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  • Château de la Buzine

    Château de la Buzine

    Façade du château de la Buzine
    Façade du château de la Buzine
    Présentation
    Période ou style
    Architecte Pierre-Hilaire Curtil
    Date de construction 1867
    Classement monument historique
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France France
    Commune {{{commune}}}
    MonumentMonuments par pays

    Le château de la Buzine est un édifice du xixe siècle situé dans le 11e arrondissement de Marseille. Il doit sa célébrité à Marcel Pagnol, qui l'évoqua dans ses « Souvenirs d'enfance », et en fut le propriétaire. Il est aujourd'hui la propriété de la ville de Marseille, qui en a entrepris la restauration pour en faire une « Maison des cinématographies de la Méditerranée ». Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monument historique depuis 1996.

    Sommaire

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    L'histoire du château de la Buzine [modifier]

    Quelques vues du château avant rénovation [modifier]

    Le château de ma mère [modifier]

    A la toute fin du deuxième tome de ses Souvenirs d'enfanceMarcel Pagnol relate la manière dont il devint, un peu par hasard, propriétaire de ce château en 1941.

    Et ce n'est qu'en en prenant possession qu'il eut la surprise d'y reconnaître l'un des propriétés qu'il avait tant de fois traversées quand, étant enfant, il se rendait en famille à la Bastide Neuve en suivant clandestinement le canal dont un ancien élève de son père lui avait donné la clef.

    Pagnol fait référence à un incident qui avait particulièrement marqué sa mère lors de l'une de leurs « traversées », et qu'il relate dans un chapitre précédent de ses « souvenirs ».


    Pour Pagnol donc, aucun doute, il venait d'acheter « le château de [sa] mère ».

    Une reconstitution impossible [modifier]

    La sincérité de Pagnol dans ce récit est indiscutable. Cependant il a lui-même prévenu, dans l'avant-propos de ses Souvenirs d'enfance : On ne reprochera donc pas à l'auteur l'inexactitude factuelle des « très petits événements » rapportés. Cependant, comme le château de la Buzine doit sa réputation au fait d'être « le château de [sa] mère », quelques précisions s'imposent.

    Le château n'a pas « au moins dix étages 1», comme Pagnol enfant le voyait, ni non plus « trente balcons de pierre sculptée [sur] chaque façade 2» que Pagnol propriétaire persiste à lui attribuer. On peut douter aussi de la présence d'un verger du côté opposé au parc3, car il aurait été devant la façade principale. Enfin, sur le terrain, on voit mal sur quel « remblai » pouvait se situer le canal. Mais ces incohérences de détail peuvent être mises sur le compte de l'aspect romancé de ses souvenirs d'enfance.

    Par contre il y a plus bizarre. Le canal de Marseille, que les Pagnol empruntaient après la traversée de l'Huveaune à la Barasse, ne traverse pas le domaine de la Buzine --aujourd'hui Parc des Sept collines--, ni même ne s'en approche : il oblique vers les Accates et traverse la route de la Valentine aux Camoins, que les Pagnol empruntaient avant de disposer de la clef du canal, puis s'éloigne vers l'ouest, alors que La Treille est au nord-est. Il ne passe pas non plus au carrefour des Quatre-Saisons, alors que Pagnol y fait aboutir leur périple à travers les quatre propriétés traversées en suivant le canal :

    Les Pagnol ont-ils donc réellement traversé la propriété de la Buzine ? Cela est tout à fait possible, mais ce n'était pas en suivant le canal. Sa mère y a-t-elle eu la frayeur de sa vie ? Possible aussi, mais pas devant une porte située « tout près du canal 4» et donnant directement sur les Quatre-Saisons. Ont-ils fait « en vingt-quatre minutes un parcours qui [leur prenait]d'habitude deux heures quarante-cinq 5» ? Sûrement pas. Les éléments de réalité du récit des « souvenirs » de Marcel Pagnol ont de toute évidence été recomposés. Diverses personnes ont tenté de reconstituer l'itinéraire des Pagnol, sans résultat probant. Mais peu importe : pour Pagnol, le château de la Buzine était bien le château de sa mère .

    Sources [modifier]

    • Marcel Pagnol, Souvenirs d'enfance, tome 2 : Le château de ma mère, éd. Pastorelly, 1957 (nombreuses rééditions)
    • Carte IGN "Top 25" au 1/25000

    Voir aussi [modifier]

    Liens externes [modifier]

    Notes [modifier]

    1. Le château..., p. 186
    2. ibid. p. 278
    3. ibid. p. 186
    4. ibid. p. 279
    5. ibid. p. 189

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_la_Buzine

  • Château de la Rongère

    Château de la Rongère

    Le château de la Rongère Symbole carte Renaissance.jpg est situé à Saint-Sulpice, à 1 km du bourg, dans le département de la Mayenne. Y naît un ruisseau affluent de la Mayenne, longueur 1 000 m.

    Sommaire

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    Désignation [modifier]

    • H. de Rongeria1239 1 ;
    • Le hebergement de la Rongère1414 2 ;
    • La haute justice, tere, fief et seigneurerie de la Rongère1778 ;
    • La Rongère, château, allée plantée vers le bourg 3.

    Histoire [modifier]

    Fief mouvant de Château-Gontier, à charge de 40 jours de garde et obligation de semondre ceux qui devoient garde à la Rongère de garder aussi en la ville de Château-Gontier, huit jours et huit nuits. La féodalité de la Rongère avait été donnée en 1239 par le seigneur de Laval à Jacques de Château-Gontier, qui épousait Avoise de Laval. Le droit de haute justice fut reconnu en1404 et 1431, mais non le titre de châtellenie. À plus forte raison la qualité de marquis de la Rongère, que prirent parfois les Quatrebarbes était-elle toute personnelle.

    L'hébergement du xve siècle fut remplacé de 1545 à 1571 par un château. Il reçut la visite du duc de Rohan, chef d'un parti protestant, que les huguenots du pays avaient prévenu contre Gilles de Quatrebarbes. « Mais le sieur duc étant entré sans résistance dans cette maison où il fut reçut avec respect et connoissant l'artifice de ceux qui l'avoient déçu et surpris, en sortit sans avoir commis aucun acte d'hostilité, honorant de son amitié le sieur de la Rongère, ainsi qu'il est vérifié par une lettre de Guy Chauvin, sieur de Limarault, écrite du château de Blain, par l'ordre du duc. »

    Dans ce manoir, où un nouveau corps de logis avait été construit depuis peu, l'inventaire de 1675 fait connaître comme objets d'art : une ancienne tapisserie de Flandre à petits personnages à jeu de bâton ; ... deux grands tableaux sur la cheminée représentant des bergers et des bergères ; ... une tapisserie ancienne de Flandre à grands personnages ; ... tapisserie des Gobelins très fine ; plus de 30 aunes de tapisseries de Flandre et de Bergame en verdure ; une tapisserie de cuir doré d'Anvers ; 130 marcs d'argenterie.

    Le château moderne date du xviiie siècle. Sa situation est superbe, avec terrasses et jardins donnant sur la Mayenne, de belles avenues, un parc et des pelouses entrecoupées de bosquets et de beaux arbres. Le bâtiment est selon l'abbé Angot d'une architecture simple, mais de bon goût. La galerie de tableaux comprend une série de portraits de la famille de Froulay Blason famille de Froullay.svg.

    C'est dans ce château, que fut accueilli Bézier, dit Moustache de 1800 à 1815 par Mme la marquise Henri-Frédéric de Chavagnac, dame de la Rongère, née Henriette-Françoise de Montecler, qui l'admit à sa table après qu'il eut reçu la croix de Saint-Louis.

    Le passage de la Rongère [modifier]

    Le bac de la Rongère était un des passages fréquentés de la Mayenne ; il y avait aussi un port pour les bateaux. La procession paroissiale y passe en chaland en 1669 pour se rendre àVilliers, et le ministre accorde un secours de 700# en 1774, pour la construction du chemin allant du bac au bateau. Les bateaux qui s'arrêtaient au port payaient péage, mais ceux qui passaient seulement furent exemptés sous François Ier des prétentions du sire de la Rongère. Il y avait un moulin à vent à la Petite-Rongère, 1355. L'un des deux moulins de la chaussée, appartenait en 1460 à Jean du Coudray, qui le vendit à Pierre Quatrebarbes pour une rente de 4 setiers de seigle.

    Un poste républicain établi à la chaussée de la Rongère fut attaqué, dans la nuit du 18 au 19 mai 1794 par des Chouans qui lui tuèrent deux hommes et en blessèrent un troisième.

    La Chapelle [modifier]

    La chapelle dotée sous le vocable de saint Jacques en 1365, à charge de trois messes, in quadam capella sita in villa Sancti Sulpicii ac prope ecclesiam dictae villae, décrétée le jeudi après la Saint Clément (25 novembre 1365), eut entre autres pour chapelains, presque tous de la famille de Quatrebarbes :

    Gaspard L'Enfant Blason famille fr L'Enfant.svg, seigneur de Saint-Gilles, épousa en 1738 Suzanne-Thérèse de la Matraye, dans la chapelle, dont on demandait la conservation en l'an XIII.

    Seigneurs [modifier]

    La Rongère [modifier]

    Blason famille fr Quatrebarbes.svg Quatrebarbes [modifier]

    Armes des Quatrebarbes :de sable à la bande d'argent accompagnée de 2 cotices de même.
    Article détaillé : Quatrebarbes.
    • Macé Quatrebarbes, mari de Jeanne de Barchesac, acquéreur du précédent pour 12 000# en 1293 ;
    • Maurice Quatrebarbes donne une dîme en Saint-Sulpice à l'Abbaye de la Réal1319, vit encore en 1340 ;
    • Pierre Quatrebarbes reçoit un aveu en 1350, épouse en 1353 Olive de la Jaille, et teste en 1401, rappelant son père et son aïeul, Maurice et Macé. Il survécut à Jean Quatrebarbes, son fils, signalé dans un acte de 1391, et dont la veuve Roberde Bourelle, était remariée en 1405 à Bernard Haussé ;
    • Macé Quatrebarbes rend aveu en 1410, épouse Jeanne de Sourches et meurt sans enfants, tué à la bataille de Verneuil (1424) avec trois de ses frères ;
    • Jean Quatrebarbes, frère du précédent, étudiait à l'Université de Paris, en 1425, fut en 1445 chambellan du roi qui lui donna en 1458 des lettres de sauvegarde et lui permit de placer les panonceaux royaux sur ses terres. Isabeau Frézeau, sa veuve, douairière de la Rongère, testa le 17 février 1486 ;
    • Pierre Quatrebarbes servit aussi contre les Anglais, épousa Catherine de la Jaille, et fut enterré dans l'église de Marson, où sa femme, qui testait en1514, alla le rejoindre ;
    • Jacques Quatrebarbes ratifie en 1492 le partage donné à ses frères par son père, épouse par dispense du 4 octobre 1520 Julienne Le Porc, dont les armes unies aux siennes se voyaient à la voûte d'une chapelle de l'église de Saint-Sulpice, et meurt sans enfants en 1529 ;
    • Jean Quatrebarbes, frère du précédent, refuse la main d'une demoiselle du Bouchet, sans doute des seigneurs de Villiers, ses voisins, et meurt sans postérité ;
    • Guillaume Quatrebarbes, cousin au 3e degré du précédent, lui succède avant 1559, est parrain à Parné en 1561 de René de la Roussardière, son neveu. Il meurt le 9 août 1571 et reçoit sa sépulture dans le chœur de l'église de Saint-Sulpice, où sa femme Jeanne de la Roussardière, resté catholique, malgré la défection des siens, vient le rejoindre en 1611 ;
    • François de Quatrebarbes, né le 7 août 1552au signe d'Ariès, le septième jour de la lune, épousa Louise de la Croix, vécut catholique, mais mauvais ménager, dut faire démission de ses biens en 1604, et mourut en 1614 ;
    • Lancelot de Quatrebarbeshomme de grand esprit et d'un jugement admirable, épousa en 1606 Françoise de Cervon, rétablit la fortune de sa maison et mourut le 29 janvier 1638 ;
    • René de Quatrebarbes ;
    • Hyacinthe de Quatrebarbes.

    Menon [modifier]

    • François-Henri de Menon, comte de Turbilly, épousa l'aînée, Henriette-Antoinette de Quatrebarbes, eut en partage en 1705 le château, les bois de haute futaie, l'étang de la Rongère, la seigneurie de paroisse, et mourut à la Rongère en 1742 ;

    Blason Famille Monteclerc.svg Montecler [modifier]

    Armes des Montecler : De gueules au lion d'or couronné et lampassé de même.
    Article détaillé : Château de Montecler.
    • Joseph-François, marquis de Montecler (1694-1766), épousa dans la chapelle de Chéronne, à Tuffé, en 1716Henriette-Hyacinthe Menon de Turbilly, dame de la Rongère (1699-1742), fille unique, dont le marquis de Sourches vante la beauté. À cette date et jusqu'à la fin du xviie siècleLa Rongèredevint la résidence habituelle des marquis de Montecler ;
    • Hyacinthe-François-Georges, comte de Montecler5, né le 8 mai 1719mousquetaire en 1736 puis cornette des chevau-légers de la reine au moment de son mariage le 5 septembre 1740 avec Marie-Charlotte de Montullé (fille de Jean-Baptiste de Montullé), fut nommé maréchal de camp en décembre 1743. Il mourut le 5 octobre 1764 à La Rongère où il s'était retiré depuis le 10 février 1759, laissant pour unique fille :
    • Hyacinthe-Jeanne de Montecler, née à Paris le 21 juin 1750 et mariée le 26 juillet 1768 à René-Georges-Marie de Montecler (1738-1810), le cousin germain de son père qui reprit le titre de marquis de Montecler. Celui-ci, après avoir été en octobre-novembre 1787 l'un des membres influents de l'assemblée provinciale de Touraine, émigre en 1791. La marquise de Montecler qui avait envoyé le 24 février 1791 à la Gazette de Paris le nom des prêtres de sa connaissance qui avaient refusé le serment6, suivit d'abord son mari, puis rentra à Paris pour tenter se sauver une partie de la fortune de sa famille. Emprisonnée sous la Terreur, elle obtint de continuer à demeurer en tant que « citoyenne Monteclair » dans son hôtel de la rue du Cherche-Midi - sa mère y avait eu un cercle renommé - "sous la garde de deux vrais sans-culottes relevés tous les décadis" mais c'est rue Garancière qu'elle s'éteignit le 17 avril 1805.
    • Eugénie-Henriette de Montecler, cinquième fille des marquis de Montecler, née à Paris le 1er avril 1782, épousa à Saint-Sulpice, le 2 octobre 1802Gaspard-Marie de Montecler et eut en partage la terre de Montecler.

    Le château et la terre sont depuis passés aux Chavagnac, les deux sœurs Henriette-Françoise (1769-1843) et Agathe-Françoise (1773-1798) de Montecler ayant épousé respectivement la marquis Henri-Frédéric et le comte Louis-Vigile de Chavagnac.

    Notes et références [modifier]

    1. Histoire de Sablé, p. 349.
    2. Archives nationales, P. 338.
    3. Hubert JaillotCarte de Cassini.
    4. L'abbé Angot indique que personnellement, il doit à Jean-Baptiste de Goué d'avoir commis des erreurs dans la Monographie de Brée.
    5. notes prises aux archives de l'État-civil de Paris par le comte de Chastellux, Paris,1875, p. 430.
    6. Saint-Sulpice, Houssay, Villiers, Châtres, Saint-Léger etc...

    Bibliographie [modifier]

    Voir aussi [modifier]

    Sources et bibliographie [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_la_Rongère

  • Château des Marmousets

    Château des Marmousets

    Château des Marmousets La Queue-en-Brie
    Matériau
    enduit
    Datation
    XVIIIe siècle - XIXe siècle

    L'ancienne appellation de ' Maisoncelle ' semble devoir indiquer ici la présence fort ancienne d'une ' maison seule ', voire d'une cellule monacale, isolée dans la forêt briarde, le terme de ' Marmouzet ' n'apparaissant qu'à partir d'un acte daté de 1520 dans les archives d'Ormesson. Le domaine de Maisoncelle fut propriété à la fin du XVIIe siècle du peintre miniaturiste et émailleur Jean Petitot le Jeune (1653-1702), protestant, qui fit comme son père carrière en Angleterre, où il est nommé peintre du roi Charles II. Retourné en France à la fin de sa vie, il meurt au château en 1702. On hésite encore sur la date de construction du château actuel, la tradition voulant qu'il fût édifié en 1828, par le général Hulin, mais de plus récentes analyses tendent à le considérer comme de la fin du XVIIIe siècle.

  • Château Dranem

    Château Dranem

    Château Dranem Ris-Orangis
    Datation
    XVIIe siècle

    Le premier château est attesté en 1159. Au XVIe siècle, il passe à la famille Faucon, dont les armes servent de modèle au blason de Ris. Reconstruit sous le règne de Louis XV, l'édifice devient le fief de la famille Anisson-Dupéron. Napoléon envisage son achat en 1797, et le comte Andréossy, aide de camp de l'empereur, acquiert la propriété en 1802. En 1911, le château devient le siège de la Fondation Dranem, accueillant une maison de retraite d'artistes lyriques. Depuis quelques années, la maison de retraite est ouverte à tous.

  • Château de Rimaison

    Château de Rimaison

    Château de Rimaison Pluvigner
    Datation
    XVIIIe siècle

    À l'abandon au XVIIIe siècle, le château, alors situé à Bieuzy-les-Eaux, est progressivement démantelé et ses pierres sont réutilisées dans les villages alentours. Au milieu des années 1950, les ruines sont rachetées et transférées sur le site actuel. Le château est reconstruit avec trois corps de bâtiments reliés en partie par un chemin de ronde à deux échauguettes. Le château dispose donc d'une aile nord, ou logis des Gardes, du XIVe ou XVe siècle, d'une aile sud, ou ' Maison du Chien ', d'un corps de logis du XVIe siècle et de deux grosses tours, la tour de l'Hermine et la tour des Registres.

  • Château de Frouville

    Château de Frouville

    Château de Frouville Frouville
    Datation
    XIXe siècle

    Cet édifice est reconstruit dans le style classique sur l'emplacement de l'ancien château, bâti au XVIIIe siècle sur la terre acquise en 1738 par Pierre François Bergeret (1683-1771), inspecteur des finances, secrétaire de Louis XV et fermier général. Ses deux fils Pierre-Jacques-Onésime (1715-1785) et Jean-François dit Bergeret de Frouville (1719-1783), protecteurs des arts, collectionnaient les tableaux de Boucher et Fragonard. Le château, occupé par les Prussiens et vendu en 1947, devient successivement une école ménagère, puis l'école paysagère ' Saint-Cyran '. Après la fermeture de l'établissement, il retrouve son statut de propriété privée. Au centre de la cour intérieure se dresse un colombier qui, tout comme les communs, date du XVIIe siècle. Subsiste également un abreuvoir de marbre rose du XVIIIe siècle.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-frouville-frouville