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  • Livre en ligne - Des châteaux et des sources: archéologie et histoire dans la Normandie ... Par Élisabeth Lalou,Bruno Lepeuple,Jean-Louis Roche

  • Château Leroy

    Château Leroy

    Château Leroy Quincy-sous-Sénart
    Créateur
    Architecte : L. Oudiou

    Cette grande demeure est construite par Charles Leroy, fils du fondateur de l'établissement Les Papiers peints Leroy, sise rue Lafayette, à Paris. En 1924, les consorts Leroy vendent l'ensemble des terrains de la propriété à la SCI de Quincy ; les terrains sont divisés sous l'aspect juridique de ' lotissement du Parc ', et seul le château n'avait pas encore trouvé acquéreur. En 1929, Hubert Conquéré de Montbrison (1892-1981), homme d'affaires, l'achète pour le compte de l'École de jeunes filles russes de Brunoy. Cet établissement, qui accueille des enfants d'émigrés de la Russie blanche, est présidé par la princesse Irène Paley (1903-1990), fille du grand duc Paul Alexandrovitch, fils du tsar Alexandre II, et épouse du prince Théodore-Alexandrovitch. En 1950, Irène Paley épouse en secondes noces Montbrison, ancien secrétaire général du pensionnat de Quincy. L'École fonctionne sous la direction d'Olga Golovine de 1929 à 1939. En 1946, l'Éducation nationale loue le château pour y installer l'École nationale d'Éducation physique féminine. En 1951, le ministère de l'Intérieur en devient propriétaire et y installe les quartiers, le dépôt et le PC de la Compagnie républicaine de sécurité n° 3 (3e CRS).

     

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-leroy-quincy-sous-senart

  • Château de Menetou-Salon

    Le château de Menetou-Salon, chef-d'œuvre de l'architecture néo-gothique, classé à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, ayant appartenu à Jacques Cœur en 1448, dont le Palais inspira son agrandissement, présente aujourd'hui à son visiteur l'opportunité d'admirer l'intérieur historique, magnifiquement conservé, d'une demeure princière du xixe siècle. Vous y découvrirez également les voitures à cheval et à essence employées par les Princes d'Arenberg jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale, dont une qui parcourut Paris-Moscou deux fois, en 1911 et 1968, et inaugura le tunnel sous la Manche en 1994 ; une sellerie d'apparat, et un jardin-labyrinthe néo-gothique.

    L'actuel château peut raconter cinq siècles de construction depuis le xive siècle, date de début du chantier jusqu'à 1888 avec les majeurs remaniements pour aboutir à la grandiose demeure habitée par le propriétaire actuel, son Altesse Sérénissime, le Ve Prince et Duc d'Arenberg français.

    Entièrement meublé, le château de Menetou garde quelques belles richesses dont une bibliothèque qui réunit 12 000 volumes, un hall copie conforme d'une salle capitulaire d'abbaye, un coffre de voyage de Jacques Cœur, des toiles de l'école flamande. Le lieu rappelle la mémoire d'une grande figure, celle d'Auguste d'Arenberg à l'origine des grandes rénovations du château au XIXe siècle.

    Le château de Menetou-Salon est une étape de la route Jacques Cœur.

    Il appartient toujours a la famille d'Arenberg.

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Menetou-Salon

  • Château de Vénevelles

    Château de Vénevelles

    Chateau de Venevelles par poumique
    du XIVème siècle, remanié entre le XVème et le XVIIIème siècles et restauré au XIXème siècle. Manoir central avec ses hauts pignons ses charpentes et ses deux tours. Au nord, ferme (communs) accotée de pavillons d'angle dont deux ont remplacé d'anciennes tours de défense. Du côté oriental, chapelle de 1503, avec deux voûtes domatiques et sacristie à voûtes d'ogives. Entouré de douves sur trois côtés et bordé de jardins. Le portail qui ouvre sur le parc porte le chiffre de Suzanne Levasseur, marquise de Venevelles et de son mari. Portail d'entrée ajouté au XVIIIème siècle. A l'intérieur, escalier avec rampe en fer forgé, boiseries et cheminées des XVIIème XVIIIème siècles. Fut, pendant 700 ans, la propriété de la famille d'Espagne. A proximité se trouve un tour dit «la Huguenote».

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  • Château de Serrant

     

    Château de Serrant

    Serrant 2.JPG
    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style
    Début construction xvie siècle
    Fin construction xviie siècle
    Propriétaire initial Charles de Brie
    Propriétaire actuel le prince et la princesse Charles de Mérode
    Classement classéMonument historique29 septembre 1948
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France France
    Région Pays de la Loire
    Département Maine-et-Loire
    Commune


    Le château de Serrant est situé à Saint-Georges-sur-Loire, dans le département du Maine-et-Loire) à une quinzaine de kilomètres à l'ouest d'Angers.

    La façade sud

    Sommaire

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    Historique [modifier]

    Le château Renaissance a pour base les anciens fondements d'un château médiéval en schiste ardoisier : les douves témoignent de cette période reculée où Serrant était une place forte qui surveillait le passage de la Loire.

    Au xvie siècle, l'architecte angevin Jean Delespine est dépêché pour construire le corps de logis bâti autour d'un escalier à double volée contrariée. Il est aussi prévu 2 ailes en retour... Les travaux ne finiront pas, de Brie, le propriétaire, est à cours d'argent. En 1603, la propriété est saisie aux dépens de Charles de Brie puis vendue à Scipion Sardini.

    Au xviie siècle, c'est Guillaume Bautru qui finira les travaux, tout en respectant les plans Renaissance d'origine  : l'homogénéité est sauvegardée.

    En 1749François Jacques Walsh, armateur nantais, rachète Serrant. Fils du capitaine corsaire, Phillip Walsh, d'une famille d'émigrés irlandais à la suite des Stuart et établie à Saint-Malo vers 1685. Les Walsh réaménagent la décoration intérieure, créent un parc à l'anglaise, édifient les deux pavillons, la monumentale grille d'honneur qui porte leur armes.

    En 1830, Valentine Walsh de Serrant (petite-fille de François-Jacques) épouse Charles Bretagne Marie Joseph, duc de La Trémoïlle, descendance à laquelle appartient toujours Serrant.

    Le château a été classé monument historique par arrêté du 29 septembre 1948, ainsi que le tombeau du marquis de Vaubrun.

    Architecture [modifier]

    Les douves datent du château médiéval préexistant.

    Le logis est construit autour d'un escalier à double volée contrariée en pierre à voûtes décorées de caissons1.

    Le parc à l'anglaise du xviiie siècle entoure le château et diverses dépendances, le colombier, l'orangerie les écuries et les autres communs.

    Annexes [modifier]

    Notes et références [modifier]

    1. Base Mérimée

    Liens externes [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Serrant

     

     

    4.1.1Affaires Fnac 300-250

  • Donjon Lacataye

    Donjon Lacataye

    Donjon Lacataye au pied du Midou
    Donjon Lacataye au pied du Midou

    Présentation
    Période ou style Architecture militaire au Moyen Âge
    Type Maison forte
    Début construction xve siècle
    Fin construction xvie siècle
    Propriétaire initial Vicomtes de Marsan
    Destination initiale Poste d'observation et tour de défense
    Propriétaire actuel Commune de Mont-de-Marsan1
    Destination actuelle Musée Despiau-Wlérick
    Classement Logo monument inscrit.svg Inscrit MH (22 juillet 1942)
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    43° 53′ 32″ Nord
    0° 29′ 56″ Ouest
    Pays France France
    Région Aquitaine
    Département Landes
    Commune Mont-de-Marsan
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Donjon Lacataye

    Le donjon Lacataye se situe à Mont-de-Marsan2, dans le département français des Landes. Il ne s'agit pas d'un « donjon » à proprement parler, mais de deux maisons fortes romanes jumelées datant du XVe siècle1 et dotées de créneaux sur leur partie supérieure au XVIe siècle. Il est inscrit aux Monuments historiques par arrêté du 22 juillet 19421 et héberge le musée Despiau-Wlérickdepuis 1968.

    Sommaire

    [masquer]

    Étymologie [modifier]

    La Cataye viendrait du verbe espagnol castar : surveiller. Il est tout à fait possible que ces maisons aient remplacé une éminence précédente de type motte avec tour, car l'emplacement s'appelle aussi : « pujorin », c'est-à-dire « pouy jorin » (pouy : hauteur et jorin, déformation de lorenh : vers l'est).

    Présentation [modifier]

    Historique [modifier]

    La Cataye est constitué de deux maisons romanes accolées, ce que l'on voit parfaitement en entrant dans l'actuel musée, dont le mur central comporte des fenêtres romanes, signe que l'une des deux maisons a été élevée avant la seconde. Les maisons, prises dans le mur d'enceinte, contribuaient à la protection de la ville côté Midou, là où s'installèrent les nouveaux quartiers au XIIIe siècle3. Il semblerait que cet ensemble fortifié en pierre coquillère servait de poste d'observation et de tour de défense. Les maisons appartenaient aux vicomtes de Marsan, qui ont fini par les délaisser quand ils se sont éloignés de leur ville d'origine. Au XVIe siècle, on modifie leur partie supérieure et on les dote de créneaux, perdurant leur vocation militaire.

    Marguerite de Navarre trouve à l'abri des murailles de Mont-de-Marsan, son « ermitage », un lieu de retraite et de recueillement. Elle réside soit à Lacataye, soit au Château Vieux. Elle apprécie particulièrement ces lieux pour leur proximité avec le couvent des Clarisse4, où elle trouve calme et sérénité. En 1546, elle rédige L'Heptaméron. Le 14 février 1548, jour de mardi gras, elle fait représenter dans une salle de Lacataye La comédie de Montemarsan5, œuvre précieuse et mystique : quatre femmes ont pour nom la Ravie de l'amour de Dieu, la Mondaine, la Superstitieuse et la Sage. La Mondaine et la Superstitieuse se disputent au sujet de leurs mérites ; la Sage intervient pour clarifier le débat. Mais une bergère vient affirmer que son Ami vaut mieux que richesse, science et sagesse.

    Et ta lumière
    Qui en moi sera toute entière
    Comme toi me fera légère
    Tu l'as fait et je t'en mercie
    Voilà l'état de la bergère
    Qui suivant d'amour la bannière
    D'autre chose ne se soucie

    En, 1860, Antoine Lacaze, maire et propriétaire du donjon, en fait don à la ville pour y loger les troupes. Le donjon Lacataye devient alors caserne départementale jusqu’en 1875, date à laquelle les militaires déménagent à la caserne Bosquet. Il n’en conservera pas moins pendant près d’un siècle le nom de Caserne Lacaze, malgré les affectations civiles qui s’y succédèrent : pensionnat de jeunes filles, centre de gymnastique, atelier municipal6. Le 11 février 1925, c'est en ces lieux que se tient la première émission de TSF de la ville7.

    De nos jours [modifier]

    En 1968, le maire Charles Lamarque-Cando y installe le musée Despiau-Wlérick consacré à la sculpture figurative de la première moitié du XXe siècle et dédié aux deux artistes montois Charles Despiau et Robert Wlérick. Une autre maison romane, jadis enserrée dans le rempart, se situe à côté du donjon. Ses murs, garnis de corbeaux, devait soutenir des galeries utilisables pour sa défense. Elle abrite aujourd'hui le musée Dubalen. Mont-de-Marsan compte deux autres maisons romanes fortifiées, souvenir de son système défensif mis en place peu après sa fondation.

    Notes et références [modifier]

    1. ↑ ab et c Classement du donjon Lacataye [archive], sur la base Mériméeministère de la Culture. Consulté le 22 août 2009
    2. Sur la place Marguerite de Navarre
    3. Voir la fondation de Mont-de-Marsan
    4. À l'emplacement de la préfecture des Landes
    5. Ils sont venus à Mont-de-Marsan [archive], Office de Tourisme
    6. Panneaux de présentation des monuments de Mont-de-Marsan
    7. Serge Pacaud, Mémoire en Images - Mont-de-Marsan, éditions Alan Sutton

    Voir aussi [modifier]

     

    Reherchez un château