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yvelines - Page 3

  • Château de Boulémont

    Château de Boulémont

    Château de Boulémont

    {{{légende}}}
    Vue générale de l'édifice

    Présentation
    Période ou style Classique
    Type Château
    Date de construction XVIIème, XIXème siècle
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
     
    Pays France
    Commune {{{commune}}}
    Monument - Monuments par pays

    Le château de Boulémont se trouve sur le territoire de la commune d'Herbeville, dans le département français des Yvelines. Il se situe dans un lieu-dit du même nom, entre Herbeville et Crespières.

    Histoire [modifier]

    Jardins [modifier]

    Le château dans son parc

    Les vastes jardins de Boulémont comportent entre autres un potager, une serre, et d'autres monuments d'agréments comme un bassin ou une fontaine.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Boul%C3%A9mont

  • Château de Wideville

    Château de Wideville

    Château de Wideville

    Le château de Wideville est situé en France sur la commune de Crespières dans le département des Yvelines, en région Île-de-France, à 17 km à l'ouest de Saint-Germain-en-Laye.

    Château de style Louis XIII, il est situé à la limite entre Crespières et Davron.

    Le nom de Wideville pourrait provenir du nom d'un compagnon de Guillaume Le Conquérant, Hugues de Guideville, qui aurait perdu son "g", pour donner Udeville, puis Videville en 1366. Le nom Wideville existe également en Angleterre.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    Le domaine de Wideville appartient au xvie siècle à René de Longueil, marquis de Maisons, gouverneur de Saint-Germain. Le domaine est vendu en 1579 par les héritiers de Pierre Picquet, trésorier de la reine de Navarre, à Benoît Milon, premier intendant des finances d'Henri III puis gestionnaire des finances de la Ligue. Il y fait construire le château actuel sur l'emplacement d'un ancien manoir, de 1580 à 1584, selon les plans des "maisons des champs" de Jacques Androuet du Cerceau, issus de son Livre d'Architecture [...] pour seigneurs, gentilshommes et autres qui voudront bastir aux champs. Le château est remanié en 1620 par Claude de Bullion, surintendant des finances de Louis XIII, qui fait redessiner et embellir les jardins en les agrémentant de fabriques. Un demi-siècle plus tard, Noël de Bullion agrandit le domaine et fait bâtir le colombier.

    En 1870, le château est la propriété du Comte de Galard, qui y entreprend de sévères restaurations extérieures (ravalement des maçonneries) et intérieures (suppression de la vis, rénovations des peintures des solivages et faux enduits sur les murs et les voûtes), mais sans que soient modifiées les principales dispositions.

    Parmi ses propriétaires célèbres, citons le duc d'Uzès (Jean-Charles de Crussol), la duchesse de Châtillon, et Bonabes VI Louis Victurnien Alexis, marquis de Rougé.

    Il est actuellement la propriété du couturier italien Valentino Garavani.

    Architecture [modifier]

    Isolé sur une plate-forme ceinte de fossés cantonné de petits bastions en brique qui rendaient inutiles les ailes en retour et le mur de clôture traditionnel, Wideville est composé d'un corps de logis unique animé d'un haut pavillon central et de deux petits pavillons latéraux aux extrémités des deux corps longitudinaux plus bas, formule héritée de Jacques Androuet du Cerceau.

    Le plan de l'édifice s'apparente à ceux de Du Cerceau, dans la disposition symétrique des appartements (deux à chaque étage de part et d'autre des vestibules et des salles du pavillon central.

    Il s'agit d'une élévation d'une grande simplicité. Les façades dont composées d'un parement en briques et les chambranles harpées des fenêtres sont en pierre blanche de Crespières. Le seul ornement réside dans la façade arrière avec deux travées de niches des tableaux laissés nus entre les baies. Elles avaient été garnies en 1630 des statues des quatre éléments deJacques Sarrazin.

    Les combles sont éclairés d'oculi à bossages chanfreinés, d'un type courant chez Du Cerceau. Ils alternent avec des lucarnes à fronton, à base interrompues et ailerons.

    L'entrée se présente sous la forme d'un portique, au dessin proche de celui que Philibert de l'Orme réalisa en 1550 à Saint-Léger-en-Yvelines.

    Intérieur [modifier]

    Le logis possède quatre cheminées sculptées, attribuées à Mathieu Jacquet (fin du xviie siècle), dont l'une présente une peinture de nature morte à personnage par Louise Moillon (vers1633).

    Les pièces du rez-de-chaussé sont ornées de poutrelles anciennes peintes par Simon Vouet.

    Les escaliers à vis et montée droite possèdent des balustrades en bois.

    Jardins [modifier]

    • L'ermitage, datant du xviiie siècle, est orné de boiseries de style Louis XV.

    Il ne reste des bâtiments des jardins anciens plus aucune trace, hormis la grotte, presque intacte, qui est le seul vestige visible. Les autres éléments ont été détruits, notamment en 1733.

    • A l'extérieur des douves était construite une galerie ouverte menant à une petite chapelle élevée pour Benoît Milon, décorée en 1584 de peintures de Toussaint Dubreuil (disparues).
    • Grotte artificielle, l'une des dernière existante, édifiée entre 1635 et 1636 par l'italien Thomas Francine, intendant général des fontaines du roi, dans un style proche de la grotte du palais du Luxembourg (1630). Son décor intérieur est en mosaïque de pierres et de coquillages, en stucs de Sarrazin, encadrant un plafond peint par Simon Vouet (Le Parnasse, Jupiter, et Antioche), restauré de 1970 à 1976. Les sculptures sont de Jacques Sarrazin et Philippe de Buyster. Les grilles en fer forgé à décor floral en tôle martelée qui en ferment l'entrée et les trois baies d'ouvertures sont l'œuvre du serrurier parisien François Marchand (1636). Les murs sont décorés de coquillages et cristaux polychromes. Elle se présente sous la forme d'un petit bâtiment sur plan carré avec une façade en arc triomphal. Elle est recouverte de congélation. Elle se trouvait à l'origine au fond d'un nymphée qui était composé d'un enclos carré aux murs creusés sur leurs faces internes de niches, dans lesquelles étaient disposées des statues de dieux et de déesses réalisées par Philippe de Buyster. Ce nymphée, probablement construit par l'architecte Lemercier, enfermait en son centre un bassin carré. Détruit en 1819, seules sept statues ont été sauvées. Elles ornent aujourd'hui le tapis vert à l'entrée du château.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Wideville

  • Château de Thoiry

    Château de Thoiry

    Château de Thoiry

    Château de Thoiry, côté jardins
    Château de Thoiry, côté jardins

    Présentation
    Période ou style Renaissance
    Type Château
    Architecte Philibert de l'OrmeJean De l'Orme
    Date de construction années 1560
    Classement M.H.
    Géographie
    Latitude
    Longitude
    Non renseigné
    (Chercher ce lieu)
    Pays France
    Commune {{{commune}}}
    MonumentMonuments par pays

    Le château de Thoiry est un château de la Renaissance situé à Thoiry dans le département des Yvelines, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Paris.

    Sommaire

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    Histoire [modifier]

    Ancien Régime [modifier]

    Vue du château de Thoiry.

    A partir de 1559, Raoul Moreau, trésorier de l'Épargne du roi Henri IIcommande au maître maçon Olivier Ymbert (originaire de Saint-Léger-en-Yvelines et qui avait travaillé quelques années auparavant au château de Rambouillet) et à l'architecte Philibert de l'Orme la construction d'un château à Thoiry, sur un site occupé depuis le xiie siècle. Les travaux furent achevés quelques années plus tard, sous la direction de Jean Moreau, qui avait succédé à son frère comme surintendant des bâtiments du roi.

    Après la construction des dépendances – ferme, écuries, bergeries, colombier – un corps de logis simple en profondeur auquel deux pavillons rectangulaires sont reliés par des terrasses est édifié à partir de 1562. Vers 1580, l'avant-cour, qui descend par une suite de terrasses et de perrons jusqu'à la route de Neauphle-le-Château, est aménagée.

    L'ensemble, édifié en briques et moellon enduit, est d'une grande simplicité1.

    Au debut du xviiie siècle, des transformations sont effectuées, peut-être sous la direction de Jean-Michel Chevotet, architecte duchâteau de Champlâtreux. Deux pavillons de deux étages sont adossés aux pavillons originaux, l'escalier central est remplacé par un escalier à jour dans l'un de ces pavillons.

    Le parc est redessiné vers 1720 dans le style classique.

    En 1739, la seigneurie appartient à M. de Vatan. Elle passe ensuite au comte Charles de Machault d'Arnouville, fils du garde des sceaux de Louis XVJean-Baptiste de Machault d'Arnouville, par l'intermédiaire de sa femme, Angélique de Baussan.

    Leur héritière, Henriette de Machault d'Arnouville (1808-1864), marquise de Vogüé par son mariage en 1826 avec Léonce de Vogüé, fait moderniser le château vers 1840 : la façade sur jardin est rhabillée de pierre, la cour et l'avant-cour sont supprimées, le jardin est mis au goût du jour par Louis-Sulpice Varé.

    Depuis son acquisition en 1609 par Guillaume Marescot, le château de Thoiry est resté depuis 16 générations la propriété de la même famille, devenue la famille La Panouse depuis lexixe siècle, la transmission se faisant souvent par les femmes2.

    Ce château a traversé les siècles et les événements comme la Révolution, quasiment intact, et a conservé de ce fait son mobilier de différentes époques et d'importantes archives historiques.

    Époque contemporaine [modifier]

    Le château sert de décor en 1966 à quelques scènes du film Paris Brûle-t-il ? de René Clément. Le château, ouvert au public depuis 1968 par le comte Antoine de la Panouse, est aussi célèbre pour son zoo parc animalier. Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1973. Le domaine boisé qui l'entoure couvre 380 hectares, dont 130 sont occupés par le parc animalier.

    Intérieur [modifier]

    La totalité du château ne se visite pas. Seules quelques salles du rez-de-chaussé sont ouvertes au public, la chapelle, par exemple, est fermée.

    Escalier d'honneur [modifier]

    La pièce abritant l'escalier d'honneur est ornée de quatre tapisseries des gobelins de la série les amours des dieux, aux armes du poète Guillaume Budé : Vénus au bainDiane de retour de la chassele mythe de Narcisse, et L'enlèvement d'Europe. Dans l'entrée figurent plusieurs portraits, dont l'un représente Marie-Hélène Béjot, comtesse de La Panouse.

    Salon du Matin [modifier]

    Le salon du Matin, tendu de rouge, conserve une collection d'assiettes en porcelaine. Le mobilier se compose notamment de plusieurs fauteuils du xviiie siècle, l'un de style Régence, l'autre de style Louis XV, un dernier de style Louis XVI.

    Chapelle [modifier]

    La chapelle est dédiée au Sacré-Cœur après la première guerre mondiale. Les vitraux représentent entre autres deux anges portant les armes de Raoul et Motet de La Panouse (en référence à leur participation à la croisade de 1248). Une vierge à l'enfant en céramique réalisée par Della Robbia orne l'intérieur. L'autel en chêne date quant à lui de 1754.

    Musée des Archives [modifier]

    La salle des archives du château de Thoiry conserve plusieurs dizaines de milliers de documents dont seuls quelques-uns sont visibles. Parmi ceux-ci, plusieurs lettres (signées Jean-Jacques Rousseau, Châteaubriand, Rodin, Lamartine, Eugène Sue, Georges Sand...), arbres généalogiques, photographies, objets divers, médailles et documents officiels.

    Salon de la Tapisserie [modifier]

    Ce salon doit son nom à la tapisserie des Gobelins dont elle est ornée: elle fut offerte à Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville par Louis XV. Le salon possède plusieurs portraits: l'un représente le chancelier de Ponchartrain, l'autre Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville. Le salon est également meublé de deux bustes du xviie siècle réalisés par Raon, d'un lustre hollandais du xviie siècle, et d'une petite table du xviie siècle en marqueterie fine soutenue par quatre cariatides en bois doré.

    Salon doré [modifier]

    Le salon dit "salon doré" possède une cheminée monumentale du xixe siècle, copie de la cheminée Renaissance de l'Hôtel Vogüé de Dijon. Elle est ornée au centre de son manteau d'un portrait de Raoul Moreau, premier propriétaire du château. Le mobilier se compose notamment d'une série de fauteuils, canapé et bergères réalisés par de Beauve (restaurés à la feuille d'or, et dont les garnitures furent retissés à l'identique), d'une commode décorée de bronze réalisé par Cressent, d'une commode en marqueterie hollandaise du xviie siècle et d'un lit de chien du xviie siècle. La pièce conserve également une tapisserie représentant Henri IV chassant le lion et une collection de portraits (œuvres de l'école de François Boucherportrait de jeune fille par Nicolas de Largillièreportrait de Galéas de Marescottiportrait du roi Louis XV enfant par l'atelier de Hyacinthe Rigaudportrait de Monsieur le duc d'Orléans représentant frère de Louis XIV).

    Grand Vestibule [modifier]

    Portrait de Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, château de Thoiry.

    Le grand vestibule, couvert de boiseries, est meublé d'une commode en marqueterie de style Boulle et d'une glace d'époque Régence, entourée de deux bustes romains. Le reste du mobilier se compose du fauteuil de voiture de Charles de Machault d'Arnouville et d'une cassone, coffre de mariage datant de1450, ramené d'Italie par les Marescoti et restauré en 2007. Le vestibule est orné de plusieurs portraits dont deux pastels représentant Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville et sa femme Geneviève Rouillé, d'un portrait de Gentilhomme par Nicolas de Largillière et d'un portrait d'Alexandre Millon par Hyacinthe Rigaud.

    Bibliothèque et Salon de musique [modifier]

    Détail du clavecin de Blanchet peint par Christophe Huet.

    Les bibliothèques sont surmontés sur leurs corniches de vases Imari du Japon. Elles conservent une collections d'ouvrages anciens.

    Le salon de musique ou "salon blanc" est meublé de deux bergères réalisées par Boulard, d'un bureau en marqueterie fine et au dessus à rouleau signé Lardin, d'une table de Pierre Migeon, de canapés et fauteuils dus à Gourdin Père, tendus de tapisseries d'Aubusson illustrant les fables de La Fontaine, de fauteuils réalisés par Pissard et Jean, de rafraichissoirs de Chine offert par Louis XV, et d'un clavecin réalisé par François-Étienne Blanchet et peint en 1750, près de quarante ans après sa réalisations, de grotesques et de singes musiciens par Christophe Huet, peintre animalier du roi. C'est l'un des derniers clavecins au monde à avoir gardé son mécanisme d'origine. La cheminée en marbre ornée de plaques possède des chenets en bronze doré représentant des sujets chinois. La glace qui la surmonte avec sa boiserie est dorée à la feuille d'or. Les murs sont ornés d'une riche collection de portraits, dont un pastel représentant les trois fils de Machault d'Arnouville, réalisé par Bondé (les mains et les visages sont attribués à la Tour), un portrait d'Angélique de Marescot en religieuse, pastel de Maurice-Quentin de la Tour, et un autre portrait représentant Angélique de Marescot en Vénus.

    Chambre d'Angélique [modifier]

    Portrait de Charles de Machault d'Arnouville parAlexandre Roslin, château de Thoiry.

    Cette chambre d'Angélique doit son nom aux différentes femmes portant le prénom d'Angélique qui furent propriétaires du château: Angélique de Baussan, Angélique de Marescot, Angélique de Vogüé et Angélique d'Apougny. Le mobilier de la chambre se compose notamment d'une liseuse de Pierre Migeon, d'une commode de style Régence et d'une autre de Turcot, d'encoignures, banquettes et chauffeuses de Beauve, d'un lit à baldaquin, et d'un tapis de la Savonnerie. Les murs sont ornés de plusieurs portraits: un portrait représentant Angélique de Marescot jeune, un portrait représentant Angélique de Vogüé, un portrait d'Angélique d'Apougny et un autre de Michel de Marescot par Nicolas de Largillière, un portrait d'Angélique de Baussan et un portrait de Charles de Machault, par Alexandre Roslin.

    Boudoir chinois [modifier]

    Le boudoir chinois conserve une coiffeuse du xviiie siècle, un crachoir, et un fauteuil canné dissimulant une chaise percée. Les soieries peintes du boudoir ont été importées d'Asie au xviiie siècle.

    Jardins [modifier]

    Notes [modifier]

    1. Certains pensent que Philibert Delorme ou l'un de ses frères a pu participer à la conception et la construction du château. Cette hypothèse n'est toutefois attestée par aucun élément concret. Cet architecte fameux a travaillé dans les environs (Anet, Beynes) mais on sait que son activité reposait sur une entreprise de type familial (nombreux frères) et il ne serait pas impossible qu'il ait seulement cautionné ou supervisé le chantier.
    2. Thoiry n'est la propriété de la famille de La Panouse que depuis la fin du xixe siècle : les générations mentionnées ci-dessus nous font remonter à l'époque de la Renaissance, soit aux familles Moreau et Marescot qui ont précédé dans ces lieux les familles Vastan, Machault d'Arnouville, de Vogüé, etc.

     

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Thoiry

  • Château de Marly

    Vestiges du château de Marly

    Vestiges du château de Marly Marly-le-Roi

    Créateur
    Architecte : Jules Hardouin-Mansart
    Datation
    1679 - 1685

    Le roi couche à Marly à partir de 1686. Le château se compose d'un pavillon carré de 42 mètres, de côté. Il est réservé aux réceptions dans le salon octogonal central, et aux appartements du roi et de sa famille proche. Il possède un seul étage, mais des entresols sont réalisés et les attiques sont utilisés. Avec son toit plat à l'italienne, il combine le style palladien à la tradition française. Ses façades sont en peinture feinte, y compris les frontons représentant la course du soleil, ce qui explique son nom de « Pavillon du Soleil ». La dalle au sol permet d'en reconstituer le plan extérieur et intérieur.

    Source : http://fr.topic-topos.com/vestiges-du-chateau-de-marly-marly-le-roi

     

  • Château Mallet (Jouy-en-Josas)

    Château Mallet

    Château Mallet Jouy-en-Josas

    Matériaux
    enduit
    Calcaire
    Datation
    1695

    Le secrétaire de Louis XIV Louis Berthelot fait construire ce château sur l'emplacement de l'ancien château seigneurial de Jouy-en-Josas. Embelli par ses descendants, notamment par le ministre Antoine Louis Rouillé, il est ensuite la propriété de la famille Mallet de 1841 à 1953. Sa façade, qui comporte un étage de soubassement, est ornée de pilastres corinthiens à feuilles d'acanthe sur l'avant-corps central à fronton triangulaire. La chambre régionale de commerce en est aujourd'hui propriétaire.

    Source : http://fr.topic-topos.com/chateau-mallet-jouy-en-josas