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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 125

  • Château de La Ferté-Vidame

    Château de La Ferté-Vidame

    Château de la Ferté-Vidame.JPG
    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style Classicisme
    Début construction xive siècle
    Fin construction 1771
    Propriétaire initial Jean-Joseph de Laborde
    Propriétaire actuel Conseil général d'Eure-et-Loir
    Site internet [www.eurelien.fr Consulter]
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    48° 36′ 29″ Nord
    0° 53′ 59″ Est
    Pays France France
    Région historique Blason ville fr Chambellay (Maine-et-Loire).svg Perche
    Département Eure-et-Loir
    Commune La Ferté-Vidame
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de La Ferté-Vidame

    Le château de La Ferté-Vidame se situait à La Ferté-Vidame (Eure-et-Loir). Il n'en reste qu'une ruine impressionnante ainsi que les communs (« petit château »).

    Sommaire

    []

    Le château des Saint-Simon [modifier]

    Un château est attesté à La Ferté-Vidame dès 985. En 1374, le domaine est acquis par la famille de Vendôme qui fait reconstruire le château. Cette famille détient le titre prestigieux de vidame de Chartres.

    C'est ce château qui est acquis le 19 mai 1635 par Claude de Rouvroy, duc de Saint-Simon, favori de Louis XIII.

    Le célèbre mémorialisteLouis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, logea dans ce château qui a conservé son aspect médiéval de forteresse cantonnée de huit grosses tours, connu par des gouaches de Louis-Nicolas van Blarenberghe peintes vers 1750, conservées au musée de Boston. Il y écrivit la plus grande partie de ses fameux Mémoires. Vers 1718-1719, il fit construire le bâtiment des écuries (actuel « petit château »).

    Le château de Jean-Joseph de Laborde [modifier]

    Château de La Ferté-Vidame - État actuel.

    Louis de Rouvroy de Saint-Simon meurt en 1755. Le château passe à sa petite-fille, Marie-Chrétienne de Rouvroy de Saint-Simon de Ruffec, épouse de Charles-Maurice de Grimaldi de Monaco, comte de Valentinois. Le 21 juin 1764, celle-ci cède le château et les 900 hectares du domaine au financier Jean-Joseph de Laborde. Celui-ci acquiert, par la même occasion, le titre de vidame de Chartres, attaché à la propriété.

    Laborde confie à l'architecte Antoine Matthieu Le Carpentier le soin de reconstruire entièrement le château, dont il ne conserve qu'une partie du donjon féodal, mais rendue méconnaissable sous les ajouts. Les travaux, achevés en 1771, ne durent que trois ans, ce qui est court pour édifier un immense bâtiment de trois étages, qui comprenait, dit-on, 167 pièces. Le musée de Dreux en conserve une élévation.

    Le bâtiment est construit en briques et pierres, comme les réalisations de la première moitié du xviie siècle, mais dans un style original, qui apparaît comme une sorte de sublimation de la grande architecture classique. Le plan dessinait un trapèze très ouvert. Les pièces de réception étaient situées non pas au rez-de-chaussée, comme dans la plupart des maisons de campagne, mais au premier étage. Le pavillon central et les deux pavillons situés à l'extrémité des deux ailes étaient couverts de toits en domes carrés. Sur le jardin, la saillie ovale du corps central était manifestement inspirée du château de Vaux-le-Vicomte. Elle renfermait un salon ovale édifié sur deux niveaux et surmonté d'une coupole à laquelle répondaient les coupoles plus basses coiffant les pavillons latéraux. Les anciennes douves avaient été transformées en fossés gazonnés.

    Laborde dépensa à La Ferté-Vidame la somme insensée de 14 millions de livres. Il y reçut Louis XV le futur Joseph II d'Autriche et le duc de Choiseul.

    Le château après Laborde [modifier]

    En 1783Louis XVI contraint le duc de Penthièvre à lui céder son château de Rambouillet. En contrepartie, Penthièvre, qui possède déjà de vastes domaines en Normandie et dans lePerche, exige La Ferté-Vidame, que Laborde est contraint de lui vendre le 4 janvier 1784 pour 5 500 000 livres. Laborde ne conserve que le titre de vidame de Chartres, les meubles et objets d'art et les statues du parc, dont le duc de Penthièvre ne veut pas.

    A la mort du duc de Penthièvre en 1793, le domaine passe à sa fille, la duchesse d'Orléans. Mais, celle-ci ayant émigré, ses biens sont confisqués. Déjà saccagé par des pillards, le château de La Ferté-Vidame est vendu le 27 mars 1798 au sieur Cardot-Villers qui, fortement endetté, récupère tous les matériaux qui peuvent l'être et saccage la forêt en abattant 31 000 arbres. Ne parvenant pas à payer le prix de son acquisition, il est déchu de ses droits. Le domaine est remis en vente en juin 1803, mais il ne trouve pas preneur et reste dans le domaine de l'État.

    A la Restauration, il est restitué à la duchesse d'Orléans. Lorsque celle-ci meurt, en 1826, le domaine passé à son fils aîné Louis-Philippe, futur roi des Français. Il reconstitue le domaine, fait relever le mur d'enceinte, remettre en état les pièces d'eau, restaurer et agrandir le petit château. Mais la révolution de 1848 interrompt cette restauration.

    Les biens de la maison d'Orléans sont confisqués sous Napoléon III. En 1872, les Domaines vendent La Ferté-Vidame au baron Léon de Dordolot, qui s'y livre à sa passion de la chasse à courre. Il le revend en 1879 à un riche agent de change parisien, Charles Laurent. Ce dernier s'installe au petit château, agrandit le domaine, entreprend des travaux de restauration. Son fils, Roger Laurent, entretient un équipage de vénerie qui chasse sur le superbe domaine d'environ 6 000 hectares, dont près de 1 000 hectares entourés de murs et formant le parc. La chasse à tir y est aussi une des plus belles de France, où se retrouvent le monde de la finance et celui de la politique1. En 1913, ses héritiers vendent le château et le parc à la Société Forestière de Bretagne qui exploite la forêt jusqu'en 1921, avant de revendre le domaine à M. Carpentier, industriel à Villers-Cotterêts. Celui-ci le cède en 1923 à Christian Vieljeux, qui en revend la plus grande partie à la Société André Citroën qui y installe son centre d'essais. En 1945, la partie restant est vendue au Ministère de la Justice qui y installe le Révérend Père Courtois, fondateur de l'œuvre Sainte-Marie-Madeleine, de réinsertion sociale de femmes détenues de droit commun. L'œuvre cesse son activité en 1979, au décès de son fondateur. En1991, l'État cède le château au département d'Eure-et-Loir, qui entreprend des travaux pour le rendre accessible au public.

    Notes et références [modifier]

    1. Maurice de Gasté. L'équipage du marquis de Chambray. Souvenirs de vénerie. Paris, 1921. Réédition Evreux, 2001, p. 41.

    Liens externes [modifier]

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_La_Ferté-Vidame

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  • Site Web de l'Exposition Louis XIV à Versailles

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    Retrouvez le magnifique site de l'Exposition Louis XIV sur http://www.louisxiv-versailles.fr/

     

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  • Manoir de Le Cheylas

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    Manoir de Le Cheylas

    Description de l'édifice [modifier]

    Construit à partir de 1475, sur un terrain plat peut-être autrefois protégé par des fossés, il présente l'élégante façade d'un édifice typique du xvie siècle, ornée d'une belle tourelle d'escalier avec trois grandes fenêtres à meneaux moulurés en calcaire blanc, hélas dépouillés de leur parure. Ce n’est qu’au xviiie siècle que la tour fut recouverte d’un toit.

    À l'arrière du bâtiment, sur l'angle sud-ouest, prend place une grosse tour circulaire de 8 mètres de diamètre intérieur, aux murs épais de 1,50 mètres. Percée d'ouvertures semblables à celles du corps de logis et disposées au même niveau, chaînée au mur ouest, cette tour ne peut en aucun cas lui être antérieure, en dépit de sa réputation d'ancienneté.

    En fait, c'est à l'intérieur de cette tour que peut être vue la partie la plus ancienne de l'édifice : il s'agit de l'angle sud-ouest d'un bâtiment quadrangulaire de 6 mètres par 9, aux murs peu épais. Sur les murs sud et ouest ont été alignés ceux du logis du xvie siècle.Les seules ouvertures caractéristiques appartenant à ce premier bâtiment sont deux archères en trou de serrure, appareillées en tuf, qui n'autorisent pas une datation plus haute que le xve siècle.

    Que penser de la baie géminée surmontée d'un oculus sur la façade principale, à dater plus précocement ? (Fin xive siècle).Sans doute s'agit-il d'un remploi : cette ouverture éclairant la chapelle privée laisse supposer l'existence d'un bâtiment antérieur. Cette chapelle, très exiguë, est couverte d'une croisée d'ogives se réunissant sur le blason des Boutières, qui représente un lion toutes griffes dehors. Une fenêtre donnant dans l’escalier permettait aux domestiques d’assister à la messe.

    La cave voûtée est en bon état. Une dalle recouvre un trou qui, aux dires des anciens, pourrait être ce qui reste des oubliettes. Au rez-de-chaussée, on remarque l’emplacement des «bouches à feu » et, une chose curieuse, un boulet de canon scellé dans la muraille qui serait un symbole ésotérique de l’époque. En entrant, on découvre un superbe escalier en colimaçon qui dessert les étages. Au rez-de-chaussée, il ne faut pas manquer d’apprécier le plafond à la française de la salle des cuisines. Une chambre présente des poutres fabriquées en 3 pièces, travail de charpentiers locaux dont la renommée dépassait nos frontières. La salle des gardes communiquait, par un escalier aujourd’hui muré, avec une salle de police, située dans la tour, sous la chapelle. Au même étage sont implantées les chambres. Celle qui est en façade sud a été une chambre nuptiale. Ce sont les deux cœurs gravés dans la pierre des meneaux qui nous l’apprennent. C’est l’hommage du sculpteur rendu à de jeunes époux.

    Des communs construits au xviiie siècle encadrent la cour. L’un d'eux abritait une magnanerie (élevage de vers à soie) construite sous Louis XIV.

    Le manoir a été inscrit le 18 juillet 1951 à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, qui concerne les édifices qui "sans justifier une demande de classement immédiat, présentent un intérêt d'histoire ou d'art suffisant pour en rendre désirable la préservation ». Le manoir est également protégé au titre de la législation sur les monuments historiques dans le département de l’Isère.

    Le manoir à travers l'Histoire [modifier]

    En 1463, Claude COCT, originaire de la Buissière, obtient par lettres royales l’autorisation d’exploiter les mines de fer comprises dans les châtellenies de Theys, Allevard et Vizille, et de fabriquer de l’acier.

    C’est probablement à cette époque que se construit un four à Saint-Vincent de Mercuze, pour traiter le minerai acheminé à Saint-Pierre d’Allevard, à dos de mulets, jusqu’à Le Cheylas où l’Isère est traversée. Pour parer aux incursions des Savoyards, un ouvrage militaire, le manoir de la Tour, est édifié à proximité du lit de la rivière. En effet, n’oublions pas qu’à cette époque, la Savoie, indépendante très proche, présentait un danger permanent pour les Dauphinois.

    Le manoir appartient en 1515 au seigneur et chevalier Sébastien Guiffrey, dont le nom, déjà célèbre au xiiie siècle, est mêlé à toutes les traditions chevaleresques du Dauphiné. Il y rend l’âme dans la nuit du 15 février1515. Sa famille est réunie au manoir à cette occasion. Ses deux filles aînées sont en prière dans la chapelle, tandis que la troisième, occupée à enrayer une épidémie de peste dans la chapelle du Prémol, n’a pas pu venir. Sont également présents les époux des deux filles aînées, Pierre de Theys et Georges de Beaumont, seigneur de l’Arthaudière. Après avoir distribué des aumônes et demandé des prières aux religieux de Mians, Sébastien meurt sans avoir revu Guigues, son fils. Il sera enterré aux Chaberts où repose déjà son épouse Lionnette de l’Arthaudière. Guigues, surnommé « le brave Boutières », guerroie pendant ce temps-là en Italie aux côtés de Bayard et du « Bâtard du fay », seigneur de Mailles. Et lorsque Bayard est blessé à Rovasenda, c’est Guigues qui prend le commandement des armées royales. Plus tard, Guigues est blessé en tentant de refouler l’Anglois, et, dédaignant le Manoir de Le Cheylas, va s’installer au château du Touvet.

    Il mourra en 1545, laissant quatre filles et un garçon né au Manoir de la Tour, Claude Guiffrey du Cheylas. Mais lorsque sa sœur aînée, unique héritière de tous les biens de la famille, se marie en 1558, il doit abandonner le titre de « du Cheylas ». Il sera le dernier noble à le porter.

    Le manoir de Le Cheylas est ensuite utilisé par le connétable de Lesdiguières qui en fait son quartier général lors de la bataille de Villard Noir qui oppose les Dauphinois aux Savoyards en 1591.

    Dans le 1er quart du xviiie siècle, le manoir est occupé par la famille Merlin. En 1760, un certain Merlin du Cheylas est conseiller au parlement de Grenoble. Il se dit descendant de Claude Guiffrey, ce qui est faux. Il se rendra célèbre en étant le dernier duelliste en Dauphiné. À noter que les duels étaient interdits, et les juges ne plaisantaient pas avec la loi. Le duelliste survivant était pendu puis étranglé par le bourreau... après sa mort !

    Cela n’empêcha pas un certain Jacques-François Raymond Merlin du Cheylas, juge de son état, de se battre en duel en 1769. Cet homme peu apprécié car colérique était en plus un tricheur, car pour être sûr de gagner son duel, il s’était muni d’un plastron en fer. Son adversaire ne pouvait donc pas le blesser. Après avoir tué celui-ci, il s’enfuit à cheval. La même année, il fut inculpé de triple crime, duel, assassinat et fuite. Il échappa à la sentence en se réfugiant à Turin. Il revint en France en espérant être amnistié. Mais l’affaire s’éternisant, il se pendit dans sa cellule et on l’enterra discrètement. Mais tout était en fait manigancé depuis le début, et il n’y avait personne dans le cercueil. Personne ne sait ce qu’il est devenu.

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Manoir_de_Le_Cheylas

     

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  • Le Manoir de la Tour (Le Cheylas)

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    Le Manoir de la Tour

    Article détaillé : Manoir de Le Cheylas.

    Construit à partir de 1475, le Manoir de la Tour présente l'élégante façade d'un édifice typique du xvie siècle. Il présente une belle tourelle d'escalier avec trois grandes fenêtres à meneaux moulurés en calcaire blanc, hélas dépouillés de leur parure. Ce n’est qu’au xviiie siècle que la tour fut recouverte d’un toit.

    A l'arrière du bâtiment, sur l'angle sud-ouest, prend place une grosse tour circulaire de 8 mètres de diamètre intérieur, aux murs épais de 1,50 mètres. Une chapelle, très exiguë, est couverte d'une croisée d'ogives se réunissant sur le blason des Boutières, qui représente un lion toutes griffes dehors. Une fenêtre donnant dans l’escalier permettait aux domestiques d’assister à la messe.

    La cave voûtée est en bon état. Une dalle recouvre un trou qui, aux dires des anciens, pourrait être ce qui reste des oubliettes. Au rez-de-chaussée, on remarque l’emplacement des «bouches à feu » et, une chose curieuse, un boulet de canon scellé dans la muraille qui serait un symbole ésotérique de l’époque.

    En entrant, on découvre un superbe escalier en colimaçon qui dessert les étages. Au rez-de-chaussée, il ne faut pas manquer d’apprécier le plafond à la française de la salle des cuisines. Une chambre présente des poutres fabriquées en 3 pièces, travail de charpentiers locaux dont la renommée dépassait nos frontières. La salle des gardes communiquait, par un escalier aujourd’hui muré, avec une salle de police, située dans la tour, sous la chapelle. Au même étage sont implantées les chambres. Celle qui est en façade sud a été une chambre nuptiale. Ce sont les deux cœurs gravés dans la pierre des meneaux qui nous l’apprennent. C’est l’hommage du sculpteur rendu à de jeunes époux.

    Des communs construits au xviiie siècle encadrent la cour. L’un d'eux abritait une magnanerie (élevage de vers à soie) construite sous Louis XIV.

    Le manoir a été inscrit le 18 juillet 1951 à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Le manoir est également protégé au titre de la législation sur les monuments historiques dans le département de l’Isère.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Cheylas#Le_Manoir_de_la_Tour

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  • Livre - Relais et Châteaux , Edition 2009Collectif

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    Relais et Châteaux , Edition 2009Collectif

    • Guide (broché). Paru en 01/2009
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  • Château Malromé

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    Château Malromé

    Le château Malromé
    Le château Malromé

    Présentation
    Période ou style
    Début construction xvie siècle
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    44° 36′ 09″ Nord
    0° 12′ 48″ Ouest
    Pays France France
    Région historique Guyenne
    Région Aquitaine
    Département Gironde
    Commune Saint-André-du-Bois
    Géolocalisation sur la carte : France
    France location map-Regions and departements.svg
    Château de Malromé

    Le château Malromé se situe sur la commune de Saint-André-du-Bois, dans le département français de la Gironde. Il était la demeure familiale du peintre Henri de Toulouse-Lautrec.

    Sommaire

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    Présentation [modifier]

    Le vignoble de Malromé couvre une superficie d'une quarantaine d'hectares, situés sur des coteaux argilo-graveleux. Son terroir est réputé depuis des siècles.

    Historique [modifier]

    La comtesse Adèle de Toulouse-Lautrec dans son salon au château Malromé, en 1887

    Les premières traces du château et de son vignoble remontent au XVIe siècle avec la construction de la « maison noble de Taste » par Étienne de Rostéguy de Lancre, membre duParlement de Bordeaux, seigneur de Saint-Macaire et de Rauzan.

    Vers 1780, le château est transmis à Catherine de Forcade, veuve du baron de Malromé, qui rebaptisera le château du patronyme de son époux.

    En 1847, le château est transmis à Adolphe de Forcade Laroquette, président du Conseil d'État sous Napoléon III, et à son demi-frère, le maréchal Armand Jacques Leroy de Saint-Arnaud, gouverneur de Paris et ministre de la Guerre. Tous deux feront restaurer le château "d'aprèsViollet-le-Duc".

    En 1883, La comtesse Adèle de Toulouse-Lautrec fit l'acquisition du domaine, attirée par la proximité de Verdelais, haut lieu de pèlerinage.

    Son fils, Henri effectuera de fréquents séjours à Malromé. Il se plaît en ces lieux, peint sans relâche et, pour se détendre, rame et tire à l'arc avec des engins envoyés par son père[réf. nécessaire]. C'est à Malromé qu'il finira ses jours le 9 septembre 1901.