NOUVEAU : Boutique en Ligne sur les Châteaux
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Le château de Foulletorte , situé à 2 km de Saint-Georges-sur-Erve en Mayenne, est une demeure des xvie siècle et xviie siècle construite sur l'emplacement d'un édifice féodal établi sur une motte cernée de fossés, situé au bord d'un étang traversé par la rivière l'Erve.
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Le château actuel, construit sur l'emplacement d'un ancien château fort, date de 1570 environ, comme l'indique son style. C'est un des plus beaux châteaux de cette époque conservés enMayenne. Il n'est pas comparable pour la richesse de l'ornementation, avec la galerie de style Renaissance du château du Rocher, ou d'autres édifices d'une autre époque, mais pour la majesté de l'ensemble, pour l'ampleur des lignes, Foulletorte est d'une grande beauté (Abbé Angot).
Le château est, en 1643, qualifié de maison forte, avec cour fermée de murs, tours, douves, fossés, pont-levis ; on y signale une motte pareillement entourée de douves et fossés, et le bois des Haies, de 100 journaux.
Du xive siècle au début du xviiie siècle le château appartint à la famille de Vassé.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Foulletorte
La tour du logis de Fouquet de la Varenne | ||
Présentation | ||
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Période ou style | ||
Type | château | |
Début construction | 1608 | |
Fin construction | 1613 | |
Propriétaire initial | Guillaume Fouquet de la Varenne | |
Destination initiale | habitation | |
Propriétaire actuel | Conseil général de la Mayenne | |
Destination actuelle | Centre d'interprétation de l'Architecture et du Patrimoine | |
Géographie | ||
Latitude Longitude | ||
Pays | France | |
Région historique | Pays de la Loire | |
Département | Mayenne | |
Commune | Sainte-Suzanne | |
Géolocalisation sur la carte : France | ||
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Le château de Sainte-Suzanne est un château du xviie siècle, Monument historique depuis 1862, construit dans la cité médiévale de Sainte-Suzanne entre 1608 et 1610-1613 par Guillaume Fouquet de la Varenne, et aujourd'hui propriété du conseil général de la Mayenne, il abrite depuis juin 2009 le Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine (CIAP) du Pays d'Art et d'Histoire Coëvrons-Mayenne, et plus généralement du département de la Mayenne.
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En 1604, Guillaume Fouquet de la Varenne, homme d'État et ministre de Henri IV, achète à la première épouse du roi, Marguerite de France (1553-1615) dite la Reine Margot, les ruines de la vieille forteresse pour transformer l'ancien château en demeure résidentielle. Ce projet n'est pas achevé, car l'assassinat du roi en 1610 amène progressivement la déchéance de Guillaume Fouquet de la Varenne. Il reste cependant de cette période le logis, un beau corps de bâtiment dans le plus pur style du début du xviie siècle.
Fouquet de La Varenne rachète la seigneurie de Sainte-Suzanne le 16 septembre 1604. Il ne reste alors à Sainte-Suzanne "austres bastiments et logements qu'une ceinture de murailles avec quelques tours et une masse de pierres en forme de donjon. (...) proche laquelle ceinture de murailles et ledit donjon estoit une petitte maison et une cour appelée la cour Marye, et ung petit appenty au long d'icelle (...), dans laquelle petitte maison demeuraient Estienne Deslandes et Marie Arthuis sa femme en qualité de concierges, et que ledit patit appenty servoit de cuisine et de boullangerye".
Le site du CIAP du château de Sainte-Suzanne.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Sainte-Suzanne
PAYS DE CONDÉ
mardi 23.03.2010, 05:10 - La Voix du Nord
Propriété de la Compagnie des mines d'Anzin, le château Dampierre était la résidence du directeur général. Passé dans le giron communal, il accueillait expositions et repas de mariage. Fermé depuis qu'un plafond s'est effondré pendant un stage BAFA, privé de chauffage, attaqué par la mérule, il a besoin qu'aille à son terme la rénovation engagée et interrompue. Pour quelle destination ? En attendant, l'édifice est aujourd'hui au coeur d'une polémique entre ex et actuelle municipalités, qui se rejettent la responsabilité de ce qui a été fait, pas fait ou mal fait.
PAR BERNARD DÉFONTAINE
bdefontaine@lavoixdunord.fr PHOTO « LA VOIX »
Le château Dampierre a été inscrit en fin d'année dernière par les Bâtiments de France, pour figurer dans le dossier de candidature du bassin minier au patrimoine mondial de l'UNESCO. Cette inscription n'a pas reçu l'aval du maire, qui a émis un avis défavorable. Inscrit ou classé, les conséquences ne sont pas les mêmes. « Mieux eût valu qu'il soit classé, explique Pierre-Michel Bernard. Inscrit, nous en subissons toutes les contraintes, sans les avantages. Classé, nous avions un droit à subvention. » Parmi ces contraintes, l'autorisation de l'architecte des Bâtiments de France pour toute demande de permis de construire dans un rayon de cinq cents mètres : rayon dans lequel figure la ZAC Valmont. L'obligation aussi de recourir à des entreprises agréées, « d'où un surcoût d'au moins 50 % ». Procédures encore compliquées si le bâtiment doit accueillir du public...
Classement ou simple inscription, l'UDSA en tout cas s'en félicite. « Nous remercions le maire de reconnaître la qualité de notre travail », ironise l'opposition dans son encart d'expression libre à paraître dans le prochain bulletin municipal. Ce qui a eu le don d'irriter le nouveau maire, lequel a organisé illico une visite des lieux. Tonalité de son discours : un million d'euros - ce que l'ancienne municipalité a dépensé pour le commencement de la rénovation - pour ça ? « Ça », c'est une toiture - en ardoises d'Écosse - qui aurait pu coûter « deux fois moins cher » un parquet pas forcément de très bon goût, posé avant tout le reste et simplement appliqué sur l'ancien, d'où une perte de hauteur qui ne permet pas de remettre les radiateurs dans leurs anciens emplacements. « Le sol, c'est la dernière chose à traiter,abonde Vincent Sajous, responsable du patrimoine bâti. On ne fait pas le plancher avant d'avoir tout mis à nu et changé les canalisations. Là, il reste du plomb dans les murs. » « Dites-vous qu'il était en bien pire état quand nous l'avons récupéré en 2001 », rétorque Patrice Duterne, adjoint aux travaux de l'ancienne municipalité. Son état d'abandon imposait un « sauvetage », sous peine de le « laisser partir ».
D'autant que la mérule s'était installée. Certains travaux furent alors subventionnés à 35 % par la DGE (*). « Il fallait respecter des normes et refaire à l'identique », précise l'ancien adjoint qui répond aux critiques. Pour lui, il y avait plus cher que l'ardoise d'Écosse : celle d'Angers. Et un plancher, « ça se protège ». Après la toiture, la charpente, la pierre - « malade » - et les planchers, le calendrier prévoyait de refaire le plafond, avec stuc et moulures, en 2009-2010 et les châssis de fenêtre en 2011. « À lui de jouer, dit Patrice Duterne de Pierre-Michel Bernard. Qu'il termine ce que nous avons commencé, et qu'il le fasse bien ! » Ce qu'il faut faire, Vincent Sajous en a une idée précise. Mais d'abord, avant toute intervention, chauffer, à vide, pendant quelques mois. Ce dont le château a trop manqué, depuis trop longtemps. •
(*) Dotation globale d'équipement.
Les ruines du château de Bouillé, du xve siècle/xvie siècle, se trouvent sur la commune de Torcé-Viviers-en-Charnie, en Mayenne.
Il reste aujourd'hui de l'ancien château une tour transformée en maison d'habitation.
Au début du xxe siècle l'Abbé Angot décrivait ainsi ce qu'il en restait : « Les ruines, qui couvrent aujourd'hui un espace de plusieurs hectares, présentent encore quelques parties intéressantes : le vieux logis, simples servitudes du château probablement; la grosse tour, avec ses sous-sols voûtés; la chapelle ou crypte à-demi enterrée; la tour du trésor, en style de la Renaissance, bel échantillon de ce qu'était le dernier château, bâti de 1490 à 1510. Entre ces édifices plus ou moins ruineux, les fondations des bâtiments principaux s'enchevêtrent dans tous les sens, et, quoiqu'on ne puisse plus reconstituer leur ensemble, laissent l'impression d'une des plus regrettables dévastations commencée par les éléments et achevée par les hommes. Les textes seuls peuvent aujourd'hui faire parler ces ruines et ces décombres. »
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La vallée, où le château était situé à 1 km au nord du bourg de Torcé, entre les buttes de Viviers au sud et celles de Voutré au nord, donne naissance à des cours d'eau dont les uns s'en vont à l'Erve, les autres à la Vègre. Bouillé se situe au point de séparation des deux bassins.
Le marquis René de Quatrebarbes décrit ainsi le domaine et le château tels qu'il les avait vus au milieu du XVIIe siècle :
La famille de Bouillé est une famille mayennaise dont la notoriété couvrit surtout le xvie siècle et le xviie siècle. On veut la rattacher à celle du même nom enAuvergne, dont les armes ont quelque similitude, et avec autant de vraisemblance à celle qui, en Anjou, a pris son nom des paroisses de Bouillé-Ménard et Bouillé-Thévalles. Les Bouillé du Maine prennent rang dans la noblesse par leurs alliances et leur richesse au cours du xve siècle.
Outre la terre patrimoniale de Bouillé, celles de Mézangers, de Chelé à Hambers, du Bourgneuf en Jublains, pour ne citer que les plus importantes de leurs possessions, attestent leur fortune. La part que les Bouillé prirent à l'expédition de Charles VIII en Italie (1494) explique les goûts artistiques qui se manifestèrent dans les édifices de Bouillé, Mézangers et Chelé. Le rôle vraiment historique de la famille commence avec les guerres de religion. On disait proverbialement au temps de Jean-Baptiste Colbert : noble Bouillé, riche Vassé.
D'argent à la fasce de gueules frettée de sable, accompagnée de deux burelles de gueules.
Propriété de campagne de Jean Durand, sieur de La Feuillade, marchand et bourgeois à Port-Louis, qui baptise son domaine Kerdurand, et le revend dix ans plus tard. Le troisième propriétaire, en 1745, François Stéphan, négociant lui aussi, prend le titre de ' sieur de Kerdurand ', puis le cède en 1762 à Jean Rousse, chirurgien de la Compagnie des Indes. Après 1775, la société du Serpent d'or, qui réunit des bourgeois et des militaires, y tient ses assemblées.
Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-de-kerdurand-riantec