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Châteaux de France et d'ailleurs - Page 6

  • Château de Tonquédec

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    En savoir plus : http://www.tonquedec.com/#HISTOIRE_HISTORY.A

     

     

    "Histoire du château

     
     
     
     

    C’est au Sud d’une ancienne motte féodale placée à l’extrémité de l’éperon rocheux qui domine la vallée du Léguer que fut construit le château des sires de Coëtmen, à Tonquédec.

     

    Possédé par un certain Prigent, seigneur de ce lieu dès la fin du XIIème siècle, il passe à la faveur du mariage de sa fille dans la famille de Coëtmen qui en restera propriétaire jusqu’au début du XVIème siècle. Durant les guerres de succession qui ensanglantent le duché de Bretagne, le château primitif en pierre est en grande partie détruit en 1394.

     

    À partir de 1406 et après s’être rangé aux cotés du duc de Bretagne, Roland III de Coëtmen entreprend la reconstruction du logis Nord et de son aile Est. Tout au long du XVème siècle, ses successeurs s’attacheront à l’agrandir, le compléter, le moderniser et à l’adapter au développement de l’artillerie. C’est de cette époque que datent la plupart des bâtiments que nous connaissons aujourd’hui.

     

    Dans la première partie du XVIème siècle et jusqu’à la première moitié du XVIIème siècle, par le jeu des successions, le domaine devient propriété de la famille d’Acigné puis de la famille Gouyon de la Moussaye, qui entreprendra la réparation et le complément de l’enceinte de l’avant cour.

     

    Dans la première moitié du XVIIème siècle, après le démantèlement de l’édifice sur ordre de Richelieu, le château est vendu à la famille du Quengo. Subissant un long déclin au cours des siècles suivants, l’ensemble est vendu en 1879 à un marchand de biens qui envisage de l’exploiter en carrière de pierres.

     

    Alors que sa fille épouse le comte Pierre de Rougé, le marquis de Keroüartz parvient à acquérir les ruines du château et les offre à sa fille, la famille de Coëtmen s’étant éteinte dans celle de Rougé en 1749. Le dernier baron de Coëtmen, avant la Révolution, était ainsi Bonabes Louis Victurnien Alexis (1778-1838), marquis de Rougé, futur pair de France et maréchal de camp, grand-père du comte Pierre de Rougé (1855-1912).

     

    Depuis les années 1950, d’importants travaux de consolidation et de cristallisation des ruines sont menés à l’initiative des propriétaires, sous la direction des architectes en chef qui se succèdent, avec l’aide du département, de la région et de l’État.

     

    La plupart des vestiges sont consolidés à la fin des années 1990 et donnent au château sa physionomie actuelle. La dernière intervention (tour de Rougé ou donjon Nord) a eu lieu en 2005-2006.

     

    Le château de Tonquédec a été classé parmi les Monuments Historiques par liste de 1862.

     

    L’ensemble castral, constitué de deux espaces distincts, présente une morphologie liée à la topographie du site sur lequel il s’implante : au Nord se trouve une cour haute dont l’accès est commandé par un châtelet muni d’un pont-levis aujourd'hui disparu. Elle constitue une esplanade autour de laquelle s’organisent les ruines des différents logis et tours (la tour de Rougé et la tour d’Acigné), elle abritait les espaces de vie et les pièces nobles du château. Au Sud se trouve une avant cour ou basse cour entourée d’épaisses courtines disposées au delà du fossé et destinée à protéger l’enceinte primitive des progrès de l’artillerie.

     

    Le château de Tonquédec présente aujourd’hui un ensemble architectural cohérent tout à fait exceptionnel avec ses onze tours dont deux donjonsreliés à l’édifice principal par des pont-levis.

     

    L’édifice est un témoin majeur de l’architecture militaire du Moyen-Âge et est d’autre part un lieu idéal pour découvrir les savoir-faire des artisans, l'art de la guerre et la vie quotidienne dans un château fort entre le XIIème et le XVIème siècle."

  • Sur les terres du Poitou, un château des 15e et 19e siècles inscrit MH, son oratoire classé MH et ses jardins

    En savoir plus : https://www.patrice-besse.com/chateaux-a-vendre/poitou-charentes/hotel-equitation-jardins/

    "Situation

    340 km de Paris, dont un peu plus de 300 km par autoroute ; 35 km de la gare de Châtellerault d’où le TGV rejoint Paris en 80 minutes, et 50 minutes de l’aéroport de Poitiers avec vols réguliers pour Londres. En Poitou-Charentes, au cœur d’une campagne ondulante avec des petits champs et des prairies ponctués de bois de chênes et de châtaigniers. Un environnement calme, préservé, non loin de villes romanes et médiévales appréciées pour leur patrimoine et leur bien-être. En été, de nombreux festivals d’art et gastronomiques sont organisés dans un rayon proche.

    Description

     

    Le domaine de 32 hectares est desservi par une route de campagne partant du village et longeant les haies des prés sur environ un kilomètre. L’entrée discrète entourée d’un bois mène jusqu’au portail principal. Une fois l’enceinte franchie par une ouverture donnant sur une large cour, le visiteur se retrouve au milieu du jardin de haies, de buis et de roses qui s'étend au pied du château. Au sud, les tours dominent un escarpement surplombant la vallée où coule la rivière qui borde le domaine sur toute sa longueur. Au nord, les écuries forment un U où se succèdent également d'anciens communs : caves, fours à pain, poulailler, logement des employés etc. A l’ouest, entre les bâtiments, un passage conduit dans un grand jardin de buis et un bassin à canards, puis à droite vers le potager. Plus loin, le tennis et l’orangerie.
    Le domaine cumule 30 hectares de bonnes prairies et de bois et la moitié de la largeur de la rivière sur presque 1 km.

    Le château

    Dressé en position dominante sur un promontoire au-dessus de la vallée, le château forme à première vue un enchevêtrement touffu de tours, de gables et de toitures coniques ponctué de larges fenêtres à meneaux, de mâchicoulis et de hautes cheminées.
    La construction du château d'origine a été achevée en 1490, dans les toutes dernières années du Moyen Age. Malgré certains ajouts réalisés au 19ème siècle, sa chapelle a conservé intact une décor peint datant de cette époque. Les volumes intérieurs sont bien configurés et malgré l'étendue du bâti, la circulation y est logique et rationnelle. Le château est inscrit Monument historique dans sa totalité et l’oratoire est classé. L’ensemble est en très bon état et certaines toitures d’ardoise récemment refaites sont encore sous garantie décennale.
    L'entrée principale se fait par la tour ronde massive après avoir à traversé à pied une petite cour et son jardin médiéval aménagés devant le château. La porte surmontée d’une couronne de baron est richement ornée de motifs gothiques, gables et ogives dont le pinacle forme un angle à 45 degrés.
    Il existe un autre accès pour les véhicules.
    La surface habitable est d'environ 900 m².


    Rez-de-chaussée
    L’entrée par la tour accède à une pièce voûtée éclairée par des fenêtres à vitraux représentant des scènes de chevalerie, puis au salon et à l’escalier. Une deuxième porte à l’est ouvre directement dans la grande cuisine, bien agencée avec des équipements modernes installés récemment dans le respect de ses éléments historiques. La cheminée est équipée d’un mécanisme de rôtisserie. Au fond, dans une tour, une souillarde. Près de la cheminée, une porte ouvre sur une large terrasse qui court tout le long de la façade côté sud et surplombe la vallée. Un petit belvédère se trouve à l’extrémité ouest. De la cuisine, un couloir rejoint la pièce d’entrée et conduit à la salle à manger au volume impressionnant où trône une cheminée monumentale arborant un blason supporté par deux angelots. Le plafond à la française est peint, les murs recouverts de boiseries jusqu'à mi-hauteur sont rehaussés d’une soierie rouge et orange, les portes et leurs chambranles sont de style gothique.
    A côté de la salle à manger, l’oratoire, monument classé pour ses fresques du 15eme siècle illustrant l'enfance du Christ, le Jugement dernier, le dict des trois morts et des trois vifs et le Christ en gloire entouré du tétramorphe. L’autel est au fond et au-dessus, une étroite fenêtre arquée éclaire la chapelle. Un des murs est percé d’une niche, à la croisée des voûtes est sculptée une curieuse tête. De là, le seigneur du lieu pouvait entendre la messe sans être présent dans la chapelle.
    Le grand salon, lui aussi monumental, dégage une forte atmosphère avec sa cheminée, la plus vaste du château. Le plafond à la française est peint, le sol en parquet de chêne à bâton rompus. La pièce est doublement éclairée grâce à la judicieuse utilisation de vitraux et, à l’opposé, d'une large fenêtre à meneaux et d'une porte donnant au sud sur la terrasse, qui apportent la plus grande partie de la lumière. Les murs sont similaires à ceux de la salle à manger. Au bout du hall, à côté de l’entrée principale, la salle de billard avec sa cheminée précède la salle de sport et la chaufferie.
    Premier étage
    Le niveau réunit sept chambres, quatre salles de bain et un bureau.

    Deuxième étage
    Les deux escaliers qui desservent les étages mènent à ce niveau où se trouvent cinq chambres et trois salles de bain.

    Sous-sol
    Les caves qui y sont aménagées permettent de faire maturer un grand nombre de bouteilles de vin. Installée à l’écart, une chaufferie avec sa grosse cuve à fuel précède une buanderie.
    Ensemble de bâtiments

    Le jardin

    Les dépendances

    Dressées au nord du château, elle comprennent des écuries, diverses remises et d’anciens logements pour le personnel. S'y ajoutent une orangerie et une ancienne tour où a été aménagée une salle de billard.
    Inscrites M.H.comme le château, elles forment un U autour d'une cour orientée au sud et fermée par une grille en fer forgé. A gauche, les écuries et la sellerie, à droite, une série de volumes incluant des caves et cellier, un original poulailler voûté, des garages à carrioles ainsi que les logements du personnel qui devront être restaurés. Le chenil est installé à l’arrière. L’ensemble s'élève sur un niveau pour une surface globale d'environ 900 m².
    Une ancienne tour dressée entre les dépendances et le château a été convertie en salle de billard. Quant à l’orangerie d’environ 50 m², elle a été construite au 19ème siècle à l’extrémité ouest des jardins.
    Sur la berge de la rivière, une maisonnette de pêcheur de fort belle facture se prolonge par une jetée couverte.

    Les jardins

    L'ensemble est très spectaculaire et fort bien entretenu. Devant le château, des haies de buis entourent des rosiers en un dessin complexe basé sur la géométrie et l'axialité, inspiré des gravures réalisées par André Mollet dans son fameux traité de 1651 ‘Le Jardin de plaisir’. Un autre jardin non moins vaste et impressionnant a été aménagé côté ouest sur trois terrasses dominant la vallée où serpente la rivière. Le bassin adjacent s'étend sur plus de 50 m².

     

    Ce que nous en pensons

    Malgré les ajouts extérieurs réalisés au 19ème siècle et quelques aménagements intempestifs imposés aux intérieurs, on perçoit encore parfaitement la nature intime de cet extraordinaire monument bâti durant le dernier quart du 15ème siècle, donc au crépuscule du Moyen Age. Le cadre hors du commun où il se dresse aide à raviver ce souvenir : aucune nuisance, pollution ou élément visuel disgracieux à l'horizon, le décor est sans doute le même qu'à l'époque où les chasses à courre s'élançaient à partir des communs. Forte de ses douze chambres et de sa cuisine très bien équipée, les formules ne manquent pas pour exploiter la propriété au mieux : grandes réceptions, élevage de chevaux... la rivière en contrebas y ajoute un atout non négligeable, d'autant qu'elle peut servir à l’irrigation du domaine. Quant au jardin, il est d'une rare maîtrise.

    3 950 000 €
    Les prix indiqués incluent nos honoraires de négociation.

     

    Référence 813406

    Surface du bâtiment principal 900 m² m2

     

    Responsable

    Henry Lewis       +33 1 42 84 80 85

     

    CONTACTER

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    NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité."

  • Au cœur de Chatou, dans les Yvelines, un hôtel particulier familial, entre ville et campagne

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    "Situation

    La propriété est située au cœur de Chatou, à 11mn de la Défense, 15mn de l’Etoile et 10mn de Saint-Germain-en-Laye. La station RER A Chatou-Croissy, est à 7 mn à pied. Toutes commodités, marché, cinéma, piscine, sont aux alentours. Les écoles publiques comme les écoles privées Perceval ou Jeanne d’Arc Notre-Dame sont accessibles à pied en quelques minutes. Les établissements scolaires Le Bon Sauveur du Vésinet ou la British School of Paris de Croissy-sur-Seine sont respectivement à 6 et 10 mn en voiture comme à vélo. A proximité : les golfs de l’Ile Fleurie, de Rueil-Malmaison ou de la Grenouillère, le poney-club de l’île, le centre équestre de Buzenval, les Haras de Jardy, la Seine, ses activités nautiques et ses promenades réservées aux piétons et aux vélos.

    Description

     

    Cet hôtel particulier néo-gothique a été construit en 1880 par un architecte catovien. Orienté est-ouest, il est baigné de lumière. Il comprend un hall dont les portes peuvent s’ouvrir vers le jardin et qui sert de terrasse couverte l’été, un vestibule, une double pièce de réception avec une cheminée et une cuisine avec un accès vers le jardin. Dans les étages, se situent six chambres, un bureau, une salle de douche avec un coin buanderie et trois salles de bain. L'espace dédié aux parents est constitué d’une chambre d’environ 30m2, d’un dressing et d’une salle de bain. La hauteur sous plafond de ces trois étages principaux est d’environ quatre mètres. Le dernier étage est à finir d’aménager pour y installer des chambres supplémentaires, une salle de jeu ou un atelier. Le sous-sol, qui dispose d’une belle hauteur sous plafond, est constitué de trois pièces semi-enterrées et d’une cave à vin. Un jardin d'environ 130m2 et un garage complètent ce bien. La totalité de la propriété, y compris la toiture, l’isolation, les baies et les façades, a été restaurée et rénovée, entre 2013 et 2015, dans le respect et pour la mise en valeur des éléments d’architecture et de décoration anciens tels que les parquets, les moulures, les boiseries, les vitraux ou les bas-reliefs. Elle est équipée de systèmes anti-intrusions."
     
  • Vente château AVIGNON

    "Ancienne possession royale, transmise à la Maison d'Uzès par Philippe Le Bel en 1281, ce majestueux château historique, remarquablement restauré et parfaitement entretenu, témoigne de la puissance des familles qui s'y sont succédées. Il est édifié en bordure d'un village, en position dominante, autour d'un donjon carré et comporte une suite de quatre tours reliées par un chemin de ronde. Il est entouré d' un magnifique parc clos d' un hectare et bénéficie d' une vue sur plusieurs kms.
    On pénètre dans l'enceinte fortifiée depuis le parc par une immense porte qui commande l'accès à la cour d'honneur. Une deuxième porte autrefois équipée d'une herse garde l'entrée du château proprement dit.

    Le château offre une surface habitable d'environ 800m² et 19 pièces principales.

    - Rez-de-chaussée : 4 pièces voutées dont la salle des gardes et l' ancienne cuisine.

    Les deux étages nobles sont desservis par un très bel escalier d' honneur XVIIIème et l'escalier à vis d'origine."

    Lire la suite : http://www.groupe-mercure.fr/acheter/vente-chateau-vaucluse-10480-11989vm.html

  • LOUIS XIV, LE ROI DE FEU, grand spectacle pyrotechnique les 7, 8, 14 et 15 juillet dans les Jardins du Château de Versailles

    LOUIS XIV, LE ROI DE FEU, grand spectacle pyrotechnique les 7, 8, 14 et 15 juillet dans les Jardins du Château de Versailles
    © Thierry Nava / Groupe F

     

     

     

  • Un nouveau site Web dédié aux jardins de Versailles : http://animationjardins.ressources.chateauversailles.fr/#

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    http://animationjardins.ressources.chateauversailles.fr/#