parc. Depuis 19753, les façades et la décoration intérieure sont inscrits à l'Inventaire des Monuments historiques4. Enfin, en 1994, l'Association des Amis du Château Stéphen-Liégeard de Brochon5 s'est donné pour but de promouvoir la connaissance de ce remarquable patrimoine bourguignon.

    Description [modifier]

    Extérieur

    C'est un bâtiment en L composé de deux corps d'un étage carré reliés entre eux par un important pavillon de deux étages carrés, sur lesquels sont greffées tours ou tourelles. Le grand hall, éclairé par des verrières géométriques de Didron avec les initiales "SL" entrelacées, est couvert d'un plafond à caisson. Son escalier d'honneur, à deux volées perpendiculaires, donne accès à une galerie qui distribue le premier étage. Cinq pièces principales sont desservies au rez-de-chaussée (la bibliothèque, le salon, la salle de billard, la salle à manger et le bureau de Gaston Liégeard) et, au premier étage, une dizaine de chambres (dont celles de Stéphen Liégeard et de son épouse Mathilde). Sous les combles, une vingtaine de chambres ont été arrangées mais sans décor particulier. A l'étage de comble du corps principal, une très vaste pièce, destinée aux loisirs, fut aménagée en laissant la charpente apparente. Les matériaux utilisés proviennent pour la plupart de la région (pierre assez tendre du nord de la Côte-d'Or pour les sculptures, pierre plus dure pour le gros œuvre provenant principalement des carrières de Brochon, ChambollePremeaux et Comblanchien).

    Décoration intérieure

    Dans le hall d'entrée, à la base du grand escalier, un lion sculpté grandeur nature en ronde bosse est sans doute une allusion à l'image que Stéphen Liégeard voulait donner de lui-même. En effet, ce motif apparaît de nombreuses fois sur le décor sculpté des façades. Le hall abrite également une statue de jeune nymphe, nommée la Source.

    Le parc

    Aménagé par le renommé Eugène Bühler, ce parc à l'anglaise, aux essences variées, contenait également un jardin alpin, une roseraie (avec 800 variétés), une rocaille avec grotte, des bassins, une serre et diverses statues d'agrément. L'édification de certains bâtiments du lycée a quelque peu modifié cet agencement.

    Notes [modifier]

    1. Notice no PA00112162 [archive], sur la base Mériméeministère de la Culture
    2. Une tour, dite "tour Crébillon", est présente dans le parc du château.
    3. 29 octobre 1975
    4. Fiche Mérimée [archive]
    5. Site du lycée et de l'association [archive]

    Liens externes [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Brochon

  • Château d'Arthies

    Château

    Château Arthies

    Classé MH
    1948
    Matériau
    Brique
    Datation
    XVe siècle

    De l'ancien manoir seigneurial, propriété des Théméricourt, seuls subsistent le pavillon central et sa tourelle d'angle, construits vers 1430. En ces temps de fréquents conflits, la cour est utilisée en tant que place d'armes. Selon une vieille coutume, les jeunes filles du village devaient offrir un 'illet blanc à la châtelaine le jour de Pâques. Le domaine est vendu à la fin du XVe siècle aux Silly, de La Roche-Guyon, qui y délèguent un capitaine et un intendant. La présence de ce dernier est attestée jusqu'en 1790.

     

     

    Source :


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